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  • Pour la plupart d'entre vous, le 11 septembre reste une date à jamais gravée dans vos mémoires.....c'est la veille du 12 et le lendemain du 10.

    Pour le Loup curieux que je suis, cette date est synonyme de tours, d’empilement, de gratte-ciel ou  de strates.. Dans mon cerveau (sans être celui d'un helvète) c'est le mouvement perpétuel d'une Rolex, façon « gellis ».   Vous savez ces « absolutely delightfuls » traduisez par : infectes blocs de gélatine de la perfide Albion, qui après avoir reçu une pichenette, continuent de trembloter façon goitre de madame Chirac lors de sa tournée pièces jaunes, découvrant soudain un bouton de culotte dans la main douillette d'un David opportuniste.

    Ce cerveau en ébullition marqué par des années de vagabondage et de rencontres style 3eme type restera frappé pendant longtemps par les apparitions sidérales des pizzas d' EL CALIENTE  le bien nommé.

    Ce gars là qui aurait pu être de la Charité.sur Loire – la Ville du livre et Cité du mot – (ben oui le gars-la de charité)  pratiquait couramment le palpé-roulé sur les parties privées d'Isabelle, son épouse et son art est devenu addiction. Je l'ai surpris, l'air béat,  les yeux coincés en position «  au ciel... au ciel j'irais la voir un jour  » de fines perles de sueur luisaient sur son front volontaire, proche de l'extase.

    Il pétrissait, malaxait, palpait-roulait un pâton de pâte à pizza dont il était le père.

    M'ayant capté du coin de l’œil, il m'invitait à ce triolisme : « Révérend,  j'ai mis au frais du coca-cola, et pour toi j'ai du bon vin rouge ».Le bougre il savait y faire, j'avais le Nirvana à portée du gosier. A peine m'avait-il accordé quelques secondes d'attention qu’à coups de plat de main, étalée comme un béret de chasseur alpin, la pâte épousait la circonférence de la pelle à pizza sur laquelle elle allait entreprendre son ultime voyage direction un feu d’enfer. Triste fin ou réincarnation pour être le plaisir de tous ?

    La base recevait une couche de crème fraîche, difficilement contenue par un léger boudin de pâte torsadé à la hâte puis des morceaux de Roquefort et enfin de cerneaux de noix servant  d’agrégats à ce mortier subtile. Le premier étage s'accommodait d'une tranche ou deux, de jambon de campagne et de quelques tranches de chorizo pour lui tenir bonne compagnie...Période de disette ?...on ne sait jamais,  autant ne pas voyager seul. Un étager supérieur fait  de pâte était posé sur cet édifice, constituant une sorte de plancher, départ d'un  deuxième étage.

    Au niveau de cet échafaudage une couche de foie gras de canard était étalée, parfois accommodée d'une confiture ou d'un confit de figues. Ah...le sucré- salé ! Comme le chantait Aznavour «  tu te laisses aller, tu te l’as salé… »

    Nous étions assis à l'extérieur, notre enthousiasme bien entamé par le tsunami des entrées... rien que du light me direz-vous...charcuteries, petites grillades, pacsées à diverses sauces ...légères...légères... comme des montgolfières au bord de l’asphyxie.

    Il jaillissait tel un énergumène échevelé, illuminé, le visage barré d'un large sourire, tenant à bout de bras la pelle à pizza (cadeau de La Catinou).

    Se frayant un passage à grands cris de « Brûlons...Brûlons », il courait vers la dernière demeure de cette  innocente victime  immolée au feu d'enfer sur l’autel de nos gloutonneries. Enfournée qu'elle était dans le four adéquat, notre cuisinier la gueule brûlée par son brasier se rafraîchissait à grands coup de « ce que je croyais être du coca-cola  au léger parfum des Antilles ». Ah l’enfant du Bon Dieu, il avait coupé son détergent avec du rhum !

    Le geste précis, l’œil aux aguets, il repartait dans sa cuisine pour martyriser un autre pâton. Derechef  cent fois sur le métier il remettait son ouvrage. Jamais lassé de nous faire plaisir, de nous étonner avec des constructions de pizza, inventant des associations de » bien-fêteurs ».

    Toujours à l’affût de nos appréciations, tenant compte illico-presto de nos critiques, Christophe  rectifiait sur le champ la composition d'une pizza pour notre seul plaisir.

     Je crois que sa seule nourriture était de nous voir prendre du plaisir. Dans les soirées BBQ les « baisés » levez le doigt. C'est toujours celui qui officie qui ne mange pas.

    A ce grave sujet, je vous indique une référence à laquelle il faut de toute urgence vous référer : Roland MAGDANE et son barbecue.

