• Prendre la parole est un acte qui réclame du courage....Nous n'avons pas tous ce bel organe qui va éveiller chez l'autre des sensations agréables ou désagréables....exercice : allumez la boite à pigeons (la télé)...fermez les yeux...écouter les candidats à l’élection...çà ne marche pas ?...c 'est que l'un d'eux à bien fait son boulot de manipulation...

     

    Pas de problèmes......alors écrivez.....Ce que je n'ai pas oser ou eu le loisir de vous dire je vais vous l'écrire !

     

    Je vous délivre une phrase qui depuis quelques temps trotte dans ma tête de Loup.

    « une tradition c'est une innovation qui a perduré ».M'est-il permis d'ajouter : c'est une innovation qui a bien vieillie...oui mais pour qui ? »

     

    Pendant ce temps là, la méditerranée joue avec les galets (la corrida )......

     

    Une artiste Gitane avait éclairé ma lanterne quant à la signification de ses peintures : « la Corrida c'est l’arène dans laquelle se déroule le combat à l'issue incertaine, c'est l'animalité...la lutte entre l'Homme et l'animal...qui sortira vainqueur de cet affrontement ?».

    Que d'efforts elle a fourni pour pouvoir sortir de son silence que lui imposait les traditions de sa race..ne sachant à qui crier son amertume elle s'est débarrassé de son joug  par l'intermédiaire de ses peintures....

     

    La corrida...le taureau de Camargue...pour être couleur locale j'aurais du remplacer le cochon par du taureau....

    Les travers de porc se préparent sur la plancha avec un nappage, miel et bière blonde ce qui donne en fin de cuisson une « croustillance parfumée ».

    Le bœuf ou le taureau juste à la fin de la cuisson est recouvert d'une fine couche de Roquefort ou Bleu d'Auvergne..... pour les « ouf gourmands-gourmets » une pommade d'anchois et d'huile d'olive vous conduira directement à un verre de rosé frais.

     

    Cette tradition de la femme qui a tant à dire mais qui doit garder le silence...avait du bon pour ceux qui imposaient ce silence !...et vous qui vous impose le silence ?

    Le seul « maître à bord après Dieu » c'est bien Vous... et comme moussaillons et matelots, il a la Peur du ridicule, de son voisin, de sa femme, de ses copains....alors insultez les !...par écrit.

     

    Vous ne savez pas quoi dire...c'est le manque d'inspiration.

     

    L'inspiration désigne une affluence d'idées stimulant l'imagination  et la créativité.

    En lisant ce texte à quoi pensiez-vous ?

    Quelles images ont défilé dans votre caboche ?

    Vous pensez que mes facultés mentales sont supérieures aux vôtres ?

    Ma supériorité à moi c'est de savoir le « bon manger » et çà c'est CATINOU qui me l'a enseigné.

     

    Je vous souhaite une bonne digestion...pendant ce repas j’espère avoir bien pris soin de vous.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    7 commentaires
  •  

     

     

    L'idée est survenue alors que je ne m'y attendais pas.

    J étais tranquille j' étais peinard, prés du feu entrain-de faire griller un bout de lard ( c'est pour la rime) quant l'article de Laure a débarqué.

    La panne d'inspiration....c'est quoi ce binz ! A quoi ça sert.. c'est pourquoi faire ?

     

    Reprenant le cours de mon occupation je me suis dis «  ben mon cochon » (ça c'est pas pour la rime..mais le cochon c'est bon.....enfin pas pour tous les gens...enfin j'me comprends ) et tout en fristouilant devant moi le cochon m'a dit «  Eh... patate...réveille toi je brûle..faudrait voir à faire attention ! »

    Un cochon qui parle...je savais que pour la télé il pouvait se trouver dans l'espace (the MUPPET SHOW.) dans les rapports homme-femme (j'ai souvent entendu dire que les hommes étaient tous des cochons..mais que les femmes aimaient bien les cochons..dans ces moments là..mais alors pour les gens qui de par leur religion...n'aiment pas le cochon..enfin je m'embrouille …) Ce ne sont que des réflexions qui ne sortiront pas de ma tête...vu que je suis en panne d'inspiration.

     

    Revenons à la réalité de Laure, d'alors.

