• FEMME...ÉTERNEL et DOUX TOURMENT

    La femme....encore la Femme et toujours la Femme.

    De l'Amour, de l'aventure et de quoi donner des idées mais toujours avec respect et parfois malice.

     

     

  •  
    Nous avons tous en mémoire le commandement de nos parents : « On touche avec les yeux »
     
    .Nous, pauvre enfant que nous étions, restions interdits, pétrifiés devant l’unique objet de notre désir d ‘antan, sans doute avec les yeux sortant de leurs orbites. Mais avec la peur, tout rentrait dans l ‘ordre : les yeux dans leurs orbites et nos mains dans les poches .
     
    « Toucher avec les yeux !...et si tu portes des lunettes ? Faut il les enlever pour voir mieux ?Bas les pattes
    Plus grand, à l'âge précis où le futur homme a un visage en forme de calculatrice, because les boutons !,
     
    il a bien compris la leçon et quand avec sa voisine de palier ils se croisent, dans le couloir qui mène aux caves, les pupilles se souviennent des conseils d’antan.
    L’adolescent révolté que vous étiez, bien que boutonneux jusqu’à l’extrême, a tôt fait de montrer patte blanche et ose sortir les mains des poches se remémorant un autre conseil d’antan « sors les mains de tes poches ».
    Place alors aux papilles ! Gouttons au fruit défendu. Aussi tôt dit aussi tôt fait Et bien que maladroit par manque d’expérience, la gourmandise à son âge n’est pas encore un vilain défaut et cent fois sur le métier il aura à cœur de remettre l’ouvrage en se remémorant un dernier commandement d’antan : « Ne pars pas les mains vides ». C’est le cœur débordant de joie qu’il emportera un baiser de la belle.
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  • Naguère, une amie à qui mes écrits déplaisaient a émis une opinion .

    Respectant le Femme et son opinion je lui ai répondu.

    Il me plairait de vous faire partager ma réponse :





    « Ah que de mots tendres susurrés à mon oreille

    Vous voilà complice et artisan de mon joyeux réveil

    Connaissant les causes de ce vibrant compliment

    Je puis affirmer avec force oui, je le mérite vraiment.

     

    J'en ai pris pour mon grade mais c'était à prévoir

    Je revendique que j'espérais dans un secret espoir

    Me voir enfin gratifier de ce titre honorifique

    Qui ferait de moi un être charmant mais maléfique



    Je n'en espérais pas temps

    Me traiter de pauvre con aurait été suffisant 

    Mais en ventant mes exploits de manant

    Vous venez de faire de moi un prélat

    Un roi devant lequel vous ferez vos révérences. »





    Qu'ai je donc fait pour mériter cette appellation de sale con. ?

    Naguère proposant d'instaurer la journée nationale et officielle des « ON » je ne pensais pas être au devant de la scène, le manque de quartier de noblesse m’interdisant toutes comparaison avec le « chevalier des ON ».

    (Charles-Geneviève-Louis-Auguste-André-Timothée d'Éon de Beaumont, dit le « chevalier d'Éon »)

     

    Me voilà donc, moi le roturier élevé au rang de « Con d'honneur »..belle promotion.

    Mais donneur de quoi ?...de con-seils, de con-sidération, de con-pliments ?

    Entre nous, nous allons nous entendre car nous parlons le même langage le grand Georges BRASSENS nous l'avait dit, le con n'a pas d'âge ;

     

    L'individu lambda que je ne suis pas, est reconnaissant à l'auteur de cette distinction que j'avais tant espérée.

    Cette distinction me va droit au cœur, elle m'a été attribuée en raison de services rendus.

    D’abord surpris, puis étonné que me soit adressé un tel compliment, je suppute :

     

    PENSIF : Qu'ai-je donc fait pour mériter cette distinction?

    DUBITATIF : dans certain milieu '' on' ne prête qu'aux riches, je suis un sale con ...pas un pauvre.

