• La canicule a bon dos.

    je ne sais à qui ni à quoi attribuer mes fixations et mes dérapages sur les expressions latines;

    Ce matin, titillé par une envie pressante, j'ai fait la connaissance dans les rues d'Arles, des vestiges publiques de l'  Imperator Caesar Vespasianus Augustus ou pour faire ce que j'avais à faire, je suis entré dans les W.C publiques, les vespasiennes.

    Sans en être l'utilisateur il en fut tout de même l'inventeur .

     

    Sur un mur, nommé par les hommes « le mur des satisfactions » (allez savoir pourquoi ces messieurs ont l'air préoccupé quand ils entrent dans ce lieu et en ressortent l'air dégagé..presque apaisé, soulagé)  à contrario de celui des lamentations qui pourrait être appelé ainsi quand les wc sont fermés de l'intérieur (çà c'est pour les cinéphiles ).

    Sur ce mur vous disais-je il y avait une « inscription latrine »...oui je sais c'est tiré par les cheveux, il y a mieux mais c'est moins cher!

    Inscrite d'une main qui n'a pas tremblé, laissant à penser que l'acte qui avait placé notre écrivain face au mur s'était déroulé dans de bonnes conditions.

    Explicite, elle précisait «  in cauda venenum » ou je le dis pour F.L « c'est dans la queue que se trouve le venin ».

    Terrible constatation d'un mâle en fin d'exploit ou d'une femelle se perdant en conjoncture sur un acte ne manquant pas de piquant.

    Cette expression vieille comme le monde, ce qui tente à prouver que les relations épineuses homme-femme ne datent pas d'hier, vient de la description par les Romains du scorpion dont la queue est venimeuse, qui se prend dans cette expression au sens figuré.

    Je vous avouerai que dés lors, je vais regarder à deux fois où je vais mettre mes pieds dans ce lieu qui porte le renom de « lieu d'aisance »..tu parles d'un lieu de satisfaction, fréquenté par des animaux vénéneux..ou venimeux....je ne sais plus bien au juste.

    Quel drôle d'endroit pour cogiter.

    Mon esprit captivé par l'interprétation de cette lecture en ces lieux hospitaliers pour moi en cet instant, m'a porté sur une autre version....moins douloureuse !

    - Forme de discussion en des termes anodins mais qui se termine par des propos durs et fort discourtois.....de quoi endormir son interlocuteur et le scier en deux en fin de course.....c'est le « CASSE » du surfeur en jaune (c'est encore pour les cinéphiles).

    Semblable à ce marin dans le port d'Amsterdam qui refermant sa braguette, je suis sorti en riant...jaune.(çà c'est pour les inconditionnels de BREL et du jaune )

    Moins douloureuse pour l'homme certes mais pour le reste de la communauté....ne soyons pas égoïste lorsqu'il s'agit de partager ses peines. La femme n'ayant pas accès à ce lieu publique de réputation et moi ne pouvant accéder à leur lieu de satisfaction, c'est donc dans mon imagination qu'il me faudra trouver mes idées.

    C'est le serpent qui se mord la queue....pour cet animal si je prends en compte l'expression latrine et latine...c'est du suicide.

    Et ce n'est pas fini, la météo nous annonce la canicule....

    En parlant de chaleur...canis...le Loup...et cul....enfin moi j'dis rien.



    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    7 commentaires
  •  SUITE DE PERDRE SON LATIN

    CAVE CANEM :

    Cet avertissement a été retrouvé lors de fouilles archéologiques effectuées dans la cité ensevelie de Pompéi, dans la maison dite du Poète tragique...Ben oui fallait vraiment être con pour ne pas partir au moment de l’éruption du volcan..

     

    Il était inscrit en lettres capitales aux côtés d'une représentation de chien méchant tenu en laisse, sur une mosaïque recouvrant le sol du vestibule. Le but était non seulement d'avertir les visiteurs, mais surtout de décourager les intrus d'y pénétrer.

     Pétrone, écrivain latin y fait également référence dans son roman le Satyricon : on comprendra que le fait de posséder un molosse pour le protéger des visiteurs lui a sauvé la vie car en plus d'être un Satyre l'inopportun peut être aussi con...que le visiteur d'un soir.

