• J’ai dit à mon petit-fils « dessine-moi un mouton « 

    L’effronté a rétorqué : « dessine le toi-même « 

    J’étais bien en peine d’exécuter le portrait d’un individu correspondant aux canons de la mode actuelle.

    Un « ovis aries » était-il blanc, noir, grisonnant comme la tête chenue qui peine à l’imaginer…sous quelles latitudes allais-je bien pouvoir le pêcher ce con !

    Était-il un détracteur de Macron, vêtu d'un gilet jaune, que le régime poussait à paître l'herbe rare des pond points ?

    Était-il un adepte de Mélenchon, le trop bien Tribun qui raflera le butin d’après la bataille ?

    Était-il " noir " comme celui qui est montré du doigt par le français qui n'en pense pas moins mais qui ne s'affiche pas ?

    Était-il de Panurge, suivant la foule des mécontents cherchant un mur pour aller droit dedans ?

    Était-il ce « bien ou non votant » ignorant qu'il fallait voter au bon moment (ou pas) pour le regretter demain ?

    Je l’imaginais mammifère ruminant de sombres pensées, descendant très probablement d’une union « d'un gars des Villes et d'une femme des Champs » ou victime toute désignée par les habitants de ce pays « Terre d'asile » comme étant responsable du chômage.

    Quelle que soit son apparence, sa provenance, son appartenance, il était né et sur terre pour être plumé comme un mouton qu'il était.

    L'Homme en général et la Femme en particulier aiment les animaux. Ils le prouvent de différentes façons, principalement en cette période fête...pauvres chapons !

    Lorsque je me balade dans la blogosphère, j'ai parfois l'impression de visiter une sorte d'Arche de Noé. L'humeur de nos blogueurs est conditionnée par les bulletins de santé du « chat Pépère » ou du « Toutou à sa Mémère ». Les uns rivalisent d'ingéniosité pour prendre des instantanés « d'un singe en hiver », les autres, pinceau à la main immortalisent une coupe remplie de fruits d'automne et d'un gibier mort pour le plus grand plaisir du peintre amateur, tableau chiant devant s'extasient vos faux-culs d'invités.

    Il ne se passe pas une journée durant laquelle la comparaison des faits et gestes de humain ne soit ramenée ou comparée à ceux d'un animal.

    Le mari, la femme et l'amant deviennent : Adieu veau, vache cochon, couvée...cherchez l'intrus...c'est la descendance, la progéniture qui n'aura pas lieu, sacrifiée à la suite d'un coup de fringale sexuelle. On pourrait dire trois petits coups et puis s’en vont. Pour ma part, ma comparaison se situerait au stade des « 3 petits cochons » .

    Et c'est bien là que le bats blesse. Frappé par l'insomnie c'est à longueur de nuit qu'il me faut compter sur eux.Mais revenons à nos moutons. Pourquoi cet animal au demeurant si doux est-il chargé comme une mule ?

    Il n'est pas rare que parmi eux se trouve un mouton noir, un Judas tout désigné par la vindicte populaire, victime désignée pour expier nos pêchers.

    Blanc, il n'a pas une vie facile puisqu'il est né pour être tondu, alors je ne vous raconte pas quand il est noir ! Il est traité comme une brebis galeuse au même titre que la pomme abîmée dans la coupe de fruits....tiens....çà me donne une idée !

    Si d'aventure vous cherchiez un mouton à 5 pattes, ne cherchez pas plus loin. Il est dit que "Par l'amour, les loups deviennent des moutons". Avant de passer votre main dans mon ex-toison, saviez-vous qu'un Loup peut en cacher un autre ?..

     

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  •  

    Mes chaleureux remerciements à l'équipe de " PLUME de POÈTE "  son fondateur Alain  BONATI  m 'a offert une véritable opportunité en publiant mes textes.

    Ma reconnaissance va plus particulièrement à Chantal, pour son aide précieuse et sa patience d'ange à mon égard.

     

     

     

    récentes antiquités       https://www.plume-de-poete.fr/

     récentes antiquités

    Nourrir le corps c est bien, mais alimenter son esprit plaît aussi !