     

    ADMIRATIF: me voilà enfin devenu '' Monsieur  ''.frère du roi ou de la reine.

     

    AFFIRMATIF: c'est décidé je vais pouvoir braire avec les ânes.

     

    DÉPRESSIF : et maintenant...quel sommet vais-je pouvoir gravir ?

     

    INDICATIF : vous me cherchiez ? Je suis ici....oui ! c'est moi le con.

     

    JOUISSIF : Ah quel pied d'être enfin reconnu... Je ne suis plus un simple malotru .

     

     PRÉSERVATIF : soyez sans craintes. Çà n'est pas contagieux...j'enfilerai un ''condom'' pour vous serrer la main.

     

    Vous savez sans doute qu' :

    ''un con qui marche ira plus loin que deux philosophes assis sur un banc''

    C'est donc le cœur joyeux et l’âme reposée que je prends la plume pour vous exposer quelques théories fumeuses qui m'ont valu cette gratification.

     Réponse du berger à la bergère..quoique ….un Loup dans la bergerie :

    « Chère amie,vous qui venez de coller cette étiquette sur les rares poils qui garnissent avec peine, ma pelisse, connaissez vous l'histoire du  ''CON ''….vous me connaissez, un rien de grivoiserie, un rien de provocation, mais toujours avec élégance. »

     Con est un mot polysémique

    Polysémie et homonymie sont des cas particuliers d’ambiguïté

     il est aussi un substantif trivial qui désigne à l'origine le sexe de la femme.

    Con provient de l’étymon latin : cunnus désignant une gaine ou un fourreau et par analogie le sexe de la femme.

    Je ferais une parenthèse grivoise en vous laissant le choix de me suivre dans ces con-tours...:analogie et non anale logis (comme lieu d 'habitation) et cul nu..comme maux de notre civilisation.

    A ce sujet, dans nos conversations, avez vous remarqué que les gens en ont plein la bouche de ce fameux épithète'' CON'' ?

     J'aurais tendance de lui attribuer un sens plus langoureusement délicieux : le CUNNILINGUS …...

    Qu'en pensent les intéressées...pas trop con comme question ?

     

    Autre sens, il peut être vulgaire.

    Dans les dérivés du latin : cuniculus On retrouve cette racine dans :

    -le castillan cono

    -le breton konifl,

    -l'alsacien Kénjele,

    -le néerlandais konijn ou l'Allemand Kaninchen.

    En vieux français : CONNASSE était une prostitué de bas étage ou inexperte, maintenant, ce nom désigne une femme sotte ….comme vous en quelques sortes

     

    Le terme de cuniculture désigne l'élevage des lapins.

    Extrapolation intempestive du Loup : aller vite en besogne ou baiser comme un Lapin ? Je vous laisse seul juge de la réponse....personnellement je prends mon temps et ne mange jamais de lapin.

    Et puis ce matin un chasseur a vu un lapin qui avait un fusil..et PAN ! MORT AUX CONS .

     Je cite :

    « Les patronymes « Conne », « Connard », « Connart » et variantes, n'ont aucun rapport étymologique avec le mot « con ».

    En Europe continentale , ils proviennent du germanique con(hardt) signifiant « brave et dur » (à rapprocher du néerlandais koen, « courageux » et de l'anglais hard, « dur ») .

    Chez les personnes d'origine irlandaise Connard et Connart sont des dérivés de « Connatch».

     ET QUAND LE CON M'ENCHANTE :

     

    Jules MICHELET

     

    « C'est une impiété inepte d'avoir fait du mot con un terme bas, une injure. Le mépris de la faiblesse ? Mais nous sommes si heureux qu'elles soient faibles. C'est non seulement le propagateur de la nature, mais le conciliateur, le vrai fond de la vie sociale pour l'homme

    Pierre PERRET n'est pas en reste avec Celui d'Alice :


    Car si on l'ausculte
    Au lieu d'une insulte
    On peut faire un culte
    Du joli mot con.



    Certains ont utilisé à des fins poétiques la polysémie du mot, comme Georges Brassens dans Le Blason. Il déclare déplorer la bassesse avec laquelle ses contemporains désignent « cet incomparable instrument de bonheur » :

    « La mâle peste soit de cette homonymie !
    C'est injuste, Madame, et c'est désobligeant
    Que ce morceau de roi de votre anatomie
    Porte le même nom qu'une foule de gens. »



    Et puisqu'il faut une référence à la référence en ce domaine , le CON a acquis ses lettres de noblesse : 

    LE ROI DES CONS :

    Non certes elle n'est pas bâtie 
    Sur du sable sa dynastie
    Il y a peu de chances qu'on
    Détrône le Roi des cons.

     

    La révolution n'est pas en marche....Soyez sans craintes, les guillotines sont au rebut et la victoire du con est bien partie.

    Expressions dénuées de sens profond...quant au mot CON

    Les plus connues Le con de ta/sa mère !Le con de ta/sa race ! et Le con de Manon pour exprimer de l'agacement, de l'irritation, peuvent s'y employer de manière exclamative, en l'absence de personne à injurier .

    Bien sûr certaines d'entre elles conservent un emploi injurieux, comme les deux premières précédemment citées.

    Dans son sens figuré, le vocable a perdu une grande partie de sa force, dans le registre familier du moins.

    Aussi un grand nombre d'expressions le renforcent-elles par le biais d'une comparaison avec un objet, un animal ou une situation symbolisant la bêtise : 

    con comme un balai, 

    con comme la lune, (Oh..! tu quoque fillia!)

    - con comme ses pieds, con comme un comptoir sans verre,

    - con comme un bol, con comme un jeune chien, 

    - con comme un piston, con comme une valise sans poignée.

    À cette fin, il est souvent affublé d'un adjectif :

    - gros con, sale con, petit con, pauvre con ou vieux con.....là je m'y retrouve !

    Tous les adjectifs lui sont désormais acquis..

    Vous l'aurez compris, n'est pas « con » qui veut.

    En effet il ne suffit pas de faire en sorte de mériter cette distinction, encore faut-il en être digne .

    On ne se déclare pas « roi des cons »..on est élu par les autres...connaisseurs.







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  •  

    Voilà bien un sujet épineux qui, si je n'avais par pris garde, deviendrait graveleux au sens figuré des maux qu'il engendre.

    Vous veillerez à ce que de chastes et effarouchées oreilles n’entendent pas ce que j’écris.

    Le plaisir à tous prix, mais à tout prendre, je le préférerais gratuit, non pas par radinerie mais à cause de la duplicité que fait naître la comparaison entre la Femme et l'objet.

    N'étant pas un poète patenté mais un témoin de ce qui se trame dans un monde moderne, je me sent libre comme la chambre à air sortie de son contexte de prisonnière d'un pneu.

    C'est donc gonflé à bloc que je vais rouler dans la direction opposée du « politiquement correct » en mettant les points sur les -I- et les poings sur les hanches.

     

    Il est un point sur lequel, nous les mâles, nous ne savons pas porter toute notre attention, c'est le point -G-.

    L'horripilante Isabelle Adjani citait en 2017 : «En France, il y a les trois G :

    - galanterie,

    - grivoiserie,

    - goujaterie.

    Glisser de l’une à l’autre jusqu’ à la violence en prétextant le jeu de la séduction est une des armes de l’arsenal de défense des prédateurs et des harceleurs.» .

     

    L'évanescente artiste à la fugace notoriété n'avait pas tors

    J'ai profité de la parution d'un poème sur ce site que je comparais à un mode d'emploi de L’amour. (son Auteur pour qui j'ai une haute opinion aussi profond que le respect que je lui porte ne me fustigera pas pour cette introspection dans ce sujet brûlant ou refroidi, c'est selon...).

     

    Maisons du Monde : Importation non contrôlée :

    Les maisons closes ont fermé leurs portes, mais c'est opération « portes ouvertes »   en pleine nature.

    Fraîchement débarquées de leur Ukraine natal ces « marchandises » sont à consommer sur place.

    Leurs emballages sont sommaires, et laissent ainsi tout le loisir au client de visualiser les différents attraits savamment dissimulés pour stimuler l'imagination.

    Ces produits ainsi destinés à la clientèle masculine sont parfois illégalement mis à la disposition directe en circuit court, certes « belles à voir » mais pas « bio à consommer ». Le mode d'emploi doit être traduit, quoique l'utilisation et la manipulation soient faciles à comprendre.

     

    Speed-dating : ou vite fait, bien fait (en Français dans le texte)

    A l’ère de la communication, plus nous avons de possibilités d' échanger et plus les hommes et les femmes se retrouvent seuls. Le manque de temps fait de l' obsolescence programmée, le fléau des temps modernes. Conscients de cet état de faits, des entreprises ont fait en sorte que le temps passé à se trouver ne soit plus un frein à consommer.Le speed-dating et les clubs de rencontres furent crées dans ce but. « Ne chercher plus on trouve pour vous ». Déjà en un temps reculé, le poète chantait :"Je te plais, tu me plais... Viens donc, beau militaire..." 
    Dans un train de banlieue on partait pour Cythère,  On n'était pas tenu même d'apporter son cœur. ».....cruelle erreur ! Aussitôt dit....aussitôt dans le déni.

     

    Q.C.M: le Q...C'est Mieux...à plusieurs.

     

    Les testes comparatifs sont de plus en plus à la mode. L' amour rend aveugle, « quand on regarde son conjoint avec les yeux de l'Amour ». Comment savoir si j'ai fait le bon choix ?...Je vais le demander à mes voisins qui offrent façon Karaoké les moments d'intimité partagés sur les réseaux d'Inter pas très Net.

    « je te tiens,tu me tiens,voici ma Minette », il faut partager, changeons les « resto. du cœur » en « resto. hauts le cœur » en voyant ma compagne se faire manger comme un petit beurre. Ainsi sont nés l'échangisme et le voyeurisme et le priapisme pour les lapins crétins. Chantal Goya, l'éternelle ado boutonneuse en est témoin « ce matin un chasseur a vu un lapin..qui tirait un coup....de fusil au lit».

     

     

    Merci Jackie et Michel : « chic...ce soir on passe à la télé »

    Émission télé-réalité où les émissions de 2 « gars » polluent plus que le Carbone.

    Courant année 1975, Giscard face à son d'Estaing s'invitait dans les chaumières, histoires de vider une choppe de bière, chez un couple d'éboueurs. Classe, col roulé et piano du pauvre à l'épaule, il assurait le crane en pain de sucre luisant sous le feu des projecteurs. Les temps ont bien changé.

    Les poubelles sont toujours là...dans la tête des gens qui ont besoin de voyeurs pour devenir, les rois des cons, à la place d'un président. A la recherche de sensations perdues, pas de foire du Trône mais des amateurs de montagnes Russes....des hauts qui sont dévoilés pour exciter le Bas.

    Le mari voit crier sa femme de surprise sur prises de vue et découvre que son UT est RUSSE.

    Le crane ne luit plus, les cornes ornent les murs de leur maison. Il est trop tard pour envisager de supprimer l'enregistrement c'est pas l'envie qui manque....plus le désir s'accroît quand l'effet se recule.

    « Si tu aussi tu veux passer à la télé,envoies ta femme,ta voisine,au 3615: viens te faire démonter - »....les pièces démontées tu les récupéreras chez son avocat, au moment du divorce.

     

    Comme mon esprit ne se situe pas ou généralement se trouve l'esprit du Mâle, bien en vue derrière,les plis de sa braguette, j’arrêterais la liste exhaustive des traductions des modes d'emploi pour trouver l'Amour.

    Chacune a son chacun et même en cas de mélange des genres, l'important est de trouver non plus un technicien mais « un applicateur en Thérapies du Bonheur » disponible 24/24 heures, pas technocrate, manuel ..bien sur.( la boite à outils bien fournie )...se déplaçant à domicile et ingénieux en cas de panne de Libido, sachant maîtriser le langage des signes, un rien jaloux pour que vous puissiez tester ses capacités à vous récupérer....enfin le conjoint parfait n'existant ( peut-être) pas, je vous conseillerais la méthode dite PANTASHOP... « s 'il n'existait pas il faudrait l'inventer »...et Dieu créa le Chat et plus tard la Femme.

     

     

     

     

     



     

     

     

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  •     Bruno PELLETIER « in LE TEMPS des CATHÉDRALES » aurait chanté :

                 « il est venu le temps des B.B.Q, chez le Loup Pépère, cuisiner autrement, il ne sait pas faire »….. ce qui est presque vrai.

        Délaissons ce mode de cuisson si vous le voulez bien, pour nous intéresser à une phrase qui, replacée dans son contexte, vous donnera l’occasion de montrer « qui c’est le patron » !

        Sous un soleil de plomb (oui en Auvergne les plombs pètent vers 14 degrés..) vous venez de participer à un barbecue printanier Tout c’est bien déroulé car jusqu’ici tout va bien.

        Quel homme n’a pas entendu cette interpellation jetée au moment de quitter la table , lieu de communion  , propice à la discussion sur la façon d’achever  une partie de jambes en l’air entre une cuisse de poulet aux morilles et un pied de cochon  gratiné ?

        Ce leitmotiv a le don de me mettre l’écume aux naseaux à tel point que je préfère continuer mon repas sans pain (ce qui et bon pour ma brioche) sans sel (ce qui est bon pour mon cœur) sans vin (ce qui ne sera pas profitable  à ma sieste).

        « Ne pars pas les mains vides »

        Tout en marmonnant, je ne sais quelles imprécations, vous songez à cette douce nuit d’été durant laquelle vous avez accepté le meilleur mais pas le pire….. Mais sacrebleu, si ça continue, je vais la prendre au mot !

        Tenant à affirmer votre élégance, aussi bien dans la parole que dans le geste , vous vous retournez et, royal comme l’autre gourde, ex femme d’ un Hollande-Président qui voyageait toujours en compagnie de Ségolène, vous déclarez : « Oui je pars…… mais les mains pleines ! (petite précision : le François voyageait toujours en compagnie de Ségolène, car il avait lu que, en cas de soif, il fallait toujours avoir une  »gourde » avec soi).

        Dans le sac de voyage et à votre place, j’emporterais un nécessaire de survie (vivre sans elle ?  vous n’y pensez pas !) , ma carte bleue (où ai-je mis ce foutu code ?), des vêtements pris au hasard (cet ensemble de chez truc-moche, celui qui me fait ressembler à un Kosovar et qui la fait hurler), ma boite de médocs  (et oui mon gars ! t’es plus de la première jeunesse),  mon porte feuille ( dans quel blouson l’ai-je oublié)…. bon trop compliqué tout ça… je prends simplement les assiettes, la panière à pain, la carafe de vin, la salière, la poivrière… oui bien sûr chérie je n’oublie pas de changer de chaîne de télé en partant !..

         Je sais tu ne supportes pas J.P PERNAUD tout comme toi, je préfère le RICARD .

        Comme quoi avec un peu de bonne volonté, tout peut s’arranger à condition de lui donner raison.

        Une fois de plus j’ai baissé mon pavillon et non pas mon pantalon palsambleu !

        Il y a des jours au soir desquels  j’en ai plein le dos et le bas du dos. Tiens, pourquoi ne pas dire ras-le-cul ?

        Question d’éducation, de bien séance ou de précision morphologique quant à la situation du problème ?

        Je découvre ces expressions qui émaillent nos parcours de vie ou de survie de tous les jours, ne seraient-elles pas en rapport avec  les « mal être » que nous extériorisons ? J’ai souvenance d’une  de ces dernières, grivoise et malodorante  à souhait mais qui replacée dans ce con de texte arrive comme un cheveu sur la soupe et repart comme un pet de lapin sur une toile cirée.

        Je vous la  glisse en douce : de J.M Bigard : pet contenu, furoncle au cul.

        Que les dames qui seraient choquées d’une telle hardiesse de ma part, me rayent de leurs cercles mais c’est la vérité vraie, celle qui sort de la bouche des enfants (oh sacrilège !)  si tu ne dis pas ce que tu as sur le cœur… histoire de te soulager… tu vas droit vers un titre de propriété d’un « furunculus ou tumeur inflammatoire……  en gros c’est la cata, il faut dire stop à cet  « embourbeur » ce qui te remplit  le bas du dos,  c’est une question de vie ou de mort.

        Revenons à nos préoccupations linguistiques.

        Ne trouvez-vous pas qu’il y a une logique entre nos expressions de ras-le-bol et l’apparition de nos maux ?

        J’émets le vœux sincère que vous vous intéresserez à ce problème, car le traitement de ce dernier ne se fera pas sans vous…. Donc à la fois prochaine, pour une suite en toute logique.

        A suivre.

    .

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  • Jeux de mains

    Il est un témoignage qui caractérise la fin d'une aventure humaine : « jeux de mains jeux de vilain ».

    Cela tendrait à prouver qu'il faille garder les mains dans les poches et de ne pas les sortir lorsqu'on vous tend la main.

    Mais comment répondre à une poignée de mains justement pour ne pas en venir aux mains, car en matière de main, il est facile de faire un faux pas.

    En un tour de main alors que vous aviez la main heureuse vous voilà faire des pieds et des mains pour qu'une main innocente ne soit pas accusée d'être baladeuse.

    Je n'y suis pour rien, j'en mettrais ma main au feu si cette main pleine de doigts s'est posée sur le bas des reins prometteurs de cette innocente jeunesse aux mains pleines.

    Je ferais mettre à l'index ce majeur qui, alors que je me tournais les pouces, à fait battre les mains au point de faire sortir une main de fer de son gant de velours.

    Je croise les doigts pour que cette affaire de maladresse ne se termine pas en un improbable « pince-fesses » alors que je ne faisais que lui passer la main dans le dos.

    Une amie est venue prêter main forte par son témoignage, elle a le cœur sur la main et veut laver cette main de tous soupçons d'égarement tactile.

    Elle déclare en levant la main au ciel qu'au moment de ce glissement progressif vers le plaisir qu'elles étaient ensemble, unies comme les cinq doigts de la main.

    Ce témoin n'était autre que la main gauche, jumelle de la main droite accusée à tors d'ambidextre.

    « j'ai trébuché » invoqua comme excuse l'auteur de ce coup de main. « Pour ce crime de lèse callipyge vais-je me retrouver condamné au bûcher ? ».

    L’Effrontée avait la langue bien pendue, peu habituée à la tourner sept fois dans sa propre bouche elle avait pour habitude de la fourrer dans les affaires des autres.

    « vous enfoncez une porte déjà ouverte et lors de cette chute c'est celle de mes reins que vous avez agrippée ».

    « Certes il y a eu de votre part maladresse, je réclame justice pour cet acte soit disant involontaire. Vous mériteriez un coup de boule » et en relevant sa jupe dévoilant sa polissonne construction elle éclata d'un rire qui en dit long : « Désormais en embrassant Fanny, vous ne penserez plus qu'à lui. ».

    En la quittant, je fredonnais :

    « Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
    N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
    Au temps où les faux culs sont la majorité
    Gloire à celui qui dit toute la vérité . »

    Sacré Georges, c'est avec panache que tu savais élever les débats, de ce qui fait qu'ici bas, dans le ciel il y a des étoiles qui nous font lever les yeux et sur terre des fois il vaudrait mieux marcher en baissant les yeux.

     

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