    L'idée est là au plus profond de nous mêmes..de nous z'autres comme le disent les autres, elle est ancrée mais pas encore encrée et c'est là que le bats blesse..comme le disent les ânes bâtés.

     

    A ce sujet avez-vous remarqué, amateur de cochon, que les ânes se congratulent entre eux, se félicitant de faire partie de cette catégorie, se congratulant, époussetant l’arrière train à grand coup encensoir et s’époustouflant qu'un plus âne qu'eux puisse leur dire « Asinus asinum fricate »

     

    Rassurons le lecteur invité à déguster mon cochon rôti, nous ne faisons pas partie de cette caste, nos écrits sont restés lettre morte...par panne d’inspiration.

     

    Je vous disais donc que les idées sont bien présentes, mais il manque cette force mystérieuse qui fera se transformer cette présence intérieure en un geyser. En un mot de poète de qui viendra ce coup de pied au cul qui vous fera général.

    J'ai souvenance du Grand Gilbert nommé BECAUD dans un fabuleux titre « la vente aux enchères ».

    «  - Monsieur est généreux, merci !
    Six sous, allons allons, six sous, c'est peu,
    Un coup de pied au cul.
    Sept sous, la dame en bleu.
    Une fois, deux fois, huit sous le soldat.
    Bravo, caporal !
    Ce coup de pied au cul te fera général ! »

     

    Pour faire avancer un âne (encore moi!) il faut une carotte, pour faire bouger les montagnes il faudrait un glissement de terrain, pour vous décider à aller au de là de vous mêmes que vous faudrait-il ? ...Une bonne raison de ne plus rester sur place.

     

    Je me réfugiais naguère derrière cette atroce citation «  un con qui marche ira toujours plus loin que deux philosophes assis sur un banc et qui le regardent passer »

    Pourtant il y a du vrai.

    Le con c'est moi, c'est vous si vous décidez d'avoir une bonne raison de ne plus rester sur place...ou à votre place....c'est à dire à la place qu'on vous a attribuée.

    Et qui a décidé que vous deviez occuper cette place ?

     

    Et si en changeant quelques mots comme le fait le vent sur les tuiles de votre toiture, en éparpillant vos mèches de cheveux sagement rangés de femme accomplie vous transformait en « cette rebelle qu'en passant les hommes interpellent », vous décidiez de ne pas marcher mais de parler !

    Parler, vous exprimer, donner votre opinion....Vous l'avez déjà fait ? « on » ne vous a pas écouté..autant en a emporté le vent.....

     

    Si la faim fait sortir le Loup Dubois, la peur fait se terrer les Duponts.

    Et il faudra un magistral coup de pied au cul (même si c'est une métaphore..le coup de pied au cul pour être invisible au lecteur doit être occulte!) pour décider de faire le premier pas...en écrivant.

     

    Avancer à toujours coûté à celui qui décide de faire cette première enjambée car il se trouve soudain seul..en proie à tous les doigts pointés dans sa direction. Et c'est là que vous vous inventez les bonnes raisons pour ne pas avancer....  Pas de problèmes j'ai de la suite dans les idées.

     

    .a suivre.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    12 commentaires
  •  


    Voyez combien la littérature adoucit les mœurs ! Alors tirons chaque mot à bout portant, comme une mise à mort  .(Louis-Marie Galand de Malabry. )

     

    Plus simplement et pour faire sobre, je n'ai pas dit pour rester sobre car je ressent une certaine ivresse à me plonger dans cette mare nostrum qu'est l’Écriture (avec majuscule ) je couche des mots qui une fois amalgamés devraient devenir des phrases, des paragraphes et pourquoi pas des livres.

    Pourtant je redoute les rassemblements et préfère à ces phénomènes d'associés les grands espaces ou règne les silences et l'absence ;

    Je me souviens du temps où nous étions sur le Voyage.

    Je m'étais auto-nommé « peintre en bâtiment »...il fallait bien gagner sa vie et ne pas vivre aux crochets de celle des autres.

    Une cliente m'avait interpellé en me clouant le bec :

    «  monsieur vous n'êtes qu'un barbouilleur de peinture qu'il vous faut étaler....moi je suis marieuse de teintes avec lesquelles je crée des couleurs.. »..elle n'avait pas tors.

