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    L’amitié résiste t elle à l’appel du large ?

    Des pas qui s’éloignent, une porte qui claque, un bruit de voiture, un accès refusé aux commentaires sur un blog…et l’amitié s’estompe comme une tache sous l’action d’un coup de torchon.

    Il faut être  une antique Lune pour persévérer dans cette ingrate croyance de l’amitié porteuse d’espérance au milieu des bourrasques ….

    Cet astre de lumière brille dans la  noirceur de mes nuits m’éclairant avec ses amies pour me rappeler que si l’Amitié est si dure à vivre elle est encore plus difficile à occire pour qui la pratique réellement et sans fard.(  je sens poindre le jeu de mot laid ..Phare ?)

     Dans ces microcosmes de tsunami  du web, sa ténacité à ne pas me laisser avaler par des voyages en terre inconnue l’ont érigée en refuge, me donnant le signale à mes retours de sa présence bienveillante.

    L’ingratitude étant la seule trace de passage d’un ami en partance…

    Que restera t il de ce lien si fragile ? Une sensation désagréable de gâchis, de perte de soi mais surtout cette amertume des fins de combats qui nous avions menés côte à-côte, dans lesquels bien que virtuel, nous sentions l’haleine d’un compagnon se mêler à notre souffle court de l’effort.

    Le virtuel de m’amitié pour ne pas parler du rituel, s’installe entre nous, de commentaires à posts, de recommandations à prescriptions, de connivences à messages personnels, bref tout l’attirail parfait du « parfait amour en construction ».

    Ma coupe serait-elle trop éloignée des lèvres pour que nous perdions en cours de libations et de délectations  oniriques  de succulents commentaires au « comment se taire chez les autres ?

    Un petit air léger comme le souffle du printemps flotte dans ma tête…un souffle de sonde en quelque sorte.....

    " Un inconnu et sa guitare Ont disparu dans le brouillard
    Et avec lui ses compagnons Sont repartis, emportant leur chanson"

    "Marjolaine, toi si jolie
    Marjolaine, le printemps fleurit
    Marjolaine, j'étais soldat…"..(Francis LEMARQUE)

    …sont repartis emportant leurs souvenirs, les bons mots, les « toi aussi t’es un gars bien »,…enfin toutes déclarations d’amitié que se font 2 avatars bien transpirant, bien ruisselant d’efforts au fond de leur vestiaire un soir de matche.

    Que reste t il de nos amours ? des traces devenues des preuves de faussaire au bas d’un tableau peint à la gloire de l’amitié.

    Au fond je ne regrette pas d’avoir repris la  route…"Qui  a bon cœur trouve toujours bon temps pour la bataille."

     "Qui m'aime me suive!" a répondu  Philippe ! (Philippe VI de Valois.)

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    9 commentaires

  • Ça dépèce, ça coupe, ça tranche, ça cuit, ça mijote, ça rôtit à toutes les pages avec humour, pétillance et charme : bienvenue dans cet OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) qui ne se contente point d'énoncer des recettes mais ajoute une bonne dose d'histoire et d'anecdotes sur les gens du voyage. Une lecture joviale et saine, à mettre en toutes les mains.

     

    OBJET LITTÉRAIRE NON IDENTIFIE

     

    http://www.gaulois-nomade.com/loup-zen.html/

     

    O.L.N.I : Objet Littéraire Non Identifié

    Quelle jolie formule pleine de délicatesse laissant planer le doute sur les possibilités de s’exprimer littérairement parlant d’un individu.

    Mais en quoi encore faudrait-il être qualifié pour oser mettre par écrit ce que d’autres pensent de çà ?

    Concernant le sujet publié je ne serais que le complément d’objet bien indirect de ce succès, préférant laisser la première marche du podium aux véritables héros de ce recueil, c'est-à-dire  les petites mains et gatte sauce intemporelles et ceux qui ont pris le risque de me publier.