    Généralement ce rôle ingrat est réservé à la femme qui en bonne maîtresse de maison et femme dévouée danse devant le buffet (vieille expression désignant la personne qui se sacrifie pour le bien être des convives.) Je me demande si ce rôle qui échoit à la femme n'est pas de son choix, car privée de repas...elle garde la ligne...mais passe pour une victime... Humour douteux.

    Christophe se dévouait à ce rôle que je croyais ingrat mais à bien regarder ne prenait-il pas plus de plaisir à donner qu'à recevoir.

    Je reste persuadé cet ami se régalait à nous régaler...

     

     

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  • La route et ses rencontres...mais lorsque ce "cheminement "s'arrête de nouvelles connaissances, issues elles aussi du monde du voyage se présentent à moi....Christophe m'attendait.

     

    Lorsque nous habitions "au mas"  en Camargue  ce cri de joie ou de feu de joie devrais-je dire, résonnaient comme le coup de clairon. Ils étaient annonciateur de libations  pas qu’un peu « espéciales ».

     

    Mes ancêtres criaient «  Montjoie - Saint Denis » avant que de se lancer à corps perdu dans la bataille pour fendre un quelconque hérétique d’un grand coup d’ estoque qui allait leur offrir un aller sans retour vers la terre de leurs ancêtres.. 

    Cet autre cri guerrier, poussé par Christophe, laissait présager d'un terrible corps à corps entre un chapelet de chipolatas, renforcé sur son aile droite par une escouade de grillades assaisonnées à l'herbe de Provence, jetée dans la cohue par ruse pour masquer une embuscade sur le front gauche d'un poulet grillé à la bohémienne.

    Je savais par expérience que l'affaire serait rude et que ce n'est qu'à l'ultime coup de Francisque et de Pertuisane que nous verrions nos efforts couronnés de succès pour atteindre le but final le saint Graal : le désert à Totof.

    Mais revenons à la genèse de cet appel à libations.

    Nos deux logements étaient mitoyens et nous  partagions un terrain propice à des séances grillades. Ce garçon, c'est en ces termes respectueux que l'on nomme un "gars bien"  chez les Gens du voyage, ne faisait pas partie à proprement parler de cette communauté.

    Marié et père d'un redoutable petit garçon aux yeux «  comme ceux de son papa » nous a régalé tout au long de cette cohabitation qui, au fil du temps, a fait la fortune de la pharmacie «  DUCOIN », c'est elle qui a vendu le pèse personne et  l’Hépatum, témoins gênants de nos repas  gargantuesques.

    Sans crier gare, que ce soit en début ou fin de semaine, le cri retentissait et des brassées de bois sec atterrissaient dans le foyer à grillades,  La braise  se faisait, doucement mais efficacement, prête à brûler tous les hérétiques de MONTSEGUR.

    La table dressée par les dames se recouvrait rapidement d'entrées froides de toutes sortes, légumes, charcuteries, charcuteries et... charcuteries de qualité. Une anchoïade maison attendait sagement son entrée en « cène ». En vedette américaine  le régional de l’étape allait ouvrir le bal.

    L'issue de ces duels était parfois courue d'avance. En effet les chances de gagner contre une avalanche de bonnes victuailles ne laissaient pas de place au doute et très souvent nous repartions K.O de ces rencontres.  Vaincus, certes,  oui mais fiers d'avoir combattu et d'être tombés les fourchettes à la main.

    Ce personnage mérite un arrêt sur image.

    Le garçon portait en lui les traces de luttes fratricides au sein d'une famille turbulente, par pudeur et par amitié pour lui et sa femme je n'en dirai pas plus.  Il souffrait, c'était visible mais compensait ce manque de reconnaissance et d'amour par un don de sa personne. Son entourage abusait de ses largesses et à chaque fois il payait les violons du bal.  Il rendait services à beaucoup de gens de son entourage et je pense, c'est à moi seul qu'incombe la responsabilité de ces propos, que cette gentillesse était exploitée par ses fréquentations.

    Solide et rude gaillard, il avait la faconde et le boniment des gens du Sud. Mais lorsqu'il racontait ses aventures et ses frasques, PAGNOL, RAIMU et le grand SERRAUT faisaient figure d’élèves du cours SIMON.

    Nos fous rires nous tordaient et nous pliaient en deux sur nos chaises et le bougre qui aimait ça en remettait une couche, singeant les gestes et les accents des participants, grimaçant en exagérant les traits de ses collègues, toute une panoplie de personnages défilait devant nos yeux ébahis.

    Brulons…Brulons…nous n’irons au bois il n’y a plus rien à faire cuir !

     

    Les trop nombreuses entrées avaient  fait place aux grillades trop souvent épicées offrant des excuses pour boire frais le rosé de Camargue. Un temps d’arrêt m’a toujours intrigué. Le joyeux brouhaha s’estompait soudain… les participants calmaient l’ardeur de leurs estomacs, c’est à peine si on percevait le craquement des os dans la gueule des chiens.

    On  aurait pu se croire au cirque : au son de la très célèbre Entrée des Gladiateurs, le héro de la soirée faisait son entrée.

    Je n'ai jamais compris comment faisait cet homme pour louvoyer entre les deux chiens qui nettoyaient le sol, les jouets du bambin et les pieds de chaises alors qu'il portait dans chaque main, des desserts maison,  gratte-ciels en équilibre, un véritable équilibriste. Je reviendrais dans une page prochaine sur ces offenses faites à une bonne digestion.

     

    Mais c'est pour plus tard c'est promis……Mais avant il faudra que je vous comte l’histoire des pizzas à étage réalisées par le même Totof……

     

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  • Manger une tétine ? Ah la vache...!

     

     

    La route et sa magie. Ici pas d’odeurs de bitume mouillé, de gaz d’échappement où de moteurs en surchauffe.

    Les senteurs qui  ont flatté mon museau de Loupzen sont des visages, des rencontres, des voix d’hommes et de femmes qui ont traversé ma vie.

    Que sont devenus ces messagers ? Je n’en sais rien, il ne me reste que quelques prénoms, des instants privilégiés durant lesquels je me suis  senti être « la personne la plus importante dans la vie d’un autre ».

    Il me revient une rencontre avec un Gitan « ne sachant plus où il habitait » tant ce monde actuel était différent  de celui qui l’avait vu naitre il y a une cinquantaine d’années.

    Lui, c'est un homme que quand tu le vois tu ne l'oublies pas.

    Comme le disent les gens d'ici « il est petit, pas bien grand, mais lorsqu'il part, il te laisse un grand vide ».

    Deux boules du loto font office d’yeux. Quand elles te fixent t'as envie de répondre « non, je l'jure je n'ai rien à déclarer ». C'est que ces deux là elles en ont vu et pas que du beau …. Elles auraient, j'en suis sûr, préféré ne pas être là à certains instants de sa vie.

    Si ces yeux pouvaient parler, il faudrait coudre les paupières pour les faire taire.

    Sa barbichette poivre et sel passionne son petit fils et rappelle aux dames qui l’embrassent, qu'il faut protéger les joues avec de la crème pour éviter de ressembler à une paire de fesses sortie d'un buisson d'épines ! C'est qu'il a le poil dru le gars !!

     Quand il te parle, tu sens bien qu'il n'est  pas breton tant cet accent rocailleux et plein de soleil me fait songer à cette vague rageuse qui essaye en vain de grimper les calanques de Cassis.

    Ses phrases se terminent dans un souffle comme si ce qu'il venait de te dire tenait du secret d'état et que Basta,  si t'as pas compris c'est que t'es un empégué !

    Je l'ai surnommé affectueusement « Ramaskro » celui qui mange beaucoup. Comme le disait ma mère « il a toujours un trou d’ouvert …au bal, il ne danse que la Polka des mandibules »

    C’est tout un univers qui déroule le tapis rouge pour te mener au grand restaurant des cœurs de cet homme. Il a le cœur sur la main et sur le manche de sa fourchette. Tout est prétexte à « un bon petit mangement ».

    Quand « ce fils du vent » te décrit une recette de cuisine, c’est un embarquement, une épopée avec comme guide, un Michelin des Gens du Voyage.

    Tu l’as écouté ? Ça y est t'as mangé, il ne manque rien.

    Ses « boules du Loto », sont prises de frénésie, elles s'agitent dans tous les sens, elles roulent se croisent, se percutent, s'entrechoquent, leurs courses folles ponctuées de : «  alors la, enfin tu vois je veux dire, c'est du bon mangé, çà voilà et puis tu m’as compris »

     Dans notre monde, le mangé à la grille consiste à allumer le feu (à que Johnny) et de faire cuire un  morceau de carne quelconque, rien de bien exceptionnel en somme…mais pas chez lui.... Le Michel, dont je viens de brosser le tableau ,  il y pose une tétine de vache !

    «  Alors tu vois, tu vas chez ton boucher et tu lui commande cette tétine mais attention, il faut qu'elle soit pleine de lait ! ». Non je n’ai pas perdu la tête….Patientez.

    J'imagine la scène et la discussion avec votre artisan boucher :

    « Une tétine pleine ?

     Bien monsieur et quel bonnet ?

    Le lait vous le voulez avec ou je vous le mets en bouteille »

    Mais les « boules de Loto » m'ont pécho et je stoppe mes divagations.  Il ne faudrait pas se perdre en  cours de voyage.

    Je vous révèle la recette de la fameuse tétine.

    Recette :

    Pendez la tétine avec un crochet, l'essuyer, découpez de fines tranches en longueur, salez, poivrez et saupoudrez d'herbes aromatiques.

    Posez sur le feu de bois, sur la grille en surveillant comme le lait sur le feu. Il n’y a pas beaucoup de marchandise et la chaleur aurait vite fait de transformer cette recette en « comment réaliser soi-même son charbon de bois » !

    Le résultat est, à mon goût, assez décevant. La viande est caoutchouteuse et craquante.

     Elle nécessite une quantité certaine de sel et poivre.

    Lorsque j’ai rédigé ce recueil de cuisine des Gens du Voyage, j’ai une la surprise d’être contacté par un bloggeuse qui durant son adolescence avait consommé cette recette.

    La façon de cuisiner la tétine de vache était différente car préparée par une mamie non gitane d’une région des Alpes en France.

    D’un commun accord nous avons classé cette recette dans la catégorie des : découvertes immangeables !

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  • "Qu'il fait bon chez-vous maître Pierre

    qu'il fait bon dans votre moulin"

    Pierre était le "patron" de la Librairie des Inconnus.C'est parce qu'il croyait que nous avions tous, le pouvoir de nous exprimer de façon littéraire, qu'il avait pris les armes pour porter nos exploits " d'écrivains en devenir" sur les salons des livres.

    Son cheval de bataille le portait à pourfendre les "ronds de cuirs" qui phagocytaient les circuits permettant à de jeunes auteurs de se faire connaitre sans pour cela passer sous les fourches caudines des majors-littéraires et librairies transformées en toutou de l'édition.

    Son infatigable compagne, Francine MUSQUIN a repris le flambeau de cette victoire méritée, c'est ce bien humble hommage que je lui dédie.

     

     

    Hommage à un soldat Inconnu…pas inconnu de tous.

     


    Remarquez que tous les ans  une gerbe  est déposée au pied de l’Arc de Triomphe et des « souvenez-vous » tremblotants sortent des gorges serrées par une émotion pas toujours susceptible  de vous mettre la chaire de poule.

    A en croire les hommages rendus, il semblerait que nos chers hommes d’état descendraient non plus de la cuisse de Jupiter mais de cet ancêtre « inconnu » dont la simple évocation fait monter les larmes et les trémolos à Charles, Jacques, François et les autres.

     

    Les éloges panégyriques dans le sens péjoratif d’éloges emphatiques ou exagérés sont monnaies courantes dans certains milieux qui affectionnent les utilisateurs de  pommades à base de vaseline.


    Mais cet autre inconnu, libraire de son état et anar de cœur de surcroît devrait avoir la reconnaissance qu’il mérite.
    Je fais allusion au soldat qu’il était… soldat  avez-vous dit ? Je suis persuadé que le jour du quatorze juillet le Pierre restait dans son lit douillet car la musique qui marche au pas cela ne le regardait pas (avec l’aide jubilatoire de G.BRASSENS)… je fais allusion à ses combats qui le menèrent sur les barricades de l’Edition Littéraire.


    Emboîtant le pas, mais  pas cadencé du tout, de ces combattants de la Libre Entreprise, je me ferai tout petit pour apporter ma pierre à son édifice.
    Ne l’ayant jamais rencontré, je m’enorgueilli de  ses coups de gueule à la lecture de mes « réflexions » de l’époque.

    Il fallait vraiment que j’ai de l’audace et de l’impertinence pour oser me mesurer à ces écrivains qui firent la réputation de la Librairie des Inconnus.


    La bienveillance de Maître Pierre a fait écho à mon insouciance mais déjà sa retenue et ses absences de jugement de valeurs à l’encontre d’un  lascar en herbe (fanée à la vue de mon âge) ont été des  « laisser passer » pour  combattre dans le cirque infernal de la pensée exprimée… Mais à vaincre sans péril... (Tiens encore un Pierre !).
    Des chemins tout tracé, j’en ai connu ! Mais l’ordre ne consiste pas à suivre un chemin tout tracé, c’est pour moi un comportement face au désordre qui régnait dans ma vie de rimailleur.

    J’ai appris à contrôler ce « désordre » pour afficher mes pensées de Loup pas toujours zen.
    L’ordre est synonyme de droiture, non forcé ni dicté par la société , par une culture, un milieu, ou par la contrainte ou l’obéissance. C’est cette liberté que j’ai trouvée dans cette Librairie.


     J’ai appris et pour moi ce fut le début d’une action que je compte bien poursuivre en n’oubliant jamais ce que furent nos premiers échanges avec  Vous.

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