     

    Il y a loin de la coupe aux lèvres.

    Avoir des envies et savoir exprimer ces envies.

     

    Exprimer....

    Faire sortir le suc, le jus d’une herbe, d’un fruit, etc., en les pressant.

    Ici il n'est pas question d'extirper par l'effort et par la contrainte ce que vous avez comme pensées dans votre intimité Nous sommes loin des folles soirées des inquisiteurs qui pour ne pas s'ennuyer et ne pas perdre la main, ces « braves pères » se laissaient aller à quelques jeux de société... mais il est question d'offrir en guise de jus, « un nectar », une quintessence de vos pensées volontairement exprimées.

     

     Manifester une pensée, un sentiment, une volonté par tel ou tel moyen, en particulier par le langage.

    Parler avec vos mots, faire naître chez l'autre une envie de vous écouter avec les yeux....faire naître un dialogue, établir un contact, jeter une passerelle entre deux mondes....

     

    Par extension : Faire sortir de soi ce que l'on a à l'intérieur (idées, émotions, sentiments), dans le but de le faire vivre et de le communiquer.

    Tout est « exprimé », tout est dit...dans le but de faire vivre et de communiquer.

     

    S'exprimer de toutes les façons. La patience n'est pas une vertu à laquelle j'accordais une grande importance.. et pourtant......cent fois sur le métier il a fallu que je remette mon ouvrage. J'ai appris à mes dépends qu'il ne servait à rien de crier et de gueuler dans le désert .

    Prêcher dans le désert

    Les échos de mes colères justifiées ou pas me revenaient en pleine face, accompagnés parfois par les cris d'autres coléreux.

    A nous tous nous formions une bande d'incompris en colère qui avaient pour auditoire le désert nous renvoyant sans cesse nos échos comme des roulements de tonnerre capables d'effrayer...le sable et les pierres !

     

    Très vite (quel culot..cela remonte à 3 ans ! ) j'ai compris qu'il était pour moi nécessaire d’arrêter de me taper sur les doigts avec un marteau parce que cela me faisait du bien. (ou quelque chose dans ce sens )

     

    Je me suis tourné non sans difficultés vers un domaine plus conviviale..la cuisine.

     

    Quelle drôle d'idée que de comparer l’écriture à la cuisine..et pourtant..

    La réussite d'une page d'écriture tient à sa composition.

    Comme dans la réalisation d'un plat, les ingrédients indispensables à sa composition sont les garants d'une alchimie qui a fait ses preuves.

    Ajoutez une pincée de sel, un grain de poivre, quelques aromates, un peu d'exotisme et un rien de terroir et vous voilà fin prêt à régaler vos invités.

     

    A cette définition aux parfums de cuisine, j'ajouterai l'ingrédient secret, celui qui fera que votre recette sera différente de celle d'un autre...cet ingrédient c'est le partage.

     

    Mettez le couvert, osez inviter des convives à votre table

     

    ...attention l'inverse est dangereux (vive les cons..les convive et le dîner de cons...passion?)

     

    Je cite souvent une phrase d'Antoine BRILLAT SAVARIN qui pourrait imager le propos que je tiens quant à l'invitation :

    Convier quelqu’un, c’est se charger de son bonheur pendant tout le temps qu’il est sous notre toit.

     

    Invitez une personne à vous lire c'est se préoccuper de son bien être tout le temps que durera sa lecture-repas.

     

    En qualité de professionnel de l’invitation a bien manger, j'ai tenu à ce que la traçabilité des ingrédients soit bien présente.

    Je ne suis pas un écrivain mais un témoin, je n'invente pas mais je relate et raconte.

     

    Certain sur le fait que mes invités soient capables de tout avaler, je n'ai pas toujours su afficher le menu et tenu compte des régimes et autres intolérances.

    Mais à force de fréquenter la même cantine on sait ce que le cuisinier va nous servir...et comment il assaisonne ses plats !

     

    Je suis le premier à reconnaître que mes « repas lecture »ont été indigestes et qu'à la fin d'une collation, j'ai souvent retrouvé des assiettes pleines, non entamées.