    Me voila gratifié de ce titre d’objet .Flatté je le suis à coup sûr, rangé dans la catégorie des utiles mais… objet inanimé as-tu une âme ?

    Je suis un objet certes, moi qui pensais que seule la femme pouvait être un objet de désir pour ne pas le citer, entre les mains de mâles concupiscents aux pensées perverses. Je resterai  l’objet d’un certain désir élaboré mentalement dans un premier temps suite à la présentation de mon ouvrage…Ce sentiment de possession se différencie donc du souhait, du rêve, du fantasme, de l’attente ou du projet, qui par ailleurs peuvent en résulter. Enfin, le désir n’est pas nécessairement sexuel ou amoureux et peut être aussi effrayant, violent  et pourquoi pas savoureux ? il serait bien associé à la saveur pour un recueil de recettes de cuisine.

    Dans cette appellation le flou même artistique (excusez-moi du peu) me va bien. En effet la couleur passe muraille me donne la possibilité de rester discret et de ne pas occuper le devant d’une scène  quelconque faisant mienne la formule « pour vivre heureux vivons caché » ou presque.

    C’est un comble pour un auteur de livres de ne pas souhaiter être reconnu….allez comprendre.

    Est-ce par modestie, par peur ou par humilité que je souhaite rester anonyme, à cette époque de ma vie aucun signe extérieur de faiblesse  ne vient étayer cette théorie.

    Très flatteur à mon encontre, l’éditeur et femme de talent de surcroit, ne cache pas son plaisir à manipuler un objet non identifié et répertorié à la rubrique : objet perdu sans copier-coller.

    Ce dernier rangé dans la catégorie des Inconnus posséderait humour, pétillance et charme capable d’être utile entre toutes les mains.

    Me voilà rassuré ; je ne resterai pas seul abandonné au fond d’une remise comme une vieille pelle-bêche de jardinier, je sais que dores et déjà que l’inventeur qui se servira de moi en retirera du plaisir. Je subodore la vanne funeste à nos futurs échanges.

    D’ordinaire sur le manche de mes objets usuels ou inconnus se trouve inscrit la marque « LE BORGNE »…c’est la pure vérité. Désormais sur celui des écrivains de cette maison d’édition sera gravé le terme « PAS MANCHOT ».

    Si on dit qu’au royaume des aveugles les borgnes sont roi, au royaume des auteurs originaux  les  inclassables sont les bienvenus à la cour de Dame Flore Geffroy-Kearley,  Directrice et fondatrice de l’Ordre Souverain des Gaulois Nomades.

     

    A la grâce du dieu des lecteurs, qu’il les protège de ne pas attraper le virus de la lecture.

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    6 commentaires
  • Je ne connais hélas pas l'auteur de ce texte.

    Les termes de cette déclaration m'ont profondément troublé, cette fameuse Liberté pour laquelle j'ai payé très cher a été le combat de toute ma vie.

    De manière insidieuse, des entraves toujours  plus jolies et affriolantes vous sont posées, à votre insu, vous laissant croire que vous restez maître de votre avenir....

    Réagissez car il n'est pas encore trop tard...à moins que vous aimiez être soumis ou soumise.

     

    On supprimera la morale, au nom de la liberté
    Et personne ne bougera, parce que la morale est du vieux monde
    Puis on supprimera la liberté.

    On supprimera la différence, au nom de l'égalité
    Et personne ne bougera, parce que la différence est du vieux monde
    Puis on supprimera l'égalité

    On supprimera la patrie au nom de la fraternité
    Et personne ne bougera, parce que la patrie est du vieux monde
    Puis on supprimera la fraternité

    Puis on supprimera le pays, la famille, les valeurs
    Et personne ne bougera, parce que tout ça c'est le vieux monde
    Puis on supprimera le vieil homme, au nom du nouveau monde
    Et tu ne bougeras pas, parce que tu seras du nouveau monde
    Et on supprimera la jeunesse, au nom de la précaution
    Et tu ne bougeras pas, parce qu'avec des chaînes on ne bouge plus.

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  • Le paradoxe de notre temps est que nous avons de plus grands bâtiments mais des plus petits tempéraments, des autoroutes plus larges mais des points de vue plus étroits.

    Nous dépensons plus mais nous avons moins, nous achetons plus mais apprécions moins, nous avons de plus grandes maisons mais de plus petites familles, plus de commodités mais moins de temps.

    Nous avons plus d'instruction mais moins de bon sens, plus de connaissances mais moins de jugement, plus d'experts et encore plus de problèmes, plus de médicaments mais moins de bien-être. 

    Nous avons trop, nous fumons trop, nous nous dépensons inconsidérément, nous rions trop peu, conduisons trop vite, nous nous mettons trop en colère, nous nous levons trop tard et fatigués, nous pensons trop peu, regardons trop la télé et prions trop rarement.
     
    Nous avons multiplié nos possessions mais réduit nos valeurs, nous parlons trop, aimons trop rarement et haïssons trop souvent.

    Nous avons appris comment gagner notre vie mais pas la vie. Nous avons ajouté des années à la vie, pas de la vie aux années.

    Nous sommes allés sur la lune et en sommes revenus mais avons des difficultés à traverser la rue pour rencontrer un nouveau voisin.  Nous avons conquis l'espace sidéral mais pas notre espace intérieur. Nous avons fait de grandes choses mais pas les meilleures choses.

    Nous purifions l'air mais polluons les âmes. Nous avons conquis l'atome mais pas vaincu nos préjugés. 

    Nous écrivons plus mais apprenons moins. 
    Nous planifions plus mais nous accomplissons moins.
    Nous avons appris à nous précipiter mais pas à attendre. 

    Nous construisons plus d'ordinateurs pour obtenir plus d'informations pour produire plus de documents que jamais mais nous communiquons de moins en moins.

    Nous sommes dans le temps de la nourriture rapide mais des digestions lentes, des êtres humains de grande taille mais de petit caractère, des trop larges profits et des relations peu profondes.

    Nous jouissons de deux revenus mais divorçons, nos maisons sont luxueuses mais nos foyers détruits. De nos jours, nous faisons des voyages éclairs et des couches-culottes jetables.  Nous appliquons une morale sur mesure et nous engageons des flirts sans lendemain.

    C'est l'époque des personnes obèses et des comprimés à tout faire qui vous remontent le moral, vous apaisent et vous tuent.

    C'est une époque où seule l'apparence compte au détriment du contenu. A notre époque, on peut choisir de partager ce texte ou de le supprimer.

    Souviens-toi, passe du temps avec tes proches, ils ne seront pas là éternellement. 

    N'oublie pas de dire un mot gentil à quiconque te regarde avec admiration. Bientôt cet enfant pour qui tu es un héros sera devenu grand et vivra sa propre vie. 

    N'oublie pas de serrer dans tes bras les personnes que tu aimes parce que c'est le seul trésor qui vienne du coeur et qui ne coûte rien. 

    N'oublie pas de dire je t'aime à ton partenaire et aux personnes qui comptent pour toi, mais surtout, dis-le avec sincérité. 

    On peut guérir n'importe quelle blessure en serrant quelqu'un contre soi, pourvu qu'on le fasse avec tendresse. 

    Souviens-toi de profiter du temps que tu as avec la personne que tu aimes parce qu'un jour cette personne ne sera plus là

     

     

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    3 commentaires
  • QUAND VIENT L'APPEL DU LARGE...

     J'ai vécu cette transhumance qui pousse depuis des siècles les populations nomades sur les routes de France et d'ailleurs.
    Je peux vous assurer que l'appel à partir vous prends aux tripes façon" Loup-garou "durant une nuit de pleine lune.

    J'ai été aspiré par cet appel de prendre le large.


    Ce bon monsieur de LA FONTAINE avait une formule qui pourrait se rapporter à cet épisode : « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés ».....partir n'est-ce pas mourir un peu ? (cf les animaux-la peste)

     

    Que ce soit chez des sédentarisés de longue date ou des sédentaires fraîchement installés en résidence, les manifestations sont identiques.

    J'ajouterais à cette liste des catégories touchées par la démangeaison saisonnière du « voir ailleurs c'est mieux » : le voyageur lambda et celui qui subit cet héritage des « fils du vent ».

    Ce dernier vit toute l'année comme un gadjo.(personne sédentaire- péjoratif )

    Le fait de travailler chez un patron, d'avoir un conjoint qui ne voyage pas et chez qui le besoin de bouger ne se fait pas sentir, de posséder un habitat sédentaire, le manque de moyens financiers font de cet homme un Stromboli, volcan assagit mais dés qu’il le peut entre en éruption sans en avertir son entourage.

    Tous ses sens sont en éveil, la pression venant de ses origines est au maxi, l'aiguille flirt avec le rouge (oh quelle honte ! un manomètre qui avait l'air si bien) mais il ne peut quitter son environnement pour les raisons invoquées précédemment.

    Pour avoir fait partie de cette catégorie je peux vous assurer que la période pendant laquelle les démangeaisons arrivent...c'est chaud-chaud.

     Cet épisode est si soudain, que tous les ans, il me semble que cela arrive pour la première fois.


    Le soleil est revenu accompagné par le gazouillis d'oiseaux, envolées lyriques, où syllabes répétées à l'infini comme une mélopée.

    Ma préférence va vers le Gobe-mouche noir, passereau peu connu qui manifeste sa joie de nous briser les burnes en criant des « vik-vik » très rapides et stridents.

    Présent dans les parages le Troglodyte mignon (je n'invente pas !) n'a pas dit son dernier mot et tient absolument à tenir la seconde place dans la liste des piafs casse-couilles. Ses trilles métalliques sont étonnamment puissantes «  zitiu-si-vi-svi-zuy-zuit-si-siiiiir »(je ne suis pas à l'heure de l'apéro je le jure!)

    Elles explosent les sonotones et font que vous écrasiez les crottes des chiens lorsque vous le cherchez dans les arbres…. Because : en marchant la tête en l'air.

     

    Bon j’arrête, sans doute préférez-vous le chant des partisans à celui des oiseaux ? J'aime beaucoup les oiseaux...sauf ceux de mauvais augures.

     

    les grillades ont fait leur retour chez le Lidl du coin, (il faudra que je vous cause de toutes les saletés que votre boucher préféré vous refile dans la saucisse, c'est un scandale aurait dit un certain Georges MARCHAIS)

    Avez-vous remarqué qu'aux premiers rayons de soleil les saucisses pointent elles aussi le bout de leur chaire ? Mais que St François me tritouille, en hiver, que font les saucisses? Je vous le demande.

     

    Ce qui n'a rien à voir... ….Les jupes des dames raccourcissent, les épaules auraient la bonne tendance à se dénuder et puis, ... Et puis... Il y a quelque chose dans l'air qui fait que les narines frémissent, que le sang cogne à la tête.

     Chez nous, quand ressortent les vieilles photos des ancêtres lors d'un repas de famille et qu’ARTE diffuse un reportage sur ces gens venus des pays de l'Est, les tournées de spotykatch se font plus rapprochées.

    Tout est prétexte à se rassembler et à faire « hurler » le barbecue.

     Vous l'aviez compris, il est temps de succomber à cet irrésistible besoin d'aller voir ailleurs si j'y suis.

    Le PRINTEMPS est là....va falloir vous habituer à ces changements hormonaux, vestimentaires et alimentaires.

    Pour en revenir à cet étrange sentiment troublant mettant tous nos sens en éveil (même les sens interdits) Je ne puis expliquer ce qui déchaîne cette résurrection.

