• Bonjour à vous qui me faites la surprise de votre visite courtoise.

    Dans cette rubrique vous serrez surpris de découvrir quelques essais sous formes de nouvelles, de témoignages et de coups de gueule, ce qui me semble tout à fait normal avec mon statut de Loup-Grognard et pas toujours zen !

    Je caressais le rêve un peu fou de faire publier ces pages par la Librairie des Inconnus.

    Plus dure sera la chute...je n'avais vraiment pas l'âme d'un écrivain. Dans ce domaine j'ai tout à apprendre, mon manque d'assiduité à l'école communale me sera fatale et je l'ai vite compris.

    Je ne serai que le témoin ordinaire des faits et gestes de gens extraordinaires. Ils ont marqué ma vie à divers titres et je leur dois ce que je suis.

    Par contre je n'ai rien inventé, je n'ai ni assombri ni enjolivé ces rencontres qui pour la plus part m'étonnent encore et m'ont laissé plus de bons souvenirs que d'amertume.

     

    Il m'a été reproché à juste titre ma fougue, mon mordant et mon intransigeance...., mais ne sommes nous pas sur terre pour évoluer? et je vous prie de croire que j'ai mis de l'eau dans mon vin.

    BONNE VISITE A VOUS

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  • Atmosphère, atmosphère

    La rançon de la gloire ou comment vivre peureux en ayant tout gâché.

     

    Cette aventure gromnolesque (du verbe grommeler……grrr…argnh ….) est véridique, toute récente et révélatrice de l’image véhiculée par les étiquettes collées à notre insu dans le dos…..Poisson d’avril !

    Dans quelques semaines c’est fête votive du patelin où nous avons élu domicile presque fixe.             

    L’air du temps étant (c’est lourdingue) à l’intégration, nous allons participer à ces instants de folie provençaux.

    En ce début de matinée  un des lauréats du concours Lépine se manifeste. Si … si rappelez-vous  la longue ficelle reliant 2 pots de yaourt….améliorée à notre époque…le grelot me sort de ma torpeur.

     

    LE TÉLÉPHONE PLEURE.....(air bien connu )

    L’inconnu :  (j’aurais aimé qu’il le reste !)

    bonjour, je m’excuse …c’est vous le Gitan ?

    Moi : ça se pourrait

    L’autre : il parait que vous auriez écrit un livre sur papier

    Moi : t’en veux combien, je ne prends que du cash

    L’autre : non c’est pas pour çà, mais « on » m’a dit que tu l’avais écrit tout seul...un livre sur la bouffe des romanos…

    Moi (mais pas le même que tout à l’heure) : tu veux quoi ? – là je sais faire, la voix douce presque sifflante du style KA dans the jungle book-

    L’autre (mais plus le même que tout à l’heure) :  ben j’me disais qu’il faudrait, si çà ne vous dérange pas….. (Tiens, tiens…du «  tu on est passé au  vous ») on pourrait se rencontrer… c’est pour le stand de la fête….

    Moi : Ah bon ?... j’explique : j’ai appris que si tu veux faire parler une personne tu la fixe directe dans les mirettes (c’est pour la rime) et à sa dernière phrase tu ajoutes : AH bon ?.....  Ton interlocuteur ou trice ne peut que répéter sa dernière parole d’auditeur libre…après c’est toi qui pilote...je vous assure çà marche...AH bon ?... ben oui je viens de vous prouver…Ah bon ? On ne me l’a fait pas à moi ! Tu me prends pour un poulet de l’année ou quoi…, Ah bon….STOP !

    L’autre : oui ce serait sympa de faire votre connaissance….si vous le voulez 

    Je ne vais pas vous faire l’article en questions  -  réponses, cela ressemblerait trop à des écoutes téléphoniques. J’abrège vos sillons (çà c’est pour rigoler !).

    Connaissant pour l’avoir pratiqué ce genre de grande solitude, j’ai envie de me marrer un bon coup.

