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    Le cerveau collectif que j'ai mis en pratique n'a absolument rien de commun avec celui décrit dans le livre de Napoléon HILL « réfléchissez et devenez riche ».....honteusement je m'en suis inspiré....mea culpa.

     

    Ces formules magiques customisées par un super Mastermind s'adressent à des personnes qui sont reconnaissables entre toutes : elles ont les dents qui rayent le parquet et se percheront sur les épaules d'un des leurs pour pouvoir accéder à une position sociale supérieure...des arrivistes aux pieds en forme de rouleaux compresseurs !

     

    « Le cerveau collectif résulte des efforts conjugués de deux ou plusieurs individus qui œuvrent dans un esprit d’harmonie en vue d’atteindre un but précis. Sans la coopération de ce cerveau collectif, nul ne peut profiter d’un tel pouvoir ».....l'idéale....harmonie i tutti quanti.

     

    L'idée de ce cerveau collectif me vint par le passé suite à une phrase qui rendit mon beau-père célèbre au sein de la famille.

    Privé d'éducation suite à ses origines gitanes, l'Homme n'en est pas moins doté d'un sacré sens de l'humour (je fais allusion à son manque d'assiduité à venir user ses fonds de culotte sur les bancs d'un Jules tout FERRY qu'il était ).

     

    Lors de discussions sérieuses et pour que l'intéressé lui accorde toute son attention, il professait :

    «  je suis né dans des conditions très spéciales, fils de ma mère qui était Jeanne d'Arc et d'un père se disant Napoléon Bonaparte. ».

    Généralement l'échange de points de vue s’arrêtait à ce stade et le point finale était alors proposé.

    Mon beau-père prétendait qu'il s'agissait là d'un des mystères de la création ...je lui laisse l’entière responsabilité de ses déclarations et croyances en ce domaine.

     

    Pour en revenir à ce sujet, il est nécessaire que j'apporte quelques explications plus rationnelles.

     

    Dans la vie nous prenons quasiment tous exemple sur des personnes qui de par leurs attitudes ont marqué nos esprits. Je viens de le faire en citant mon beau père.

    Ces personnes et ces personnages ont laissé leurs empruntes car leurs façons de peindre, de jouer de la musique, de cuisiner, d'écrire, de commander, de diriger, de penser ont correspondu un jour à ce que nous aurions aimé être : à leur place.

     

    Devant tel problème, qu’elle aurait été la réaction de mon oncle Tartempion....et de la tante Mélusine ?

    Cela vous semble enfantin, mais si je me demande : devant cette problématique qui nécessite une réponse dont va dépendre ma situation dans les 10 prochaines années, comment aurait agit ce stratège Corse portant le nom de Bonaparte et dont les pensées dorment sur ma table de chevet ?

    Ou qu'elle aurait été la réaction de ce Kong Qui plus connu sous le nom de CONFUCIUS dont vous décorez votre blog de ces citations.

     

    En bien y réfléchissant, parfois sans le vouloir nous érigeons en modèle des personnages qui ont fait l'histoire.

     

    Pour ma part je me réfère souvent à un avionneur toulousain qui avait inscrit sur les murs de ses bureaux «  tous les spécialistes sont unanimes, ce projet est impossible à réaliser...il ne nous reste qu'une chose à faire...le réaliser ». J'en fais mention dans ce même blog dans la rubrique « écrivain...non témoin et à l'impossible je suis tenu » …..pour les curieux et chanceux que vous êtes.

     

    Au centre d'un débat, mettant en opposition des idées clairement affirmées et des prises de position soutenues par un des participants, sentant que le point de rupture est proche, ne voulant pas nuire à vos bonnes relations avec un ou plusieurs intervenants quel personnage célèbre dont vous faites souvent référence dans vos propos pourrait de par son attitude vous venir en aide ?

     

    Votre « ordinateur intérieur » se met rapidement en marche, réveillant les célébrités qui dorment encore bien au chaud dans vos cellules (pas les prisons ni les chambres de moines!) et à la vitesse d'un V2 survolant la Manche vous citez une phrase, une réplique célèbre d'un non moins homme célèbre qui vous permet de vous retirer avec les honneurs de ce débat devenu houleux, où de clore les hostilités.