    Je ne pense pas que seule la venue du printemps en soit la seule et unique raison. Peut-être faudrait-il gratter du côté des ancêtres et du côté de la chimie devenant alchimie.

     C'est un fait que je ne suis pas en mesure de contrôler, il faut que je bouge.

    Quant aux « agités du départ » dont je fais partie, les sédentaires « par obligations » nous subissons de plein fouet cette main tendue qui nous happe dans la nature.

     Quant aux voyageurs de tous les jours, c'est du bitume qui coule dans leurs veines, la poussière qui orne leurs épaules vient de la Passe de kandahar, la fameuse route de la soie, leurs ancêtres ont connu les persécutions en quittant les rives de l'Indus. 

    La dernière Merco a remplacé le chariot bâché et le RSA apporte plus de sécurité que la mendicité aux portes de Barcelone. J'ai établi ce triste constat en leur compagnie.


    En évoquant les noms de villes traversées, ils se souviennent de leurs coups d'éclat, des retrouvailles, des événements heureux et importants qui seront transmis de génération en génération.

    Le soir sur le coin d'une table d'un bistrot de banlieue, conférant à ces étapes des parfums d'Auster­litz ou de pont d'Arcole, ils feront un détour en jetant un œil pudique sur cette ville qui fut un Waterloo, car chez eux, on ne parle pas de choses qui fâchent.
    Autrefois, il était une tradition que je n'ai pas vécue, mais qui m'a été racontée par un aficionado des Tzi­ganes. 

    Une fois l'an, les jeunes hommes d’une  même famille se réunissent au cours d'une soirée un peu spéciale et brûlent dans une grande bassine les photographies des belles qu'ils ont rencontrées au cours de l'année écoulée. Généralement le tableau de chasse  était composé de conquêtes n'appartenant pas au monde des voyageuses.

    Certains soirs, les anciens parleront du temps où la famille avait fait une halte, prés d'une rivière, c'était au bord de la Durance ou dans le bocage Normand ou sur les rives d'Allier...

    La grand-mère allait ramasser des mures accrochées aux buissons, maintenant les murs délimitent des zones commerciales et le linge sèche accroché aux blocs de béton des périphériques, hideux, crasseux et dangereux.

    L'essence même du voyage apporte trois dimensions conjuguant lieux, époques et temps.

     Ce temps passe si vite que si vous n'êtes pas réactifs à l'actualité de votre environnement, vous deviendrez vite dépassé par les événements et ferez figure «de martien anachronique» aux regards de la société.
    Celle-là même que les gens du voyage tentent d'exploiter tout en la vilipendant.

     

    Il existe une catégorie d'individus qui se prennent à rêvasser à un certain folklore, ils imitent les Bohémiens, comme autre fois les bourgeois se rendaient dans les guinguettes pour s'encanailler au son de l'accordéon ou au petit matin à Rungis pour se frotter aux Forts des Halles.

    Ces défenseurs avec toute leur bonne foi militent aux seins d'associations qui font un travail remarquable.
    Il existe bien un nomadisme moderne, le néo nomadisme complètement intégré dans la société actuelle et qui fait même bonne figure à ceux qui le pratiquent. 

    Au début suspect aux yeux des dirigeants du monde du travail qui nous montrent de quel côté se trouve le mur contre lequel nous allons nous écraser, il fait figure maintenant de solution salvatrice. Les temps changent, les mœurs aussi et pourquoi pas notre façon de travailler ?
    J'ai pleinement conscience que curieusement, nous avons été en avance sur notre temps en adoptant la vie de nomade.
    De nombreux ouvrages lèvent le voile sur ce nomadisme moderne qui n'est rien d'autre qu'un retour aux sources du mode de vie de nos ancêtres. Ils parlent de cette culture souvent évoquée et pourtant si méconnue.

    Faut-il Gitan pour être nomade?

    Fort de ma propre expérience, je répondrais non.

    Mais force est de constater que cela aide bien !

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