    En marge de la parution de mon ouvrage su la cuisine des gens du voyage, j'apporte de l'eau à mon moulin, quoique le vin fut préférable, qu'importe la façon pourvu qu'apprendre ne cesse .

    Bonjour à vous visiteurs d'un soir, que vous soyez entré par curiosité, parce qu’une douce odeur de ripaille vous y ait forcée ou sur les conseils d'un ami, soyez les bienvenus en ces lieux

    Gourmand quand l'occasion se présente ou Gourmet assurant sa passion, à la lecture de ce livre vous constaterez que les recettes exposées sont du domaine de l'' espécial ''.

     

    Cette façon de cuisiner peut vous étonner, et je reconnais qu'au début de mes tournées des  popotes gitanes, j'allais de découvertes en surprises.

    J'étais persuadé que seuls ces fous de '' romanos '' avaient les capacités d' inventer et de manger ces plats....Erreur !

     

     Récemment j'ai eu le loisir et le plaisir de faire la connaissance d'un faiseur de repas à bases de recettes de cuisine antique Grecque et Romaine..un puriste, disciple de Pline l'Ancien.

     

     Le père Pline avait eu cette phrase célèbre : «  aucun livre n'est si mauvais qu'on en puisse en tirer quelques profits ». il devait parler de mon livre j'en reste persuadé !

     J'ai donc recherché dans un recueil de recettes anciennes, les correspondances de préparations avec les recettes des Gens du Voyage exposées dans mon ouvrage

    Surprise de taille, vous allez pouvoir en juger.

     A table !

     

    Cote de bœuf grillée aux anchois et pas folle la guêpe ( recette de Dédé dit la Guêpe )

    De la viande grillée au feu de bois, accompagnée d'une sauce faite d'anchois au sel et de gousses d'ail pilées .

     

     Tétine de vache au vert jus et Tétine de vache ( recette de Michel père d' Isabelle la Gitane )

    La tétine une fois cuite est coupée en morceaux puis placée dans un chaudron avec du beurre et accompagnée de persil, de cébettes et de champignons.

    Un bouillon fait de moitié d'eau salée et de vin blanc est porté à ébullition.

    Les morceaux de tétines sont jetées dans cette préparation qui recevra en fin de réduction du jus de raisins vert.

     

     Canard à la broche et la danse des canards ( cuisson à la schilpz )

    Les canards sauvages ou domestiques sont enduits d'une sauce à base de miel, qui servira à les arroser durant la cuisson. Ils sont présentés «  debout » devant un brasier.

     

     Frites de panisses et Kalentica

    A l 'époque romaine pas de patates  Triste époque !!

    Les frites étaient faites avec de la farine de pois chiche, trempées dans l'huile bouillante et salées.

     

     Polenta de châtaignes et pulenta corse ou la polenta des gros bras

    Les châtaignes ont souvent remplacé le pain, elles étaient aussi servies sous forme de bouillie'' qui tenait au corps ''.Cette polenta était accompagnée de saucisses grillées ou de truites au feu de bois.

     

     Je ne ferais qu'un brève passage et donc un arrêt minute sur les poules et poulets.

    Je crois que de tous les temps ces gallinacés ont été préparés à toutes les sauces. Qu' elles étaient été rôties, bouillies, fourrées ou grillées ces pauvres bêtes ont été présentes sur nos tables accompagnant nos repas au travers des siècles écoulés.

    J'ai découvert une pratique qui avait encore son mot à dire de nos jours dans la famille de mon épouse.

    L' Ancien, bien qu’il ne soit pas un Pline, se régalait de petits moineaux qu' il cuisinait dans une grosse pomme de terre ou sur une tranche de pain grillée.

    J'ai retrouvé cette recette, sans la patate encore inconnue à cette époque.

     

    Brochettes de Becfigues ou de Mauviettes :

    On les mange en automne et durant l'hiver, saisons ou ces oiseaux sont les plus gras. Passez ces oiseaux à la broche sans être vidés, simplement plumés et flambés.

    Enlevez le gésier, puis posez des tranches de pain sur le lèchefrites pour recueillir le jus de la cuisson et enfin servir sur les tranches de pain.

     

    Omelette d'asperge ou de pissenlits – recette des TINKERS d'Irlande

    Les asperges ou fleurs de pissenlit étaient ébouillantées pour ôter l'amertume, puis incorporées dans des œufs battus

    La galette était cuite sur les deux faces pour obtenir une omelette sèche.

     

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  • La FRANCE a comme drapeau les 3 couleurs de l’espoir :

    ROUGE, BLANC et ROSE.

    C’est fou cette manie que nous avons, à chaque épisode de notre vie d'attribuer une couleur.

    Celle qui décore et colore notre vie est le jaune.

    L’histoire a fait du jaune une couleur plutôt positive, liée à la joie et au succès. Pourtant, cette couleur n’a pas toujours eu les bonnes grâces des artistes. Elle a souvent été associée à la jalousie, ou à l’infamie. C’était la couleur dont on marquait les bagnards et les prostituées. De nos jours, le jaune est surtout vu comme une couleur bénéfique, bien qu’elle reste la couleur la moins préférée des Français. …..et pour cause !
    Avoir les foies blancs « avoir peur ». Dans les dialectes, le foie blanc ou les foies blancs sont les poumons, opposés à foie noire (le vrai foie). Le foie est normalement rouge et, dans l’anatomie préscientifique, c’est lui qui fournit le sang ; 
    les Grecs disaient leukhêpatras (« foie blanc ») pour « lâche ». en anglais (chez Shakespeare) on rencontre dans ce sens white-hearted ( « à cœur blanc »). L’image primordiale réapparaît en argot français vers 1840 (Esnault) où un foie blanc est un « traître », un « donneur

    De ce foie blanc découlerait le juron de « foie jaune » trouvé dans les westerns ou les épisodes de Lucky Luke sachant que la couleur jaune renforcerait l'image négative. En effet, outre une association possible avec les « indiens », le jaune a longtemps été considéré comme la couleur de la traîtrise et de la lâcheté.

    J'ajouterai (sous toutes réserves ) que pour installer le chemin de fer, la main d'oeuvre Chinoise a été importée et exploitée pour contrecarrer les gréves. (Chinois.....peau jaune....)


    L’express consacre un article « Le jaune : tous les attributs de l'infamie ! » :

    un «jaune». On dit aussi «rire jaune».
    L'expression française «jaune» pour désigner un traître remonte au XVe siècle, et elle reprend la symbolique médiévale.

     

    Ce matin il vous faudra plus que du courage pour vous offrir la liberté de circuler. Avancer, s’arrêter, redémarrer enfin et aller de l'avant, faire partie du troupeau et suivre tous ces gens qui font comme vous, cherchant dans la fuite en avant, un semblant de liberté. Vous ne craignez plus rien c'est sur les Gilets Jaunes que vous pouvez compter.

    Dites leurs grands mercis, souvenez-vous..... à quand remonte votre dernière haie d'honneur sous les cris d'une « ola » aux bras levés vers le ciel....comme s'ils croyaient encore au Père Noël, en vous regardant circuler, les Gilets Jaunes vont vous saluer.

    Plus dure sera la rechute.........Vous faire traiter de fils de pute par un porteur de gilet alors qu'il en fallait de peu pour que cette putain ne fut sa mère vous laisse en bouche un goût amer.

    Vous refusiez de vous arrêter ? Lui, n'a pas vu le mur contre lequel il allait s'écraser.

    Ou étiez-vous jeunes écervelés lorsque je me battais pour que vous puissiez poursuive vos études qu'à l’évidence vous n'avez pas rattrapées ?

    Que faisiez-vous quand ce qui vous servez de père expliquait à celle qui allait devenir votre mère que de faire le point ferait du bien, abandonnant sur le bord d'une vie une femme et ce petit con qui crie : '' à mort '' ! Il est pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui pour.

    Demain il sera sur les gradins du stade, tel un Néron réclamant la mort de son footballeur préféré, qui n'a pas poussé le ballon, au fond de la cage.

    Mais au jour d' hui, de vous empêcher de travailler, c'est lui par ses façons de faire,a  un peu trop loin  poussé le bouchon.

    Rester toute la journée sur le bord d'un rond-point voilà une raison d'inquiéter MACRON. Lui qui survole en avion une FRANCE immobile, celle là même qui lui a offert les clés pour une FRANCE en MOUVEMENT. Quelle ironie du sort, à vous de lui faire remarquer qu'un travailleur qui marche ira toujours plus loin qu'un con qui le regarde passer.

    Mais ils y croient et ont des certitudes......pour vu qu'ils ne perde « la foi, ces jaunes »

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  •  

    Mon nomadisme.... à moi

    « Vous les Gitans, vous n'avez pas le monopole du nomadisme ».

    Cette question soulevée du bout des lèvres me semblait être un baiser empoisonné qu'une amatrice de la « chose » aurait fait glisser sur le membre viril d'un ecclésiastique émoustillé par la présence d'un jeune sonneur de cloches !

    Je sentais bien que cette rombière me cherchait. Je regrettais de ne pas être un antiquaire pour me payer cette vieille peau.

    A bien analyser le contexte dans lequel allait se dérouler la curée (non, non je vous rassure ce n'était pas la femme du curé !) tous les voyants étaient au vert pour que sonne enfin l’hallali et que meure sous une réponse cinglante : la bêtise humaine.

    Là aussi je tiens à vous rassurer...la connerie humaine est née de génération spontanée.... plus tu en tue...plus tu là sur le cul !

    Je la pressentais rosie par les premiers émois, son visage d'ancienne adolescente portait encore les souvenirs de ce qu'avaient été ses premières bouffées de plaisir, Je la devinais rouge au bord d' un extase planétaire et bientôt cramoisie de bien être par le mal être qu'elle venait de faire naître dans l’assistance .

    C'est fou comme le botox arrange les façades défraîchies mais se trouve inopérant pour reboucher les fissures du cerveau des dames fêlées.

    «Qu'entendez-vous par là»

    A son allure de vieille dégingandée, je la savais «fourbue» de l'enseignement, je la devinais dame patronnesse, je la percevais marchande de sommeil dans un confessionnal ou pire encore adepte de parties de tricotage chez «Mode et Travaux, Ma maison et mon Jardin ».

    Plus habitué à pratiquer l'échangisme façon «bourre pif» que «ronds de jambes et suivez-moi jeune homme» je décochais à ma sparring-partner ( il faudrait voir à vous renseigner sur ce terme pugilistique ) une réponse en forme de boomerang :

    «Faut il être obligatoirement gitan pour être nomade»

    j'abondais dans son sens, histoire de faire baisser sa garde tout en préparant le terrain glissant pour qu'elle se ramasse façon atterrissage train rentré...tout schuss.

    J''aimais cette façon de pratiquer la langue de bois en posant une question à une question sans réponse. C'est pour moi une façon très «masculine» de se défiler devant une problématique féminine ….ce n'est pas ce que tu crois ma chérie....Non c'est ta robe qui est trop petite... »

    Pour en revenir à cette question à laquelle j’amène une réponse, je dirais que fort de ma propre expérience, je répondrais non.

    Cet aparté n’aurait pu satisfaire les instincts meurtriers de cette virago puis et puis..... on ne parle pas aux cons ça les instruit, devait-elle penser.

    Une chose est certaine, elle devait pratiquer le sado-maso- culturel. Revenant à la charge, elle en voulait encore :

     De quoi viviez vous....de la charité d'une société que vous méprisiez ».

    Les coups bas sont interdits sur le ring....mais à franchement parler, celui-ci venait d'être bien porté et mérité.D'échanges cordiaux entre gens de la même espèce, le programme venait de changer,

    Ici on pratiquait le free fight.