     

    Vous venez de faire appel à ce que je nomme le cerveau collectif.

     

    «  L’esprit de l’homme produit de l’énergie. Lorsque deux hommes s’associent, ils constituent une banque d’énergie et libèrent une autre force supplémentaire : le pouvoir du cerveau collectif. »....quid du partage ?

     

    Une vieille chanson de Vieux trottine sous mon scalp « quand on est deux ce n'est pas la même chose » L'union donnant donc la force, encore faut-il qu'elle soit bien employée ;

    J'ai constaté qu'il y avait « tempête » dans nos cerveaux....et que de plus en plus de gens dans notre entourage prenaient conscience des capacités qui sont mises à notre disposition....en gros, notre cerveau est un « self-service »...il n'y a qu'à se servir et c'est gratis pro deo .

    Nous serions bien les derniers des derniers à ne pas le faire ( j'aime cette expression dont je n'ai jamais compris le sens !....mais cela fait bien et ça remonte ma côte.....Ce Loup, quel animal !

     

    A ce sujet qui n'a rien à voir avec ce que je suis tenté de vous expliquer, j'ai eu une longue discussion avec une copine qui se plaignait d'occuper la place peu envieuse de celle qui tient la chandelle.....lors d'une soirée ; Il fallait que je la rassure et que réagisse tout de go !

    Tenir la chandelle :

    J'ai proposé à ce cercle de buveurs d'eau bénite de ne plus employer cette remarque désobligeante pour une fille qui doit faire tapisserie....et de la remplacer par : faire soirée chausse-pied.

     

    Devant les airs ébahis de ceux qui voulurent bien entendre...j'ai expliqué qu'il valait mieux regarder une belle se faire enfiler pour prendre son pied !...j'ai honte et vous demande l’habeas corpus pour cet outrage.

     

    Je referme vite cette parenthèse inattendue, vos constaterez que les sujets sérieux m'ennuient et que la gaudriole me rend la parole....encore faut-il avoir des lecteurs pour entendre la parole, ce qui à mon avis es un non-sens...un lecteur n'a que faire de votre parole,puisqu'il se délecte de vos écrits...ce qui me fait dire que dans les journaux de gens sérieux ( vous savez ces donneurs de leçons qui vous mènent par le bout de vos lunettes....vous disant ce que vous allez mettre, penser, manger et vous transformer en « chausse-pied »)vous privant de tout discernement et de votre liberté de penser....) il est écrit : la parole est à nos lecteurs ? Bizarre non ?

     

    Vite à l'aide mon cerveau collectif. Que faire ?

    RÉPONSE: A cette heure-ci..retourne te coucher !

    N’emmerde plus tes lecteurs !

    Fini le saladier de compote de pêches à la cannelle et n'oublie pas de remercier tes lecteurs pour leur l'indulgence.

     

     

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    Bonjour, je m'adresse une belle leçon de vie....

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  • Le ROUGAIL est une préparation d'origine malgache, condiment indispensable pour accompagner le carry sur l'île de La Réunion. 

    Très épicée, elle se compose traditionnellement de tomates coupées en petits dés, de gingembre pilé, d'oignons émincés et de piment Martin.

    C'est à la base une préparation d'origine TAMOUL mais, sa notoriété est en effet Réunionnaise.


    Le fait que ce soit une préparation ne m'a pas échappé et c'est pile-poil ce qui m'intéresse :
    La préparation, c'est-à-dire le mélange d'ingrédients raffinés, tomates, mangue verte et de cocktails explosifs : gingembre pilé, oignons et piments Martin. Soit dit en passant avec le piment Dupont çà n'a pas les mêmes effets.

    Ce Rougail, par ellipse est un plat de traditions qui se rapproche du Cari. C'est un condiment accompagnant de façon révélatrice les instants de vie des Réunionnais.

    Ce mélange astucieux révèle de par sa composition différents aspects d'une personnalité culinaire complexe.
    Il vous surprendra par sa douceur à l'attaque du palais, mettant en confiance vos papilles, ne montrant aucun signe d'agressivité, petit à petit, il fera en sorte que vos barrières de défense des à priori  baissent la garde pour faire grimper le régime des tours dans votre moteur interne.