     

    Certains iront se fendre d'un pourboire (sous forme de commentaires) d'autres vous faucheront les petites cuillères ( et se serviront de vos recettes ) pire encore car après s'être rassasiés, ils délaisseront votre table en vous gratifiant d'un «je suis resté sur ma faim » et prendront leurs voisins par la main pour les amener vers un autre festin....qu'y faire..la colère est mauvaise pour la digestion.

     

     

    Qui sont mes invités.....Celles et ceux qui acceptent de le devenir ! C'est tout bête mais c'est aussi simple que çà.

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    7 commentaires
  •  

     

    A bout de souffle

    Dans un ultime effort l'écrivain raccroche son clavier, semblable au boxeur qui vient de terminer son combat de trop.

    « un pont trop loin » pense t il « ce sera mon ultime combat ».

    Les doigts goures (Oh...je sais, je sais c'est une très vieille expression à la française qui signifie que nos doigts sont engourdis) il n'a plus la force de se les mettre où je pense (libre à vous de penser ce que vous voulez!).

    Il a craché tout le savoir faire que Laure lui a savamment dispensé au cours de ces dernières semaines. Cet effort que lui demande l' écriture de son roman, est un véritable travail de romain, elle a su de façon intelligente telle une féline lui distiller goutte à goutte la divine potion magique qui fera de ses écrits des lignes magiques.

     

    Pas d'affolement, bien qu' affalé sur son sofa ou naguère sa sœur Sophie s’affalât, il lui en fallait plus pour faillir à la foi que Laure lui refila.

     

    Machinalement ou intuitivement, allez savoir, un de ses doigts guidé par il ne sait quelle diablerie sorti de sa main fermée et atterri derechef sur l'azerty de son PC offusqué.

    Ce dernier avait été tellement martelé au cours de la nuit qu'épuisé il espérait dans l'aurore naissante

    le répit que son tortionnaire lui offrait.

    « sans cesse sur le métier..remettez votre ouvrage » a il reçu comme réponse..... « marche ou crève » comme à la Légion !

    Il semblait pourtant qu' écrire devait se faire dans le plaisir...alors boire ou conduire il faut choisir !

     

    Le doigt inquisiteur qui fut en son temps baladeur se planta directement sur la touche « entrée ».

    A cette heure ci, il n'y avait pas foule sur le net et atteindre le site de son éditeur se fit en moins de temps qu'il n'en faut pour qu'un corse tue un âne à coups de figue molle.

     

    Sur ce blog il se délecta à lire « commence par te taire »...un léger sourire en coin il prit en compte les commentaires que des internautes avaient laissé, par gentillesse, par politesse.

     

    Solidement accroché à la queue de sa tasse à café, le voilà qui soliloque (Eh oui c'est du français mes biloutes!).

     

    ...Visiteurs d'un soir, vos visites rythment avec espoir....de se revoir, de savoir.

    Je découvre le mot magique "commentaires" ou" comment se taire "devrais-je dire... »

     

    ... « Je comprends qu’après avoir tant et tant écrit, la force manque à l’écrivain pour ajouter dans un ultime effort ces mots de réconfort qui donne l'envie de continuer... »

     

    Quel lien unissait la Littérature française et l' Armée française ?

    Il vous le donne en mille....l’Émile

    Vous ne saisissez toujours pas ?

     

    LA GRANDE MUETTE et le PLAISIR SOLITAIRE

    C'est ainsi qu'est nommée l'armée de France.

     

    No commentaires...chez ces gens là cela ne se fait pas.....on dédaigne, du bout du doigt on « like », pas un mot, pas un signe pas un geste.

    Alors il se met en phase d'auto satisfaction, retourne à ses plaisirs solitaires pour qu'enfin vous soyez solidaires dans le silence et les non commentaires....et oui il paraît que çà rend sourd ...mais pas aveugle !

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    8 commentaires
  •  

     

    Théorie des rencontres pas prévues mais programmées.

     

    La rencontre d'un ou des individus aussi fortuite qu'elle peut en avoir l'air et la chanson m'intrigue.

