• La pôle position ?

     

     

    POLYEUCTE : une pièce qui m'aurait fait bailler aux corneilles .

     

    Adopter la bonne position durant l'acte ou par extension le kakemphaton.

     

    Avez-vous remarqué l'importance d'être bien positionné pour ressentir l'effet maximum ?

    Cette observation s'applique à de nombreux actes de nos vies qu'elles soient courantes, trépidantes ou contemplatives et même en littérature comme je vais vous le démontrer.

    Nombreuses sont les personnes qui n'assurent pas leurs arrières et qui s'en soucient (comme la Passante pour-les cinéphiles) comme de leur premier acné.

    Je fais référence  à Pierre CORNEILLE : « La même ardeur me brûle...Et le désir s'accroît quand l'effet se recule »     

    Cette tournure de phrase était-elle volontaire ? Elle prête à confusion .......remarquez on ne prête qu'aux riches, cela s'appelle la profusion.

     

    Si j'extrapole Saint Paul- il a  été le premier à écrire ce que devait être le rapport entre femme et homme.  (jeu de mots difficile à comprendre si vous ne lisez pas tout le texte )

    Il fallait suivant sa logique, effacer toutes traces de comportements libres à l'instar des Gréco-Romains pour suivre de strictes règles de conduite dictées par la religion. (par le plus grands des hasard)...ben voyons ! Il nous faudrait donc un manuel du savoir vivre et du savoir faire... ou pas!

     Son copain, Augustin avec lequel il fréquentait un cercle de metteurs en « cène » est allé encore plus loin dans la description du « savoir faire et savoir être chez les douze ». Ce cercle très prisé des religieux new wawe à essaimé à travers le monde entier, les préceptes d'un Essénien.

     Ce bon apôtre appliquait les vertus du " missionnaire " et recommandait sans faire aucune exception d'appliquer en toutes circonstances cette position. Sans en avoir l’air par ses prises de positions la femme se trouvait " soumise ".

    J'ajouterais sans avoir la preuve,  que cette réaction était peut-être due au fait qu'ils avaient été pris par l’arrière et par surprise...je ne m’engagerais pas dans cette voie là avec eux ! Les d'jeunes souligneraient «...no way !

    Combats " d’arrière garde  "me dires-vous.... pourtant le  kakemphaton est bien présent chez nos illustres penseurs : 

     

    La fonction crée l'orgasme :

      

    On trouve en la personne de Jacques Begnigne BOSSUET, célèbre poète et prédicateur français une intéressante prise de position :

    "Ah ! Plût à Dieu que tu susses !".

     Ce qui déclencha en 1670 sa nomination comme évêque de Condom (Gers)....je n'invente rien...savez vous ce qu'est un condom ?....je ne vous ferai pas de dessin en rapport avec sa déclaration du sus-nommé.

    Dans cet exemple précis l'objet se situe au dessus des parties et non derrière.....nuance !

     

    Chez HORACE «Je suis romaine, hélas, puisque mon époux l'est "..époux laid ou  né  poulet ?

    J'ai cité il y a quelques temps ce fameux kakemphaton : "  il sortait du théâtre comme un vieillard en sort.".....vieil hareng saur.

    Pour en finir avec le placement adequat qui donne un autre sens à votre vie,  je vous invite à réfléchir sur le positionnement de 'article .

     

    l'adjectif mal placé 

    «un clown triste ». Cela vos interpelle...çà ma fend le cœur mais si je vous dis un :« triste clown »...un dark clown en quelques sortes..alors là c'est plus la même image qui vous vient à l'esprit.

    Un autre exemple frappant « A la cour du roi, j'ai su ce qu'était un « sire triste ». Pauvre monarque, le roi est mort.. vive le roi...il vous fait de la peine, que donneriez-vous pour qu'on lui donne un royaume ?....et pourquoi pas un cheval? ...idée intéressante je vais en causer à mon pote RICHARD III .

    Mais si je vous avez déclaré « Richard est un triste sire »...là,  ça pue le sale individu.....

     

    Vous venez de faire le tour de la question. Votre position dans vos actes est primordiale pour que les effets espérés par vous et votre accompagnant soient bien ressentis, au plus profond de l'individu.

     

    J'en ai fini avec ces vers emprunts de légèreté qui n'ont qu'un seul but « vous divertir ».

     

    A vous le mot de la fin....vous pourriez écrire :« Vous fîtes ce que vous pûtes et vous m’épatâtes. »

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « LA ROUTELes mots crus »
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  • Commentaires

    1
    Samedi 4 Février 2017 à 09:50

    salut

    de l'erotique dans toutes ses splendeurs LOL

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