    La douceur de la mangue verte, avait rendu oisif votre système salivaire, plus occupé à coller les timbres de la Poste sur vos dernières cartes postale de vacances, mais c'était un cheval de Troie !
    L'ennemi est dans la place ! Martin est son nom de guerre, piment est sa véritable nature.

    Ce dernier ne se déplace jamais seul, ses assesseurs semblables aux écuyers du moyen-âge lors des joutes, portent avec eux le parfait attirail du spadassin.
    Oignon pilé à l'attaque sucrée pour tromper l'ennemi et gingembre pilé qui lui annonce dés l'ouverture des hostilités qu'il n'est pas là pour donner du lait, lui, il frappe fort.
    Je préciserai tout de même que c'est un coquin ce Gingembre car, nous savons qu'il est rude et agressif..Oui mais pour nous les hommes.... Cela peut représenter une aide non-négligeable en cas d'épuisement... alors ne pourrions-nous pas pactiser quelques fois, avec l'ennemi ?

    Je vous laisse seul juge en votre âme et votre inconscience.

    Ce mélange complexe de force est de douceur, de raisons à être déraisonnable et de savoir faire pour que le cœur puisse savoir ce que la raison est sensée ignorer correspond à une personne de mon entourage.

    Originaire de l'Île de la Réunion, cet rougail (et oui ce rougail en est une !) m'a montré la marche à suivre en me rappelant qu'il suffit de mettre un pied devant l'autre et de recommencer pour avancer.
    Elle exerce la profession de kinésithérapeute.

    Nous nous sommes télescopés à trois. Non pas dans cette bonne vieille ville qui a la réputation d'être la reine des andouilles, ni lors d'un concours hippique avec au départ dans la dernière un cheval de Troie.... Mais grâce à un troisième personnage, Antoine dont je ne puis faire ici l'éloge, tant la place qu'il tient est grande... Patience son heure viendra.

    C'est avant tout un regard inquisiteur et scrutateur qui vous accueil dans sa place. Comment fait-elle pour accéder à vos données vitales alors qu'elle est, durant 10 heures par jour, enfermée dans un local de la taille d'un plumier scolaire.
    Une élévation de l'esprit lui est alors indispensable, guidée par je ne sais quel canal, son diapason vibre et la connexion se fait à l'unisson.

    De petite carrure, elle ne possède pas moins la force d'un étrangleur quand ses mains se posent sur vous, façon de dire « tiens ne serait-ce pas à cet endroit que vous avez mal ? ». Elle n'écoute pas votre réponse suffoquée pas vos cris et gémissements, elle n'en a cure, elle sait un point c'est tout !

    De façon inattendue, c'est en « gym -astiquant mes méninges » qu'elle a remis en marche le bon déroulé de pas, ce qui étonne et intrigue le corps médical, toutes chapelles confondues.

    J'associe la personnalité de cette artiste chargée du service après-vente des hôpitaux et autres cliniques à ce rougail bienfaiteur, mais inscrit au menu de la vie dans la catégorie cocktails Molotov.

    Elle, sa vie est compliquée, bordée de limites franchies par les autres, écrasée par la sempiternelle omniprésence du mâle dans toute sa splendeur, elle paye un lourd tribut à ce que je nommerai «  un combat décisif dont l'issue ne fait aucun doute ».
    C'est elle où elle... il ne peut en être autrement car depuis fort peu de temps elle s'est dressée le poing levé pour dire stop aux rouleaux compresseurs de tout genre qui lui réduisaient son espace vital.

    Son infinie patience dans la maîtrise de son art vient du respect qu'elle porte à ses visiteurs furent-ils d'un soir.
    Ma femme a fait cette expérience heureuse lors d'une rééducation suite à une intervention lourde.

    Son humeur s'acclimate à votre personnalité affichée. Elle sera à l'image de ce Rougail, changeant, doux, corrosif, « décolleur de pulpe » en vous secouant la bouteille, attentiste en vous voyant mettre la table, mais toujours vous accompagnant dans votre vie.

    De par ses origines, elle fait la nique aux mixophobes à qui elle prouve que la blondeur n'est pas l'apanage des Scandinaves et remercie en secret un certain KITLG.

     Ce gêne de type Flodor vous transforme en chips craquant, héritage d'un ancêtre qui s'est égaré lors d'une invasion viking ? Qui saurait le dire, n'oubliant pas que son île natale est une histoire de réunions.

    Quand ce rougail entend l'appel du large prés des cotes de Langevin, le naturel chassé au galop refait surface, il lui fait le coup du souviens-toi, et les fins de phrases prononcées sont amputées des consonnes roulantes, sonnantes et trébuchantes.

    Pas franchement à sa place dans cet univers trop exigu, son horizon est barré par l'étroitesse d'esprit de ses compagnons de chiourme.

    Je n'arrive pas à comprendre comment elle fait pour passer 10 heures par jour, enfermée en compagnie de ses patients ( tous ne sont pas des zigotos comme moi ) dans une cabine de consultation qui atteint les dimensions d'une boite d'allumettes.

    La promiscuité, l’étroitesse du local, les odeurs...comment une fille des îles peut résister à l'envie de mettre les bouts, de larguer les amarres ?

    Je l'ai comparée à un cuirassier nageant dans une baignoire!

    Quand va t elle enfin comprendre que sa place n'est plus ici et qu'une mission de la plus haute importance l'attend ailleurs!

    Qu'importe, vaillante dés l'aube jusqu'au coucher, elle recevra les tonnes d'immondices que les bras cassés viennent déverser lors des consultations. Elle assume, mais sait se préserver en sachant trier le bon grain de l'ivraie.

    Je ne serais pas surpris qu'un jour, en s'adressant à moi, elle me complimente ainsi :
    « li « li boir lo bénite boug-là ».

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    Je suis malade, complètement malaaade

     

     

    « Et maintenant que vais-je faire »… était le titre et la fin d’un article rédigé en décembre. C’était aussi la fin et le commencement d’un combat de titan entre moi et….moi.

    A cet émoi suivait une période de doutes, de troubles, de remise en question.

    « Charité bien ordonnée commence par ma pomme » 

    A la question posée dans l’article « peut-on rire de tout » je suis définitivement convaincu  qu’il est possible de le faire à la condition d’avoir l’outrecuidance de  rire de « ses propres malheurs ».

    Mais le malheur n’est-il pas un coup de pied invisible donné par la vie ?

    Il peut se traduire par un coup de pied au culte si vous êtes en pétard avec une religion ou un coup de pied occulte si tout comme moi vous êtes un fou d’Afflelou, vu qu’à nos âges elle baisse et là  il y aurait encore beaucoup à dire sur les Abbesses ce qui nous conduit droit au but des coups de pieds au culte.

    C’est peut être ce coup de pied au cul qui vous fera général  comme le dit si bien Gilbert Bécaud (mais en le prenant mal et je le comprends).

    Je persiste et contre vents et marrées je maintiens cette supposition  qu’à toute chose malheur est bon.

     J’en parle en connaissance de causes et je devance les commentaires de celles et ceux qui portent dans leurs chaires meurtries les stigmates, cicatrices  et balafres de « ces bons coups de pieds qui auraient pu les faire généraux ».

    Passée la vague de l’indignation légitime et les adjectifs qui à coups sûrs m’affubleront les blessés de la vie il restera une grande question en suspend :  que faire de la pierre qui se trouve dans votre jardin ?

    Trois possibilités s’offrent à vous :

    • Jeter la pierre dans le jardin du voisin et faire supporter à la communauté ce jet de caillou
    • La mettre de coté en bordure de votre belle pelouse pour être certain de vous cogner les pieds chaque jour dans cette caillasse
    • La considérer comme une pierre de taille qui va vous servir soit à construire quelque chose, soit vous élever comme un marchepied en la rendant utile à faire….

    Je sais c’est un peu simpliste et cela ressemble fort à ces  bourrages de tête et prises de cranes   que les médias néo-pensées positives nous balancent à longueur de web.

    C’est en relisant mon blog pendant une nouvelle nuit d’insomnie que j’ai eu cette révélation. Mon « désagrément » prenait maintenant l’importance de mon premier bouton d’acné face aux réponses et témoignages que j’ai reçus.

    Je découvrais l’ampleur des doléances contenues dans les blogs que je visitais.

     En approfondissant la lecture des rubriques et des communications contenues, je me suis aperçu qu’il s’agissait de véritables « chemins de croix » si chers  aux abonnées du vendredi saint.

    La fin des divans d’Henri Chapier ou de ce fouille merde d’Olivier (porter un si beau prénom symbole de paix, victoire et de réconciliation…le Mont des Oliviers, la Bande de Gaza…).

    Une idée aussi sotte que grenue vint me sauter au paf (Personne Affreusement Féroce)… Et si l’humain se complaisait dans ses malheurs ?

    Ne trouvez-vous pas que nos congénères (ni moi et ni vous bien sûr) aiment bien ressasser et étaler les malheurs qui leurs donnent la force de vivre une journée supplémentaire ?

    Et si le fait de souffrir officiellement d’une atteinte physique leur offrait le droit d’être enfin reconnu et distingué du reste des gens « qui Eux, n’ont pas mal ».

    Cela pourrait être une explication à des problèmes d’hypocondriaque, pourquoi ne pas se trouver une maladie ou de continuer à « patauger » dans une maladie pour qu’enfin avoir l’impression que les autres s’occupent de nous.

    Houlà ! Psychologie de bas étage, exercices déambulatoires de névrosé se livrant à la masturbation de ses méninges…..Attention danger

    Je vous laisse donc face à ces questions qui de ma part ont obtenu les réponses  adéquates, mais qui resteront bien au chaud dans mes pensées.

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  •  Je vous livre ce texte copié sur un site; dans l'espoir de vous délivrer de ces maudits petits maux qui empoisonnent la vie et font vivre médecins et  laboratoires..

     

    Le saviez-vous…

    La douleur est à la fois une énergie, un ressenti et une manifestation physique. La moindre douleur dans notre corps est liée à un état émotionnel particulier et vient nous alerter sur ce qui ne va pas dans nos vies.

     

    Une fois que nous intégrons ces leçons, la douleur disparaît. (Heu...çà c'est moi qui le rajoute ! )

     

    Le corps est particulièrement transparent quand il s’agit de la douleur. Les expériences de votre vie se manifestent directement dans votre corps et lorsque vous rencontrez un stress émotionnel, votre corps vous montre exactement quel est le problème. La seule chose que vous devez faire, c’est savoir décoder la douleur lorsqu’elle se manifeste.

     

    1. La douleur dans les muscles

    Elle représente la flexibilité dont nous faisons preuve dans la vie quotidienne. Cela révèle si nous sommes assez souples dans nos relations au travail, à la maison ou envers nous-mêmes. Laissez-vous donc porter pour que la douleur s’estompe.

     

    1. La douleur au niveau de la tête

    Les maux de tête limitent la prise de décision. Les migraines surviennent lorsque nous connaissons la décision à prendre et que nous ne la prenons pas. Assurez-vous de prendre du temps chaque jour pour vous détendre. Faites quelque chose qui va soulager cette tension.

     

    1. La douleur dans le cou

    Elle indique que vous avez des difficultés à pardonner les autres ou vous-même. Si vous sentez une douleur au cou, pensez aux choses que vous aimez chez vous ou chez les autres. Travaillez consciemment sur le pardon.

     

    1. La douleur dans les gencives

    Comme pour le cou, la douleur dans les gencives est liée aux décisions que vous ne prenez pas ou auxquelles vous ne vous tenez pas. Soyez clair dans vos objectifs, et foncez !

     

    1. La douleur aux épaules

    Elle peut indiquer que vous trainez un fardeau émotionnel, d’où l’expression « avoir les épaules larges ». Focalisez-vous sur les problèmes que vous êtes seul à pouvoir résoudre et n’hésitez pas à déléguer à votre entourage dès que possible.

     

    1. La douleur à l’estomac

    Elle survient lorsque vous n’avez pas digéré, au sens figuré, quelque chose de négatif. Le sentiment de ne pas être respecté provoque une sensation de trou dans l’estomac, et un certain chagrin.

     

    1. La douleur dans le haut du dos

    Cela indique que vous manquez de soutien affectif. Vous pourriez vous sentir mal aimé. Si vous êtes célibataire, il serait peut-être temps de rencontrer quelqu’un.

     

    1. La douleur dans le bas du dos

    La lombalgie peut signifier que vous vous souciez trop de l’argent ou que vous êtes en manque d’affection. Ce peut être l’occasion de demander une augmentation de salaire, ou envisager un conseiller financier pour vous apprendre à mieux gérer votre argent !

     

    1. La douleur au sacrum et au coccyx

    Vous pourriez être assis sur un problème qui doit être résolu…

     

    1. La douleur dans les coudes

    Elle a beaucoup à voir avec la résistance aux changements dans votre vie. Si vos bras sont raides, cela peut signifier que vous êtes trop raide dans votre rapport aux choses. Il est peut-être temps d’oser faire bouger les choses ou du moins, de vous laisser aller !

     

    1. La douleur dans les bras

    Vous portez quelque chose ou quelqu’un comme un fardeau émotionnel. Il est peut-être temps de vous demander si cela en vaut vraiment la peine…

     

    1. La douleur dans les mains

    Les mains symbolisent le lien aux autres, le fait de se connecter. Si vous ressentez une douleur à la main, cela peut signifier que vous ne tendez pas assez la main aux autres. Essayez de vous faire de nouveaux amis, rétablissez la connexion !

     

    1. La douleur dans les hanches

    Des hanches douloureuses pourraient signifier que vous êtes trop résistant aux changements. Vous avez tendance à ériger les mises en garde en véritables obstacles à la prise de décision. Si vous réfléchissez sur quelques grandes idées, il est temps de trancher.

     

    1. La douleur dans les articulations en général

    Tout comme pour les muscles, les douleurs dans les articulations représentent la flexibilité. Soyez ouvert à de nouvelles façons de penser, aux leçons et expériences de la vie.

     

    1. La douleur aux genoux

    Le genou, qui peut s’entendre « je-nous », symbolise notre relation à l’autre, soumise, agressive ou équilibrée. Le mal de genou indique une difficulté à plier, à accepter les choses telles qu’elles sont. La tension peut être liée au monde extérieur comme à soi-même. L’intérieur du genou renvoie à la communauté, au travail, aux amis ; l’extérieur du genou est lié aux problèmes personnels. Souvenez-vous : vous n’êtes qu’un humain, un simple mortel. Ne laissez pas votre ego dominer votre vie. Faire du bénévolat peut s’avérer bénéfique.

     

    1. La douleur aux dents

    Cela exprime le fait que vous n’aimez pas votre situation. À ressasser constamment ce dégoût, cela affecte vos émotions au quotidien. Rappelez-vous que les expériences passent plus vite lorsque vous focalisez sur leurs aspects positifs.

     

    1. La douleur dans les chevilles

    Cela montre que vous ne vous accordez pas de droit au plaisir. Il est peut-être temps de devenir plus indulgent envers vous-même. Essayez de pimenter votre vie amoureuse.

     

    1. Une douleur qui fatigue

    Éprouver de l’ennui, faire de la résistance, ne pas se donner les moyens d’aller de l’avant. Écoutez cette petite voix qui se demande « quelle est la prochaine étape ? » et vous pousse vers une nouvelle expérience.

     

    1. La douleur aux pieds

    Lorsque vous êtes déprimé, vous pouvez ressentir une certaine douleur aux pieds. Trop de négativité peut se manifester sous vos pieds. Appréciez les petits plaisirs de la vie. Adoptez un animal de compagnie ou trouvez-vous un nouveau loisir, une nouvelle passion. Cherchez la joie.

     

    1. Une douleur inexpliquée dans différentes parties du corps

    La structure cellulaire du corps est en renouvellement constant et durant ce processus, on se purge des énergies négatives. Le système immunitaire et tous les systèmes dans le corps s’en retrouvent affaiblis. Ainsi, alors que le corps fait mal et peut sembler dans un état de maladie, il est en réalité dans un état de compensation. Pas de panique, ça va passer !

    Qu'en pensez vous ? ces explications vous font-elles gamberger ? a vous de me le dire.

     

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