    Pour avoir vécu cette vie dite «de bâtons de chaise»( allez..cherchez dans vos dicos!) je me suis toujours insurgé sur le fait que les Gens du Voyage profitaient grassement des avantages de cette société sur laquelle ils crachaient mais en refusaient les inconvénients ....le beurre, l'argent du beurre, la baratte et la crémière ….c'est carton plein ou quine !

    La gourgandine n'avait pas tors et si les tors existaient, ils devaient être partagés.

    Ôtez de votre crâne ces images d’Épinal, du beau brun au regard chargé de mystérieuses promesses et de cette Esméralda qui va d'un tour de hanche envoûter l'aventurier que vous êtes, ne rejoignez pas GAROU et Consorts pour passer vos mains sous le jupon de la belle Gitane.

    L'amalgame est bien ancré dans vos têtes ...qui dit nomades dit Gitans.

    Ces précisions étaient indispensables à planter le décor dans lequel évoluent les nomades.

    C'est peut être grâce à ces lignes que je commence à entre voir la vérité, du moins un commencement d'explication à ce que j'ai vécu. Les deux catégories correspondent assez bien à ma vie.

    Ma « détracteuse » (çà fait engin de T.P) revient à la charge.....elle me contracte et je me rétracte....mais je commence à la trouver moins pénible !

    Je descends de mon destrier, je revois à la baisse mes prétentions de convaincre par ma faconde mon interlocutrice.

    Pour ma part je ne m'associe pas à ce doigt pointé, dés la sortie du ventre de sa mère l'enfant sera forcément un gibier de potence.

    Oui mais, les « gens biens » qui ont fait le choix de bien se comporter, je comprends que c'est leur volonté de changer de mode de vie....Mais les autres ?

    Avec quoi allez-vous payer le toubib qui viendra au chevet du Romano malade, l'instituteur dans son école mobile, (le pape dans sa « papa mobile »ne fait pas partie du questionnaire)les aides apportées par les «acteurs-socio-bénévoles et gouvernementaux ».

    Soudain, j'entrevois l’empêcheuse de tourner en ronron....elle est adepte du grand Arturo BRACHETTI, le number uno des transformistes... de mégère « inappropriée » elle s'est transformée en Pythie sans pitié, les bras levés au dessus d'une tête couronnée de serpents sifflants MEDUSA est bien sa sœur jumelle, elle tient deux angoissantes banderilles qu'elle se propose de piquer dans la chair de ma chère chair.

    C'est contraire à la notion de fonder une famille et vos racines....comment feront vos descendants ?

    Seront-ils sédentaires parce que papa ne l'était pas ?

    Suis-je redevenu nomade par ce que mes ancêtres l'avaient été avant moi ?

    Il paraît que l'histoire est un éternel recommencement .

    Les origines maternelles : coureurs des mers , coté pays peuplés de braillards hirsutes.

    Les origines paternelles : rien à déclarer....ce qui m'offre l'opportunité d'un flou artistique.

    Peut on être vagabond dans l’âme et stagner dans sa vie,voyager dans sa tête sans chausser ses baskets...vivre ses voyages par procuration …. et devant celle qui vous a choisi lui répondre «je sais.... je sais » alors que son être entier vous crie «emmène moi danser ce soir».

    Ne pouvant me contenter de ces vies banales, mornes et insipides, très vite je me suis mis au banc de la société.Je ne voudrais pas faire porter le chapeau à mes ancêtres, de peur de recevoir un coup de massue sur le crane ? mais ils auront des comptes à me rendre.

    Comme je manquais cruellement d'instruction, un Jules nommé FERRY ne m'attirait pas plus que çà, par ignorance et par nécessité je suis devenu rebelle.

    Mais chassez le naturel il revient au galop...cette léthargie ayant trop durée, nos propres enfants nous ont montré le chemin ouvrant ainsi la voie royale...l'aventure c'est l'aventure.



    Et mon aventure a commencé en prenant la main d'une autre aventure qui n'attendait que çà...et ce fut toi.

    ( à ma femme )







     

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  • Éclaircir le mystère du clystère

     

    Amis lecteurs et autres, avez-vous remarqué ce que l'humeur peut être changeante ? 