     

    J'ai une théorie fumeuse (non fondée ni  officialisée par des cerveaux moins agités que le mien.....donc farfelue)qui tente à prouver que les rencontres faites lors de nos existences ne sont pas du fait du hasard et ne sont pas sans conséquences.....si nous le voulons bien.

     

    A la croisée de nos chemins de vie, nous « fréquentons » des individus durant un certain laps de temps.

    Cet accompagnement durera 1 minute, 1 heure, 1 jour et plus.....si affinité.

    Pendant le tournage de cet épisode nous allons emmagasiner des données que cet inconnu nous donne, de toutes sortes...bonnes ou moins bonnes...sur divers plans.

     

    Si comme je le conçois à présent nous voyageons les fenêtres grandes ouvertes (cerveau et ses accessoires....la vue, l’ouïe etc..) nous sommes en contact directe avec un nouveau monde, celui dans lequel évolue votre passager.

    Ces apports vont vous servir à évoluer sur un niveau différent avec le risque de dégringoler aussi..

    Mais là encore nous avons des choix à faire...libre arbitre, bonne étoile ou autres croyances.

     

    Cette rencontre vous servira donc à évoluer et à changer de niveau en grimpant sur une échelle des valeurs. En précisant que « la vie » ne vous propose que des défis que vous êtes capables de résoudre . (en vous priant de ne pas porter de jugement trop hâtifs sur la pauvreté de mon vocabulaire, l'instruction me fait cruellement défaut).

    Ce compagnon de voyage vous a apporté de l'instruction tout comme vous lui offrez vote savoir.

     

    Au détour de votre vie, vivez bien la votre et non pas la sienne, vous quitterez ce « bout de chemin » sans raisons apparentes, jusqu'à ce que vous croisiez une autre rencontre.

     

    Farfelue ? Posez-vous un instant....pensez aux gens que vous avez rencontrés dans certains épisodes de votre vie..alors ?

     

    Je me suis toujours considéré comme un franc tireur ( Oh je sais....vous êtes trop drôles..tireur au flanc!!)..s'il vous plaît..un peu de sérieux...je bosse moi !

     

    L'avatar du Loup oméga me va comme un gant. Et dans certains milieux que j'ai fréquentés je faisais figure de mercenaire.

     

    Je fais référence à une rencontre - LAURE  - qui de  par sa présence,  m'a permis  enfin mettre un nom sur mon rôle dans mon existence.

    sur je cite :

    " oui le meilleur chemin c'est le nôtre toutes les réponses se trouvent en nous...On peut prendre modèle, demander des avis

    !mais pendant que vous calquez votre vie Vous vous oubliez !

     

    Elle ne s'apprend pas que dans les livres, selon un modèle, une doctrine, religion ou autre (comme dit Karl Jung)

    On peut avoir besoin d'une aide un jour, ou un coup de pouce pour bien démarrer, mais qui devrait rester éphémère !...


    Le chemin par après, vous êtes apte à le parcourir seul. La vie se vit au jour le jour !


    Et, le plus grand enseignement est encore celui de la vie.

     

    Ce bon vieux Karl ne m'émeut pas...mais la rencontre de nos chemins avec LAURE vient de me marquer.

    je prie de pouvoir à mon tour lui offrir quelque chose.

    Sans vouloir vous comporter comme une arapéde sur son rocher (ou une moule si vous préférez)restez en contact avec la personne qui vous a télescopé, les sens en éveil. le hasard fait bien les choses.

     

    Je dédie cette prose à Annie, survivante des coups de gueules et de crocs d'un Loup en manque de savoir être, d'intelligence et qui n'a pas su reconnaître le bon grain de l'ivraie.

    Ce soir où j'écris ces lignes la Lune brille à nouveau au firmament de mon blog.

     

    Quelle être unique a bien pu supporter mes embardées sans rien attendre en retour.

    Quand la rencontre du troisième type devient le film de ma vie, épisodes après scènes de tournage

    cascades après séquences émotions, avant première comme si c'était hier....

     

    Ce ne sont pas les escaliers de CANNES que je lui ai fait monter, pourtant son César elle l'a maintes fois mérité, mais c'est à cette échelle que nous avons grimpé ensemble, bien-décidés à ne jamais en tomber...

    A toi CATINOU.




     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    10 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique