• Lycanthropie...non troppo

    C'est en m'adressant à mon ange gardien, qu'une idée aussi saute que bienvenue m'est apparue et a fait son petit bonhomme de chemin.

    Habituée par mes écarts et autres dérapages littéraires, elle sait que derriére mes textes à l'emporte pièce, se tient un artisan malhabile qui bâti sa vie avec les pierres rencontrées sur son chemin, que le destin dans sa bonté a bien voulu déposer.

    Qu'allait il en faire ?

    Les envoyer sous les roues d'un carrosse passant, histoire de faire hoqueter ses passagers.

    Les lancer à la marrée-chaussée qui passe, mais çà c'est déjà fait.

    Les offrir en souvenir d'un regard fugace et plein de venin à son voisin « tiens ta face »...et l'effet boomerang , y as tu songé ?

    Ou bien ramasser avec convoitise ce bout de terre sur lequel d'autres avant lui ont bâti leur église, et commencer à édifier ce chef d'oeuvre tant espérer.

    Et c'est avec gratitude que je ne remercierais jamais assez toutes celles et ceux qui m'ont jeté la pierre pour me faire détaller et connaître en pressant le pas cet « avenir fraternel » que je ne connaissais pas. Je veux bien déraper, mais partager...vous me suivez ?

    Qu'il a un foutu caractère ce Loup ! Un vrai caractère de chien.

    Et c'est là qu'intervient ce fameux phénomène de lycanthropie.

    Lycanthropie désigne la transformation d'un homme en loup. Il peut s'agir : D'un lycanthrope, humain partiellement ou totalement transformé en loup dans les légendes et le folklore, plus connu en français sous le nom de loup-garou.

    Et dans l'autre sens, y avez-vous songé ?

    Lorsque j'ai endossé la personnalité du Loup, je l'ai choisie « ALPHA »Pourquoi ? Certainement à cause d'un léger voile mystérieux et de l'empathie des dames pour cet animal....notez bien que le « i'm a poor lonesome cowboy » n'est pas mal du tout.

    David Mech, inventeur du concept de « loup alpha » dans les années 1970 publie cette révélation :

    « Le terme d’Alpha n’est pas vraiment correct pour décrire la plupart des meneurs de meutes de loups, parce que le terme implique que les loups se soient battus et se soient affrontés de façon virulente pour prendre la tête de la meute. »

    « Errare humanum est, perseverare diabolicum » « L'erreur est humaine, l'entêtement [dans cette erreur] est diabolique ». Elle est parfois attribuée à ce mec Lucius Annaeus Seneca  philosophe, le même qui naguère déclarait : « l'Homme est un animal propre et délicat, par nature »...bon....il a le droit de se tromper !

     

    Quant au Loupzen que je suis, j'aurais déclaré, lors de crises aiguës pendant lesquelles je me prends pour PHILIPPE X

    « Monter me fut facile, rester en place, je le suis en étant habile, mais redescendre s’avéra très difficile » .

    De ce changement de positions, naquit une interrogation :

    « l'ai je bien descendu » rappelant ainsi par défi mais sans trop y croire la descente d'un escalier redoutée par les artistes .Lors de la première de la revue Vive Paris, en 1933, au Casino de Paris, Cécile Sorel, dans le rôle de Célimène, après avoir descendu avec succès le grand escalier, apostropha Mistinguett, placée à l’avant-scène.

    Un célèbre Laurent à la télé qui parodiait un Jacques, alors Ministre d'une culture aux « beurs » lui aurait fait prononcer :  « ce vieux Loup..quel bel homme » mais c'est aller top visite en besogne.

    C'est accréditer sans vergogne cette thèse comme quoi l'Homme est parfois un Loup pour l'Homme..ce qui n'est pas très reluisant pour le Canis Lupus» c'est chier non ?















     

     

     

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  •    Sur la planète atlas, un vieux et « suspicionneux » Leu, planqué dans un fourré comme l’est un vilain préposé à l’abri de son guichet, faisait le guet.

       Messire avait sur le côté la tête penchée et pensait que cette posture le ferait comparer aux impostures de chez Madame Arthur., c’est pour cela qu’il se dissimulait dans un buisson, à l’abri des coups fourrés et des quolibets, craignant d’être pris pour un gay.

       Atteint d’une neurapraxie cervicale avec quadriplégie transitoire, il avait du mal à tourner sa tête de Loup et compter sur la venue du docteur Bombay pour le débarrasser de cette fâcheuse posture.

       Farfelu à souhait, cet éminent déboussolé de la série télévisée : « Bewiched » était un spécialiste du remède pire que le mal.
    Rusé, déjanté et abusant de formules magiques inappropriées, c’est par le rire qu’il réussit à nous soigner et à travers les âges, nous transporter.