    Oui, c'est un mot féminin et vous n'êtes pas sans savoir ni sans saveur que souvent femme varie.
    Le terme humeur vient du latin '' 
    umor'' qui est lui-même un mot venant du grec ancien qui signifie : liquide.

    Pourtant, j'ai télescopé la trajectoire d'un sac à vin qui avait oublié qu'il y avait plus de philosophie dans un verre de vin que dans les livres...à condition qu'il s'agisse de vin et non de Beaujolais nouveau, ce fut là son gros défaut.

     

     De là à penser que boire un petit coup peut faire basculer la mauvaise humeur, il n'y a qu'une tournée que je vous recommande de régler....sinon je vais être de mauvaise humeur quitte à passer pour un Orchidoclaste .

    Il serait bon de noter que "Le bagage d'un homme, c'est ce qu'il a lu et ce qu'il a bu."(Je ne suis pas l'auteur de cette formule).

    Question de vous mettre de bonne humeur, j'insisterais sur le fait, et c'est bien connu, que le Mâle ne peut pas faire deux choses à la fois ! L'ancêtre de '''boire ou conduire'' en quelques sortes. Mais si tout comme moi vous voyagez léger, vous n’emporterez pas grand chose à boire dans vos bagages.

    L'affaire se complique lorsque vous vous en jetez un derrière la cravate en lisant un bon bouquin ou les commentaires des A. A. A d' EKLA

    Un autre mot en français qui a la même racine est le mot humour mais son acception actuelle est plus récente. Il vient de l'anglo-normand ''humour'' qui vient lui-même du vieux français : humor.

    Ce qui me fait dire que les vieux ne manquent pas d'humour.
    Il en faut une sacrée dose à Nous les Anciens pour supporter les conneries des jeunes et c'est un
    Archéodendrite ou Vieille branche qui vous le dit !

    Pendant trop longtemps, j'ai supporté les
    culs-terreux et les fesses-Mathieu. Je note que chez les vieux (je parle des Anciens, car on peut être vieux à tout âge !) il y a une augmentation très sensible de  pète-sec .



    Peut-être faudrait-il qu'ils engagent une marche arrière salutaire et deviennent adeptes de la klysmaphilie pour les uns, de la clystérophilie pour les unes et du lavement pour les autres.

    Accompagnant ce geste de « salacité lubrique », la chanson du groupe REGG'LYSS fournirait le mode d'emploi « Mets de l'huile ».

    Qu'entendons nous par là ?

    Je vous répondrais : pas grand chose, car je ne prête pas mon oreille à ces vents de bas étages.


    Le mystère du clystère reste entier.

    Ancré profondément dans les anales de l'automédication il a fait ses preuves dés le moyen-âge et resurgit de nos jours comme un pet de lapin sur une toile cirée.

    Les pratiquants sont parait-il de plus en plus nombreux et cela les met de bonne humeur.
    Pour une fois, je n'ai pas l'envie de partager la cause de leur bonne humeur, pourtant le manque d'humour est l'apanage des gens qui ont de mauvaises humeurs.(médicalement parlé)

    Sur le site d'Expressio.fr, j'ai découvert que : « Et si jamais quelqu'un vous demande comment on fait un lavement, vous pourrez répondre que c'est clystère et boule de gomme.» .

    Je n'invente rien.

    L'origine de cette expression se perd dans la nuit des temps.
    Vous l'avez compris, l'humeur et l'humour font bon ménage lorsqu'ils se trouvent sous le même toit et c'est un gage de mariage heureux.
    Boire un petit coup peut vous rendre heureux et vous mettre de bonne humeur à condition de ne pas abuser du liquide.

    Concernant l'usage du clystère, je vous laisse seul juge des bienfaits de son utilité et m'en lave les mains.
    Quant à cet
    Alvéopyge ou «  personne particulièrement énervante » ou trou du c...qui s’enivrait de l'idée de s'être débarrassé de moi, pour seule réponse à sa détresse, le diable de fort mauvaise humeur lui répondit : « et merde il est encore debout ».





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