    Rendez–vous fixé à la Maison des Associations du «  trou du cul du monde ».

     

    LE DÉCOR EST PLANTE

    Un monsieur à qui je rends quelques services me fait entretenir un véhicule de prestige…il s’agit d’une DAMLER type pesant 2 tonnes 500,conduite à droite, double banquette en vis-à-vis à l’arrière équipée d’une vitre sans tain pour que le chauffeur ne louche pas sur ce qui se passe quand une partie de jambes en l’air  se déroule.

    Ah bon ? Oui, figurez-vous….AH et puis zut, cela ne vous regarde pas !

    Voiture de maître disais-je,  des années après guerre, noir et gris métallisé, très imposante à mettre et à sortir d’un musée.

    Dans mes relations je courtise un club de  dames patronnesses qui récupèrent des fringues en provenance de milieu très « branché et friqué » et qui pour moins de 40 euros me permettent d’être « costardisé comme un mylord ».

    Ce jour là en « Régular fit de chez Hugo » le Boss c’était moi….vieille bagnole de collection, costard de « jeune Loup » et calvitie naissante montrant que je recevais en directe mes ordres d’en haut ».

    …ben oui…je perds mes cheveux et à ceux qui me le font la remarque je rétorque « avant j’étais représentant chez VELUXE, j’en ai gardé un échantillon ».

     

    ATTENTION : ....ACTION !

    Je gare ma caisse devant le rendez-vous (j’ai l’impression d’être Bebel) et je vais à la rencontre de mon interlocuteur.

    Moi : Salut « Machin » on avait rencart (ton très protocolaire…pour ma part)

    Lui : Inscrit aux abonnés absents ou victime d’une extinction de voix. Pour le coup « this is not the voice ».

    Moi : alors « Machin »je suis le Gitan qui écrit tout seul comme un grand….

    Lui : non mais…j’voulais dire que...Enfin…. Il est entrain de se prendre les pieds dans le Mac Adam (ben oui pas de tapis…On n’est pas à Cannes).

     

    FIN DE TOURNAGE

    J’abrège sa souffrance en lui montrant que l’idée et la fausse opinion qu’il avait sur Pépère le Gitan  le conduisait tout droit vers un moment de très grande solitude.

     Ses comparses, présents à ses cotés, certainement à l’invitation de « Machin » pour se payer un bon moment de rire, se fendaient très franchement et ouvertement la poire  de le voir se tortiller dans tous le sens et se prendre le vent «  Mistral en ces lieux » force X.

    Le reste de la rencontre fut assez pitoyable pour que je vous la raconte. J’ai pu obtenir un emplacement pour cette manifestation en faisant d’une pierre 2 coups voir 3…Je profitais de son désarroi pour obtenir pour une poignée de shekel (çà c’est pour vous en mettre plein la vue) un stand ou CATINOU la gitane de service pourrait exposer ses peintures et moi mon bouquin de recettes de cuisine des Gens du Voyage (çà c’est pour la promo de mon livre).

    Promis juré …….je vous raconterai...parole de Gitan.

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  •  

     

    Jeu de mots laids pour gens bêtes

    En relisant un auteur que les nouveaux chevaliers du rire ont poussé dans les oublis pas si net que cela (contrairement aux oubliettes et les oubliés du Net) je fais référence à Pierre Alexis, Joseph, Ferdinand, vicomte de Ponson du Terrail, né le 8 juillet 1829 à Montmaur et mort le 10 janvier 1871 à Bordeaux, à qui je tire ma révérence.

    Il me revenait une phrase qui tintinnabule encore dans ma tête façon grelots et qui pourrait fort bien me le faire gagner (le gros lot) je cite ;

    « Il sortait du théâtre comme un vieillard en sort ».