    Vous souvenez-vous de « devine qui vient dîner ce soir » ? Je ne fais pas référence au film américain de Stanley Kramer, sorti en 1967, mais à Valéry Giscard-d'Estaing, élu troisième président de la Vème République en mai 1974,qui a multiplié tout au long de son septennat ses dîners avec les "Français ordinaires".

    Dans volonté de "regarder la France au fond des yeux"....pour mieux voir ce qu'ils avaient au fond de leurs poches.


    Cave canem a aussi été au Moyen Âge une des devises des marins de Saint-Malo, en référence aux « chiens du guet », ces dogues que l'on lâchait la nuit pour protéger la ville.... et empêcher les petits maris qui se débinent de rentrer trop tard de leurs escapades nocturne !

     

    Les navires malouins contraints à la bataille déployaient leur bannière de combat représentant un dogue prêt à mordre : c'était leur Cave canem, dernier avertissement avant le début des hostilités.

     

    Il est préférable d'avoir des contacts avec des chiens des guets........que l'on nomme chien des quais à Marseille

    plus tôt qu'avec des chiennes de garde.

    Notez bien mon soucis du détail dans cette improvisation : « tais-toi Marseille tu cries trop fort..je n'entends plus crier ALONSO dans le port ».. et loin de moi la pensée de comparer cette dernière (qui fut en son temps la première de son mouvement ) à Notre Dame de la Garde.

     

     

    Plus prés de chez nous, je fais appel à votre sens de l'hospitalité (n'en déplaise aux bourgeois de Calais ), n'avez vous pas entendu dans votre cantine préférée, prononcée avec un fort relent de« Dien Bien phu » et avec l'accent de RAIMU dans la parti de cartes et pour répondre à la principale question qui fera un jour de toi un homme : qu'est-ce-qu'on mange aujourd'hui :

    « C' ave des nems. »....un nem, deux nems, jv'vous aime.

     

     

     

     

     

     





    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    10 commentaires
  • J'en perds mon latin...

    La locution perdre son latin ne date pas d’hier.

    Sa première empreinte dans la langue remonte à 1338, dans le poème « Les vœux du héron « : Dans le mois de septembre que l’été va à déclin, que ces oisillons gais ont perdu leur latin ».

    Autrement dit, les oiseaux ont perdu leur langage, ils se sont tus à l’arrivée de l’automne. Sans doute présentent-ils le départ pour des pays lointains et chaud où ils passeront l'hiver.

    Étrange, quand même, puisque le latin n’est plus parlé que par quelques exégètes, érudits et autres… oiseaux rares!

    Mais à quelle époque la notion de doute fut-elle introduite ? car jusqu’au 16 eme siècle la locution s'adresse à tous ceux qui perdaient leur temps et leur peine..le doute n'était pas permis !

    Rien à voir avec : « j'en perds mon lapin ».

    Il n'y a plus aucun doutes en ce qui concerne mon plaisir à jouer avec les mots et à inventer des recettes dans les quelles les ingrédients composants les règles d'or du bien parler français sont tripatouillés.

    Quant au lapin, crétin ou pas, (c'est tendance ) l’amère Michelle et le père Lustucru qui s'en sont chargés...quel drôle de couple

     

    Personnage imaginaire apparu à la Renaissance, Lustrucru est un médecin-forgeron capable de redresser les défauts des femmes à grand coups de marteau, tâche réputée impossible ( d’où « L’eusses-tu-cru » qui deviendra Lustucru).

    La femme toujours la femme et ses défauts qu'à coups de martinet il nous faut redresser ...bel exemple pour les générations futures... toujours cette sulfureuse réputation de puis la création, porteuse de tous les maux ce qui arrange bien le mâle victime des agissements d'un invertébré et d'une Golden ou Pink Lady.

     

    En occident nous ne nous en tirons pas si mal que ça, d'autres ont préféré jeter un voile sur ces fouteuses de troubles alors qu'elles ne sont que de braves pâtes en (baie de) Somme !...des pâtes, des pâtes oui mais pas que des Panzani !