       Renard était son nom de baptême en langage qui plaît au Loup de Bohème. Fox, il fut ainsi nommé par les sujets de sa très malgracieuse majesté.

       L’oeil rivé sur la route, il vit passer un gamin à l’allure chaloupée, venant d’une banlieue surpeuplée, il ne survivait qu’en échangeant sa vie contre des heures passées à recevoir l’éducation d’un Grand Frère qui lui enseignait comment être dans la misère.

       Râpant, inculte, de ses mains couvertes de honte, il battait la mesure d’un air de son idole « Kelkon -je suis » au point de crier, « z y va bouffon, fait péter ta beuh » à la vue d’un ovis aries qui paissait.
       Le Loup pas surpris de sa réaction, souhaitant vivement que Bombay par sa présence explique à ce trublion que tous les crétins ne sont pas des Alpes, lui dit :

       « Oh, petit, allez, dessine-moi un mouton ».

       Le Chouffe surpris de cette intervention, niquant la police, et tout ce qui porte raison, taré par des drogues consommées, lui jeta à la figure « Ducon, c’est un méchoui qui me regarde passer ».

       Incompréhension totale de la part de ce pauvre petit qui n’eut ni père ni mère patrie, que la planète de France voulait enfermer dans une salle de classe pour y être lobotomisé, l’obligeant à saluer un drapeau que des crétins avaient jusqu’à leur mort défendu, ils appelaient cela « le lever des couleurs », rappelant ainsi que pour défendre certaines valeurs, ils étaient mort au champ d’honneur. Lui sa vie ne comptait pas pour un beur.

       Arrivant sur cet  entre faits BOMBAY sentant que le Loup allait démantibuler ce rebeu en manque de savoir, par la magie dont il avait le secret l’envoya à son tour paître dans le bestiaire d’un Christian qui ne saura qu’en faire.

       Ce prince qu’on sort de son bestiaire lorsque le besoin s’en fait sentir, se fit une joie d’accueillir une nouvelle espèce de « tête à claques ». Dorénavant à cet enfant de l’Islam, il donnerait le rôle de gardien de la Tradition, l’écoutant crier du haut de son minaret à l’approche d’une femme conduisant une bicyclette à la roue avant voilée.

       Dans notre univers, notre petit monde clos, tous les êtres vivants sont liés entre eux  par une communauté, faite d’amitié et de bon arrangement, de sagesse et d’esprit de justice, et c’est la raison pour laquelle, à cet univers, ils donnent, le nom de cosmos, ou d’arrangement, et non celui de dérangement, non plus que de dérèglement

     

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  • Les fâcheux de tous poils m'insupportent et me font hérisser la pelisse.
    C'est plus fort que moi, il faut que je plante mes crocs dans la partie charnue de leur anatomie histoire de leur rappeler que je n'aime pas les cons.
    Je ne vous demande pas pardon pour cet excès... C'est dans ma nature. Je n'y peux rien, il faut que je gueule !
    Si l'excès en tout est un défaut et qu'il soit banni pour devenir le politiquement correcte, la normalité me fait sombrer dans la mélancolie et la léthargie.

     Il fallait bien qu'un jour à ne plus pouvoir dormir, une charmante princesse pose sur mes lèvres un baiser à réveiller un mort en chantant « non Sire Le Loup n'est pas mort, car il en demande encore. »

    Je suis un hybride à qui on aurait lâché la bride, débridé, je carbure aux supers.
    Superlatif quand j'aime, j'ai l'encensoir prolixe qui virevolte, quitte en faire de trop, mais quand on aime, on ne compte pas.


    Super laxatif, les gens dits normaux m'emmerdent à voir leurs airs constipés de ne pas avoir pu aller. Je suis pour la chasse...pourvu que je puisse la tirer après le passage d'un Intelligent qui utilise une diarrhée verbale pour se faire entendre.


    « Supercalifragilisticexpidélilicieux » , j'aime les bons mots, les beaux, pas les gros, mais ceux qui font pencher ma tête de Loup vers les rimailleurs de chez Molière, histoire de dépoussiérer le langage de la mère patrie, partie je ne sais où, faire ses noces avec quelques rappeurs aux rimes atroces.


    « L'humour est le sucre qui aide la médecine à couler » comme le dit Mary Poppins. Un rien épicé pour ne pas dire féroce, je suis en cuisine encore précoce et j'apprends à concocter mes textes, ne sachant pas encore pas tout doser à bon escient pour qu'ils vous soient servis attrayants.


    J'ai du Rostand dans le sang ? Ami de Scaramouche, il faut qu'à la fin de mes envois, comme l'aurait fait Cartouche, je prenne la mouche.

    Il faut que ça bouge, que ça ricoche, que les idées fusent et mises en verve, c'est du RUGIERI au soir du 14 juillet qui vous est servi. J'ai choisi et j'assume mes états d'âme..... Je suis un pyromane des sens, mais de grâce « n'allumez pas le vieux ».


    j'aime la grandiloquence dans l' éloquence . S'il m'est reproché mon emphase en écriture, c'est que j'accepte la bouffissure de mes mots et que le naturel, je le chasse au galop, la simplicité aux simplets et l'hyperbole pourvu que j'en rigole.

    La FRANCE, pays de mon enfance s'est habillée en jaune faute de vert, elle passe au rouge, non plus celui tache, nous buvons trop parait-il, mais celui qui fâche.
    Le marchand de couleurs sensé en redonner à notre pays s'est transformé en marchand de chansons, on connaît la musique, son action ne restera pas gravée dans les mémoires, mais dans les Macron-sillons.
    Pour que le VERT de l'écologie règne enfin dans ce pays, il aura fallu prendre en compte la présence des JAUNES et des BLEUS. En prenant bien toutes nos précautions, le Bleu déteint lorsqu'on se frotte à lui, au risque de prendre des bleus au corps et à l'âme.

    Une âme malsaine dans un corps d'assassin. Je le confesse la fesse est ma faiblesse. Pas celle des gonzesses, non celle qui fait du bien quand je suis dessus.
    Les sièges modernes étant ce qu'ils sont, à interroger mon caleçon cela ne va plus être très long à ressentir la douleur d'une vertèbre qui s’affaisse .


    En tant que chef d'équipe, j'ai beau crier « holà" debout ! On se relève » « on ne laisse pas un équipier à terre au retour d'une mission »  ,comme à l'armée, mais rien n'y fait, dans mon pantalon, c'est pareil à la légion, c'est « marche ou crève ».... Çà ne sent pas bon à ce niveau de l'histoire.

     
    Un rapport d'opération me le confirme : «  C"'est le bordel mon adjudant...Y' a la L 4 et la L 5 qui manquent au rapport » Désertion face à la mission ou grain de sable dans la machinerie ?
    Joker mon cher Jean Pierre ! (oui, il s'agissait du fameux colonel Jean-Pierre chef de guerre prestigieux au 1 er R.E.P ) Je téléphone à un ami, le non moins fumeux docteur Bombay de la série « ma wife est une sorcière »   ce qui n'est un secret pour personne , mais lui demander de fourrer son nez vibrant dans mes quartiers privés ne m'enchante guère, on a sa pudeur nous les hommes.
    BOMBAY l'a dit, le LOUP l'a fait : « "Il n'y a que debout que l'on voit si l'homme est grand . »
    Ce qui fut dit fut fait, sans futilités, mais enchanté avec habilité…..

     «Debout les coincés des vertèbres, debout les forçats du coup de reins....c'est la lutte matinale, groupons nous est demain, j'aurais bien besoin d'un grand coup de main... » C'est du

    «  So parano » de « the voice of Arnica Montana » comprendra celui qui use de l'homéopathie.

     

    Après négociations et accords de principe sur la durée du temps de repos, le « petit chose et les deux orphelines » sont en plein spleen Beaudelérien.

    Il désigne une profonde tristesse née du mal de vivre et à s'exprimer. Avec l'age pourtant ce bouquet de fleurs qui n' a pas de mal à me faire du bien réveille le désir d'atteindre son idéal, celui de la femme qui me fut fatale.

    Jolie balade de santé qui fut « celle des dames du temps jadis », les souvenirs se font la paire, il vaut mieux être deux pour pouvoir en parler, mais en l’absence d'un tiers, il est préférable de se taire, les absents ont presque toujours tors. Je ne vociférais pas sur mes erreurs passées, je ne vais quand même pas me tirer une balle dans le pieds, quoiqu'il serait justice que mes ex. me punissent !

    Oh et puis zut ! Qu'on en finisse, fautes avouées sont à moitié pardonnées

    « elles furent la flèche et moi la cible ».

     

     



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  • DU  LOUP  &  D’UN  RENARDPetite fable affable

    Messer Loup, un jour lassé vagabonder

    Sur les routes que l’Histoire avait fécondées,

    Surtout celles vieilles comme les chemins

    Menant à tous horizons, à tous les demains

    Planta ses souvenirs dans la sédentarité.

    Posé loin de l’errance et de sa précarité,

    Sa plume se promenait encore dans les temps

    Qu’il avait connus un moment, vus un instant,

    Il rencontra ainsi un drôle d’animal, dru,

    En laquelle une engageante belette cru

    Reconnaître peut-être un renard rusé Compère,

    antan dit-on, des lupines curées.

    C’était un « chaméléon »,

    bête d’intérieur :Casanier comme un gros chat, mais vadrouilleur

    Comme un vaisseau du désert dans tous ses écrits

     Voyageant entre hier et ailleurs,

    moqueries Douces-amères sur son temps qu’en caméléon,

    Il faisait fables datant d’avant les néons.