    Pas de quoi fouetter un chat (lisez par là, la façon dont les jeunes, c. à dire les moins de 17 ans communiquent : chater….je ne sais plus ce que veut dire ce verbe de communiquer et l’apparente à une de leurs expressions favorites «  com nue niquer ta reme » Je  re-cite et non récite… bien que l’ayant appris par cœur et l’ayant au bord des lèvres : viens coucher  nue avec ta mère !

    Pouah ! Me direz-vous, quel dégoût ! Et ce même jeune vous répondrait : « je n’y ai jamais goutté » avec la voix de cet adolescent de 15 ans qui déclare dans le sketch d’Elie SEMOUN : « ché pas j’veux un scooter ! » …et Alain BARRIERE ce vieux dégoûtant se vantait (normal sur les rivages de Bretagne)  d’avoir fait l’amour avec la mer : n’oubliez pas que l’orthographe n’a plus d’importance !

    Je poursuis cette expression triviale (Triviale poursuite) : comme un vieil hareng saur.

    Mais qui saura le sort que réservera ce vieillard à cet hareng dont il a juré d’avoir la peau ?

    Encore une expression triviale du siècle passé comme quoi tous ceux qui venaient de ce siècle n’étaient pas des lumières...Vous voyez la relation entre le siècle des lumières d’hier et des idées lumineuses d’aujourd’hui ?... avoir la peau de quelqu’un...

    Pour en faire quoi ?  J'aurais ta peau Léon . Chanson d’Helena NOGUERRA  qui n’a rien à voir ni même à entendre avec Hélène SEGARRA….ce serait s’égarer que de les comparer…d’ailleurs supporteraient-elles la comparaison sans raisons apparentes si ce n’est qu’une certaine « musicalité dans l’énoncé des noms ce qui est bien légitime pour des chanteuses....

     Qui se préoccupe de l’avenir de ce met délicat : le hareng pomme à l’huile ? en voila une idée plus fumeuse que lumineuse ! Une salade mêlant la douceur de la pomme de terre et le goût puissant du poisson fumé.

    Ce plat serait-il à point pour servir «  d’after » à la sortie d’une représentation théâtrale …pas certain aux vues, à l’haleine et à l’ouïe des relents gastriques qu’il provoque….imaginez la fin de nuit avec un amant parfumé "au port d'Amsterdam" ….quoique le saveurs de crevettes  provoquées à la suite de débats houleux ( on en revient toujours à la mer !) au fond d’un lit défait ...ce qui est plus accueillant qu’un lit de rivière sauf pour la gentille dame si c’est du diamant.

    Ce vagabondage mal intentionné, comme le sont les actes des vagabonds, d’après les «  gens bien pensants » et là encore il y aurait matière à discussion…ben oui ! si ce sont eux qui le disent pourquoi en douter…n’est on pas si bien servi que par soi même ? ils pensent bien…mais alors qu’est-ce-que mal penser si ce n’est d’être servi par les autres !

    La pensée des autres nous desservirait elle ? je me le demande bien…ou mal…non pas possible vu que je fais les demandes et les réponses…mais j’arrête net le mal de «  teté »...(.comme disent les mêmes jeunes qui "chat".) qui pointe sonnez à l’horizon de ce jour naissant et je préfère que vous écoutiez le doux son de la cafetière si vous êtes « at home »  ou la voix du cafetier si vous êtes sur le point de vous offrir un bon café dans votre bar préféré après une nuit passée avec une crevette fraîche ou à la sortie d’un théâtre comme un jeune en sort.

    En ce jour 04 mars, après de nombreux commentaires, je suis obligé de préciser qu'au départ il s'agissait de : jeu de mollets pour jambettes......incroyable!

     

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  • Étant d'une autre génération, je viens de faire la découverte suprême d'une  forme d’érotisme.

    Peu ou pas habitué à certaines pratiques que je découvre sur la toile, je viens de vivre un éblouissant moment de saveurs d'ordre privé.

    Mais peu avare sur ce qui fait me trémousser dans ma vie actuelle, le vieux Loup que je suis ne peut passer sous silence cette première expérience placée sous le signe de mon vieux copain Eros.

    La femme, difficile vu son âge de dépister chez elle des signes avant coureur de ménopause, était une blonde typée.

    Les cheveux courts façon « garce on » couronnaient  une jolie petite frimousse autoritaire.

    Les mâchoires anguleuses trahissaient chez cette personne, un caractère volontaire et seul un geste lent de va et vient témoignait d'un gout immodéré pour le « menthol Hollywood-parklet » beaucoup moins onéreux que le « Chanel N° 5 » démontrant qu’elle avait des goûts simples.

     

    Un discret trait de kohl soulignait des ouvertures noisettes sur un mental façon « circulez y 'a rien à voir ».

    Un assez discret grain de beauté stoppait l'ascenseur de vos yeux juste au niveau de ses lèvres. On aurait dit un point de rendez-vous pour dragueurs en cavale.

    Était-ce un elfe ? Deux petites oreilles pointues, jouaient sagement leur rôle en retenant parfois des mèches vagabondes.

    De son attitude, solidement campée sur ses jambes écartées, les mains  sur les hanches, enserrant fermement un ceinturon comme si son pantalon avait décidé de la quitter, se dégageait  un ordre impérieusement suggestif : «  aux pieds vous-dis-je et vite, les mains derrière le dos ou sinon.... »

     

    Quand elle m'a plaqué contre le mur, j'ai senti dans son élan une détermination à ne pas s'en laisser compter.

    A n'en pas douter, elle avait de l'expérience et de la volonté, ses gestes étaient précis, pour sûr elle était une pro. de ce genre de manipulation.

     

    Placée derrière moi, je sentais son souffle court heurter ma nuque. Pas de relents de Pastagas ni de traces de dents blanches for ever. Rien que ce souffle qui montait en régime comme un compte tour de voiture de sport, au fur et à mesure que ces mains retenaient les miennes prisonnières dans mon dos.

    L'acier froid des menottes m’extirpa de ma rêverie, le cric-clac de leur fermeture me plongea dans un doux tourment.

    Qu'allait être la suite de cette rencontre et expérience nouvelle pour moi ?

    Je commençais à gamberger lorsque la dame, enfonça sa jambe droite entre les miennes et d'un coup sec elle écarta mes assises.

    «  Ne bougez pas, restez tranquille »  ordonna t elle.

    Le ton ne permettait aucune réplique. Mais comment pouvais-je ne pas me taire, comment pouvais-je masquer cette émotion qui grimpait dans tout mon corps..

    «  Tudieu je ne suis pas de glace » ai-je maugréé.

    Je senti sa main gauche parcourir le haut des ma poitrine, que cherchait-elle ? Le savait-elle  elle même ?

    Puis déçue de n'avoir rien découvert, sa main équipée d'une tête chercheuse se dirigea vers la ceinture de mon pantalon.

    Holà... j'ai l'impression qu'il allait y avoir du sport, rassemblant le peu de bon sens et d'à propos qui me restaient j' hasardais : « on se connaît pas ne pourrions nous pas faire çà dans un lieu plus tranquille...je n'embrasse jamais la première fois ».

    Elle secoua la tête, et réprimant un rire que j'aurais voulu être rassurant, elle m'asséna un véritable coup de massue en me rétorquant :"Eh papy, on se calme, je fais pas dans le troisième âge".

    Un deuxième individu vint se joindre à notre couple enlacé.

    Promesses de nuit torride ?

    Quel allait être le tarif de cette exhibition ?

    La voix " made in Roussillon " mettait fin à ce corps à corps, cette nuit bleue explosive, sans Corse, mais détonante quand même se terminait en queue de poulet :

     « chef je l'embarque avec les autres vers la brigade ? »

    " Non, il n'a rien à voir dans cette histoire, je vais le relâcher, il à l'air d'un brave type "."

     

    Nuit bleue érotique

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  •  

    J'ai planté mes crocs dans les fesses d'un.......

     

     

    Il est faux de dire que l’homme est moderne et urbain.

    Pour ma part je suis primitif, bougon et franc !

    Là où les autres savourent la certitude de l'abri légitime, représenté à ce qu'ils croient, par leur famille, leur petit intérieur je pressens les désordres de la tempête.

    Cela me convient, je ne peux me réduire à la simple condition d’être humain, il me faut toujours plus, une goutte de sang de loup, de sève mêlées à la poussière de la route. 

     Le doux cliquetis des armes au beau milieu de la mêlée, m'apaise.

    Je viens de tirer l'épée pour défendre une presque inconnue, relation d'azerty qui au travers d'un blog avait épousé la cause «  d’un Gens du voyage ».

     Cette femme qui réagissait avec son instinct d’amoureuse de la notion de «  la Liberté d’aller et venir où on veut et quand on veut » …ouf ! manquait d’arguments frappant face à un nostalgique du Carnet anthropométrique.

    Ah la nostalgie de l’Ausweis, de  l’encartement de la « Belle de Jour », du laissez-passer et pourquoi pas de l’étoile jaune ou rose….elle a encore un bel avenir !

     Un espace de libre expression lui avait offert un sauf conduit accordé par le web-master  des lieux et souvent nous nous sommes échangés des idées, des opinions et la rareté des intervenants laissait à penser que cet « open-mindedness land » nous appartenait, une sorte de forum de discussions générales. (PEACHE si tu me lis...)

     Malgré nos appels à venir débattre d'un quelconque sujet, ce lieu restait trop souvent en dehors de l’intérêt des gens se disant intelligemment instruits, pas comme Nous, ignares que nous étions.

    Leur attitude sentait le mépris pour nous, petites gens sans plumes !

    A la recherche d'une tribune, un cuistre s'en est pris à cette innocente « Esméralda » dans l’âme, affichant à maintes reprises sa préférence pour la vie de bohème à la morne réalité du métro-boulot-dodo....C'est une écorchée vive à qui la vie n'a pas fait de cadeaux. Elle cherchait dans cette vie de "bâtons de chaise " à échapper à son Waterloo quotidien....morne plaine!

     S'accordant un «  droit de réponse », muni de chaussettes extensibles « because les chevilles qui enflent » ce Jean-foutre a descendu en flèche notre trop crédule gypsie-queen.

     Ses reproches ont été sans commune mesure avec le billet d'humeur de la mise en cause. David contre Goliath, la méchanceté contre la sincérité.

    J'ai eu honte du silence qui a suivi la mise à mort de cette femme, pas un casque bleu pour freiner les tirs de ce justicier.

    Dans sa réponse, il mettait en avant qu'il fallait prendre les mesures qu’imposaient « le foutoir et le désordre occasionnés  par la libre circulation des Rom’s »

     j'ai découvert un être humain haineux, vindicatif, qui déclarait : « que les camps avaient du bon »

    J’ai supposé que ce porteur de projets de stalag faisait allusion à des camps de nudistes dans lesquels tout allait plein gaz !

    J'ai donc dégainé mon épée pour porter assistance et faire en sorte que ce couard qui pour vaincre sans périls triomphera sans gloire.

    Je passe sous silence, les postillons et crachats que ce faquin a projeté en lisant ma réponse, je le laisse dans son cul de basse fosse, dans sa petite vie de péteux bouffi d’orgueil.

    "Une façon légère de se prendre au sérieux, comme une charge sabre au clair, en gants blancs et en éclats de rire. Venez mes amis cette charge est celle des cuirassiers de Reichshoffen." Cette citation ne m'appartient pas.

     Voilà donc exposé en quelques lignes ce que je ressent au pLus profond de mon être . Il m'est difficile de me lier d'amitié avec des gens constituant le servum pecus, non pas par orgueil mais du fait que nous ne partagerions pas les mêmes valeurs...

     

    J'ai planté mes crocs dans les fesses d'un.......

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