     

    Subtil jeu de mots et de maux qui risque d'échapper à votre sagacité si vous ignorez tout des péripéties des  habitants du Boulonnais et de la Somme, en révolte contre les taxes et que Louis XIV avait fait massacrer, ou encore à l'expression « l'eusses-tu cru »...si nos chères têtes blondes savaient ce qui se cache derrière leurs comptines.

     

    Un ami lecteur découvrait qu' une citation présidant à la vie de mon blog, était en latin.

    «ad majorem lupi gloriam» ou si comme moi vos souvenirs de la scolarité restent enfouis et en fuite : « A la gloire du Loup ».

    Je surenchérissais en expliquant que l'inscription CAVE CANEM avait été inscrite sur ma porte, car elle avait du mordant.

    Elle m’avait rendu service bien souvent en évitant les visites inopportunes.

     

    Plus tard je me suis fait peindre sur l’arrière de ma caravane « qui sequitur me, diligit me, » ce qui a considérablement changé ma vie de routard, m'obligeant à changer aussi ma petite caravane contre une beaucoup plus grande....Qui m'aime me suive …..

     

    J'imagine que pour une helléniste perdre son latin est bien le cadet de ses soucis......mais pour un latin perdre son Hélène doit être un drame.

    J'en ai pour preuve «  la galère de Vénus », extrait de l’œuvre grandiose d’Offenbach, si légèrement revisité par votre serviteur : The beautiful Héléne 

     

    « Ne l’attends plus, roi Ménélas, j’emporte Hélène, elle est à moi ! Je suis Pâris »

     

    Depuis rien n'a changé... PARIS sera toujours PARIS...ce à quoi a belle Hélène répondra :

    «  je suis Romaine hélas puisque mon époux est laid» sous toutes réserves de traduction vu que j'ai perdu mon latin.....

     

    Mais, Corneille n'avait-il pas déclaré : « Je suis romaine et lasse » sa réputation de linguiste émérite fit le reste.…

     

    Le célébrissime et excellentissime ESCOFFIER Ce « roi des cuisiniers  et  cuisinier des rois »  , passé maître dans l'art du « soit-soit » (dessert ou fromage ) apportera un aspect plus conviviale à la fin d'un banquet , à l'heure du choix, où il tranchera dans le vif du sujet en proclamant : «  cette grecque nous prend vraiment pour des poires. ».

    il parlait de la Belle Hélène.

     

    Il m'en fallait plus pour qu' une poire étancha ma soif de savoir et je partais à la recherche de la source du savoir, mais en vain .

    Et pourtant combien de fois ai-je lu « fontaine je ne boirais pas de ton eau ».

    Cette expression prémonitoire allait bien avec mes amours pour la dive bouteille et comme je suis quelqu'un qui n'a qu'une parole (tiens...encore une expression à la con!) je ne l'est pas trahie au fil des ans.

    ...mais en vain....ou en vin aurais-je préféré, le jeu de mot étant à porté de main il me fut facile de m'y plonger au grand désespoir de mes enseignants qui n’apprécièrent que du bout des lèvres le fait de découvrir que la vérité est dans le vin ...de quoi en perdre leur latin.

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    8 commentaires
  •  

    J'ai le plaisir à vous offrir et à vous faire  partager quelques réflexions sur le temps qui passe et qui ne se rattrape guère, mais avez-vous l'envie de la retenir ce temps ?

    Je vous laisse répondre à ces énigmes .

     

    Une lettre affranchie en courrier suivi a mis 11 jours au départ de la Provence pour atteindre son destinataire en HOLLANDE ..Elle contenait un manuscrit destiné à un éditeur...Le même manuscrit est parvenu à un autre éditeur à BERLIN sous forme de fichier P.D.F en moins de quelques minutes... avec LA POSTE tout devient possible !

     

    Au restaurant, sur une table voisine une jeune femme à l'aide de son smartphone envoie des vidéos prises sur le net à son ami présent à cette même table, et ce en quelques instants...je n'en vois pas l’intérêt vu qu'ils sont séparés par quelques centimètres et feront disparaître cet éloignement quand il se mettront au lit...le plaisir de partager un bon moment ...à table.