    Et ce pèlerin immobile de noircir

    Des pages que Messer Loup, hélas, du se farcir 

    Mais goûta pourtant et loua tout aussi fort.

    Il le dit à faire rougir, à grand renfort

    De flatteuses images, à notre bon « Maître Renard »

    Qui lui aimait la prose de ce Loup anar’.

    Au fil des mots se tissa une amitié

    Improbable assez entre ces deux êtres entiers,

    Aux deux vies aussi diverses que leurs parcours,

    Partageant un même humour et un même amour

    De l’Humain ; deux inconnus qui, comme larrons

    En foire, voulaient voir tourner peu plus rond

    Notre Terre, deux bêtes qui, las, ne s’étaient

    Jamais vues mais aspiraient aux mêmes étés

    Pour eux et leurs sans discours ni débats,…

    Il n’est nul besoin, de se connaître, ici-bas, Depuis l’âge où l’on est d’insolents marmots

    Pour se reconnaître au-delà des maux et des mots !

    Amicalement et fabuleusement tien !

     

    Christian Satgé

    Détails de l'auteur

    Nom : Christian Satgé
    Date d'enregistrement : 17 février 2017 
    URL: http://lesrivagesdurimage.blogspot.fr

    Biographie

    Obsédé textuel & rimeur solidaire, (af)fabuliste à césure… voire plus tard, je rêve de donner du sens aux sons comme des sons aux sens. « Méchant écriveur de lignes inégales », je stance, en effet et pour toute cause, à tout propos, essayant de trouver un équilibre entre "le beau", "le bon" et "le bien", en attendant la cata'strophe finale. Plus "humeuriste" qu'humoriste, pas vraiment poétiquement correct, j'ai vu le jour dans la « ville rosse » deux ans avant que Cl. Nougaro ne l'(en)chante. Après avoir roulé ma bosse plus que carrosse, je vis caché dans ce muscle frontalier de bien des lieux que l'on nomme Pyrénées où l'on ne trouve pire aîné que montagnard.

     

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  • Jeux de mains

    Il est un témoignage qui caractérise la fin d'une aventure humaine : « jeux de mains jeux de vilain ».

    Cela tendrait à prouver qu'il faille garder les mains dans les poches et de ne pas les sortir lorsqu'on vous tend la main.

    Mais comment répondre à une poignée de mains justement pour ne pas en venir aux mains, car en matière de main, il est facile de faire un faux pas.

    En un tour de main alors que vous aviez la main heureuse vous voilà faire des pieds et des mains pour qu'une main innocente ne soit pas accusée d'être baladeuse.

    Je n'y suis pour rien, j'en mettrais ma main au feu si cette main pleine de doigts s'est posée sur le bas des reins prometteurs de cette innocente jeunesse aux mains pleines.

    Je ferais mettre à l'index ce majeur qui, alors que je me tournais les pouces, à fait battre les mains au point de faire sortir une main de fer de son gant de velours.

    Je croise les doigts pour que cette affaire de maladresse ne se termine pas en un improbable « pince-fesses » alors que je ne faisais que lui passer la main dans le dos.

    Une amie est venue prêter main forte par son témoignage, elle a le cœur sur la main et veut laver cette main de tous soupçons d'égarement tactile.

    Elle déclare en levant la main au ciel qu'au moment de ce glissement progressif vers le plaisir qu'elles étaient ensemble, unies comme les cinq doigts de la main.

    Ce témoin n'était autre que la main gauche, jumelle de la main droite accusée à tors d'ambidextre.

    « j'ai trébuché » invoqua comme excuse l'auteur de ce coup de main. « Pour ce crime de lèse callipyge vais-je me retrouver condamné au bûcher ? ».

    L’Effrontée avait la langue bien pendue, peu habituée à la tourner sept fois dans sa propre bouche elle avait pour habitude de la fourrer dans les affaires des autres.

    « vous enfoncez une porte déjà ouverte et lors de cette chute c'est celle de mes reins que vous avez agrippée ».

    « Certes il y a eu de votre part maladresse, je réclame justice pour cet acte soit disant involontaire. Vous mériteriez un coup de boule » et en relevant sa jupe dévoilant sa polissonne construction elle éclata d'un rire qui en dit long : « Désormais en embrassant Fanny, vous ne penserez plus qu'à lui. ».

    En la quittant, je fredonnais :

    « Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
    N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
    Au temps où les faux culs sont la majorité
    Gloire à celui qui dit toute la vérité . »

    Sacré Georges, c'est avec panache que tu savais élever les débats, de ce qui fait qu'ici bas, dans le ciel il y a des étoiles qui nous font lever les yeux et sur terre des fois il vaudrait mieux marcher en baissant les yeux.

     

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