     

    A les parcourir, j'ai bien peur que les blogs d'écriture soient tenus par des internautes qui ont gardé un pied dans une autre dimension celle du temps jadis. Les parutions font figure de « bulletin de santé » que leurs abonnés consultent pour se rassurer...jusque ici çà va...et le diable en riant leur crie «et merde... il est encore vivant... ».

     

    La vidéo a chassé les émotions que procurait la lecture..et fait disparaître la fatigue résultant de cet effort surhumain....celui de comprendre et d'imaginer....désormais vous pouvez dormir tranquille d'autres plus intelligents que vous pensent et décident à votre place....dormez en paix....Tout est bien.

     

    Nous les seniors sommes une race en voie d'extinction de voix en toute logique. Il n'y a qu'à regarder « the voice » pour comprendre....du stade de l’Homo Erectus nous sommes passés à celui du Dinosaurus Crétinus...Si je suis tombé par terre c'est la faute à Voltaire.....si j'ai le Q.I aussi bas c'est la faute à HANOUNA.

     

    Ce qui est rare est cher...pas si sûr que cela...quand on connaît la valeur de nos écrits, ils finiront imprimés sur du papier d' Arménie aux senteurs vieillottes ou sur des papiers à chiottes....un écrivain a déclaré : " j'ai écrit un chef d’œuvre...mais publié de la merde..." Etre écrivain pour ne pas publier en vain ?

     

    Le temps n'a rien fait à l'affaire, quand on naît con, on est con....et compte tenu de l'allure où vont les choses...quand on voit ce qu'on voit, qu'on sait ce qu'on sait...on a raison de penser ce qu'on pense....il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis...c'est mon opinion et je la partage.

     

    Si les voyages forment la jeunesse peut-on dire que faire du sur-place présume des déformations occasionnées par les rhumatismes...le mouvement c'est la vie, certes encore faut-il pouvoir bouger, je pense aux moulins à vent qui moulinent en vain, mais n'avancent pas...proies faciles pour les Don Quichotte qui ont plus d'un tour dans leurs manches... ou Mancha en ibérique.

     

    En parlant de moulins, on ne peut passer sous silence les ronflements du meunier...et à choisir de moudre quelque chose, il aurait préféré le chant du moulin à paroles... paroles en l'air, s'envolant en compagnie des ailes du moulin....tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur....A ce sujet, RODRIGUE avait-il du cœur ?..A

     

    Mais le cœur à ses raisons que le meunier ignore...moudre du grain n'est pas donné à tout le monde encore faut-il savoir séparer le bon grain de l'ivraie....l'ivraie est-elle vivace ou persistance...il a été dit que l'ivresse est passagère....comme l'eau d'un torrent qui fait tourner les moulins de mon cœur

     

     

     L'Amitié est promesse de bourrasques

     

    Le cœur a bien raison d'ignorer les raisons qui le font battre à cent à l'heure.

    Pour de légitimes raisons les cœurs se sont emballés ....

    Mais la voix de la raison se fit entendre  et les palpitations se sont arrêtées....

    L'Intelligence avait son mot à dire et les battements se sont calmés.

    Belle leçon de courtoisie et de savoir vivre que nous ont offert deux amies

    De ce débat nous en sortons enrichis.

     

     

    Avec leurs autorisations les commentaires ont été supprimés à la suite de cet article.

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    26 commentaires
  •  

    Le colporteur est un vendeur ambulant transportant avec lui ses marchandises par les villes et villages.

    Je devrais mettre au passé cette description, car cette profession a quasiment disparu dans les pays occidentaux,

     

    Le mot « colporteur » vient du latin « comportare », en français « transporter », qui est à rapprocher du verbe « coltiner » : porter un lourd fardeau sur le cou, les épaules, la tête étant protégée par un « coltin » qui est une coiffure prolongée d’une pièce de cuir protégeant le col et les épaules. (voir les Forts des Halles ) .

     

    Dans les années 1830, apparaît en France l'usage du nom « Romanichel» pour désigner le « Tzigane nomade » puis vers 1900 le « vagabond, individu sans résidence fixe et au métier flottant ».

     

    J'attire votre attention sur le terme de « métier flottant ». A cette étiquette péjorative je préfère lui coller une estampille plus « made in Rêves... » de « floue artistique ».

     

    Vous connaissez un de mes péchés mignons : vous intriguez, capter vote attention et vous étonner.  « Étonnez-moi Benoît » chantait une Françoise bien Hardy en ne pensant pas à mal ni au souverain pontife qui fait des bulles.

     

    Avec un zeste d’impertinence de ma part et un zeste de bon vouloir de ne pas aggraver la situation précaire dune cerveau qui ne demande qu' à bouillonner...de votre part... deviendriez-vous complice d'une balade sans but précis, si ce n'est celui de vous divertir.

     

    Qu'en pensez-vous ?

     

    Peut être possédez-vous dans vos ancêtres un Auvergnat, un tenancier ou exploitant de débits de boissons, un vendeur à la sauvette, un démarcheur à domicile ou....

    un Romanichel.....

     

    ...On se calme...On se calme..tout doux le bestiau !

     

    En apéro je vous offrirai mon effarement , car je viens de recevoir les résultats de recherches sur mes origines ….il y a du grain à moudre !

     

    Colporteur deviendrait « coal porteur » ou « porteur de charbon, noir, rude, difficile à transporter sauf pour un Auvergnat de Paris. »

     

    Un bougnat est un immigrant originaire du Massif Central installé à Paris.

     

    Après avoir exercé la profession de porteur d'eau au XIXe siècle, les immigrants de ces hautes terres vont s'orienter progressivement dans le commerce du bois et du charbon ainsi que dans les débits de boisson.

    Cette reconversion se fit sous le Second Empire, quand le réseau d'alimentation en eau de la capitale commença à desservir les étages des immeubles.

    Les Parisiens les appellent bougnats à partir de cette époque.

    Le mot viendrait de l'association de charbonnier et Auvergnat. L’origine de l’alliance si durable entre l’Auvergnat et le charbon est peut-être la vente à Paris du charbon de Brassac-les-Mines. Durs au travail et formant une communauté très soudée, beaucoup d'entre eux connaîtront de belles réussites.

     

    Les habitants de ce Massif si Central seraient-ils des immigrants ?....Ben çà alors !

    je suis sur le cul

    Ces descendants des Gaulois, Arvernes, ceux-la même qui ont collé la pâtée à un Jules nommé César... comparés à des Romanichels ….

     

    C'est vrai que ces gars la avaient la tête de leur réputation....râblés, teigneux, débrouillards, teint basané, dotés d'un sens des affaires et de la famille peu commun, formant des cercles impénétrables avec leurs usages propres à eux.....une sorte d’îlot de résistance comme un Massif Central.

     Des immigrés.

     

    .....Les routes que j'ai parcourues en compagnie des Gens du Voyage, dans les vertes campagnes d'Auvergne et qui se transformaient en « chemin de croix », sur le bord de ces voies de « non communications », les bonnes gens nous lançaient des quolibets quand ce n'était pas des pierres....

    '' Pardonnez leur mon Dieu car ils ne savent pas ce qu'ils font ''....

    Et ainsi font-font-font...les petites marionnettes....entre immigrants collons nous des étiquettes !

     

    Les Auvergnats et les Romanos même combat.

     

    Ne désirez-vous pas, par une gymnastique matinale essayer cet exercice ?

     

    Il vous faudra commencer par des étirements et des extensions déformatrices de mots qui laissent à désirer (dieu que c'est compliqué la gymnastique de l'esprit).

     

    Pour éviter les crampes et les douleurs,laissez gambader votre esprit librement laissez-le s'évader loin des règles de la normalité que votre entourage lui impose....

    afin de vous décontracter et de pouvoir en tirer un bénéfice salutaire à votre épanouissement ...extrapolez...transposez..imagiez...mes chers ancêtres je vole....

     

    A vous seul appartient la suite.

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique