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    La main est-elle le prolongement de nos pensées ou va t elle se poser où nos pensées la guident ?

     

    Je n'ai pas la réponse, simplement quelques pistes que vous êtes invités à suivre...si vous le voulez-bien.

    Passer la main pour nombre d'entre vous c'est synonyme de :

    Concéder, démissionner, se démettre, se désister, laisser son tour.

     

    Je vais vous témoigner d'un fait marquant qui a profondément bouleversé nos vies. J'ai puisé dans le savoir de mon épouse et j'aimerais vous faire profiter de son expérience.

    CATINOU est gitane, comme vous toutes Mesdames elle est dotée d'un sixième sens et dans des circonstances bien particulières ses instincts de survie sont poussés au paroxysme.

     

    En l'an 2000 atteinte d'une polyarthrite rhumatoïde évolutive (que la faculté nomme une P.R.E.) alors que la médecine ne lui accordait que peu de chance de guérison, elle s'en est débarrassée et son état de santé est plus que satisfaisant.

    Son médecin déclare la maladie en rémission.

    Par courtoisie et par pudeur, je ne ferais qu'effleurer les grandes lignes de sa « résurrection ».

    Méthode alimentaire sans gluten ni produits laitiers, hygiène de vie stricte.

     

    Le point important que j'aimerais vous faire partager est le suivant :

    • comment devenir assez copain avec la maladie, pour pouvoir la comprendre, la surprendre et s'en défendre.

    C'est cet exploit que CATINOU a accompli et en deux ans, cette ennemie intime est repartie avec ses armes et ses bagages.

     

    Je ne parlerai pas à la place de ma « guerrière de femme », je respecte trop son identité pour lui voler la vedette...mais si vous le lui demandez …...

     

    Quant à moi, j'avais en vie de vous faire part de cette aventure que je suis entrain de vivre.

    Pas de misérabilisme et pas question de vous apitoyer sur mon sort...quand vous aurez le dos tourné je vous croquerai.

     

    La routine qui s'installe dans vos vies est d'un ennui mortel...celle qui s'installe dans vos organismes risque de devenir mortelle.

    La maladie s'installe, tout doucement, sournoisement, elle éloigne vos amis et vous isole vous rendant encore plus dépendant de « sa présence »...pour certains être malade c'est « exister aux yeux des autres ».

    Je ne suis pas assez instruit pour vous expliquer le mécanisme de ce terrible enchaînement.

     

    Je reviens sur ce laisser aller de votre part, sur ce fatidique « passer la main »....vous n'êtes plus le capitaine de votre avenir, vous allez laisser les rênes du pouvoir à une maîtresse mortelle « Madame la Maladie ».... c'est elle qui va décider pour vous.

     

    Réagissez que diable. Le patron chez vous c'est VOUS.

     

    Comment ? C'est simple pour certains, plus compliqué pour d 'autres.

    En ce qui me concerne j'ai agi de sorte de briser et de bouleverser les prévisions que mon corps venait d'accepter de ma maîtresse.

     

    Le malade doit se reposer, écouter son médecin, avaler des médicaments et surtout de pas poser de questions au spécialiste « cela ne nous regarde pas ! ».

    Du style «  soit belle et tais toi...la maladie vous dit : sois malade et tais toi ».

     

    Ma réponse à l’heure actuelle est simple, concise et précise :

     

    « je t’emmerde putain de toi ».

     

    Me reposer...O.K ! je travaille dur et je ne me ménage pas,

    Écouter mon médecin....Parfois, c'est moi qui lui signale des articles issus de médecines parallèles...avec succès...je teste de nouvelles thérapies..avec son accord et succès....

     

    Je veux dénoncer cet accord signé entre mon corps et la maladie....connaître cette dernière pour mieux la combattre...étonner et décontenancer les participants  dans ce combat.

    Je veux que mon corps et mon esprit soient stupéfaits de mes réactions, je veux qu' ils soient déboussolés et que rien ne se passe comme prévu, je veux déranger cet accord qu'ils ont passé sans me consulter je veux m'étonner moi-même !

     

    Rien n'est jamais acquis , ni une vie tranquille ni la maladie.

     

     

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    Théorie des rencontres pas prévues mais programmées.

     

    La rencontre d'un ou des individus aussi fortuite qu'elle peut en avoir l'air et la chanson m'intrigue.

     

    J'ai une théorie fumeuse (non fondée ni  officialisée par des cerveaux moins agités que le mien.....donc farfelue)qui tente à prouver que les rencontres faites lors de nos existences ne sont pas du fait du hasard et ne sont pas sans conséquences.....si nous le voulons bien.

     

    A la croisée de nos chemins de vie, nous « fréquentons » des individus durant un certain laps de temps.

    Cet accompagnement durera 1 minute, 1 heure, 1 jour et plus.....si affinité.

    Pendant le tournage de cet épisode nous allons emmagasiner des données que cet inconnu nous donne, de toutes sortes...bonnes ou moins bonnes...sur divers plans.

     

    Si comme je le conçois à présent nous voyageons les fenêtres grandes ouvertes (cerveau et ses accessoires....la vue, l’ouïe etc..) nous sommes en contact directe avec un nouveau monde, celui dans lequel évolue votre passager.

    Ces apports vont vous servir à évoluer sur un niveau différent avec le risque de dégringoler aussi..

    Mais là encore nous avons des choix à faire...libre arbitre, bonne étoile ou autres croyances.

     

    Cette rencontre vous servira donc à évoluer et à changer de niveau en grimpant sur une échelle des valeurs. En précisant que « la vie » ne vous propose que des défis que vous êtes capables de résoudre . (en vous priant de ne pas porter de jugement trop hâtifs sur la pauvreté de mon vocabulaire, l'instruction me fait cruellement défaut).

    Ce compagnon de voyage vous a apporté de l'instruction tout comme vous lui offrez vote savoir.

     

    Au détour de votre vie, vivez bien la votre et non pas la sienne, vous quitterez ce « bout de chemin » sans raisons apparentes, jusqu'à ce que vous croisiez une autre rencontre.

     

    Farfelue ? Posez-vous un instant....pensez aux gens que vous avez rencontrés dans certains épisodes de votre vie..alors ?

     

    Je me suis toujours considéré comme un franc tireur ( Oh je sais....vous êtes trop drôles..tireur au flanc!!)..s'il vous plaît..un peu de sérieux...je bosse moi !

     

    L'avatar du Loup oméga me va comme un gant. Et dans certains milieux que j'ai fréquentés je faisais figure de mercenaire.

     

    Je fais référence à une rencontre - LAURE  - qui de  par sa présence,  m'a permis  enfin mettre un nom sur mon rôle dans mon existence.

    sur je cite :

    " oui le meilleur chemin c'est le nôtre toutes les réponses se trouvent en nous...On peut prendre modèle, demander des avis

    !mais pendant que vous calquez votre vie Vous vous oubliez !

     

    Elle ne s'apprend pas que dans les livres, selon un modèle, une doctrine, religion ou autre (comme dit Karl Jung)

    On peut avoir besoin d'une aide un jour, ou un coup de pouce pour bien démarrer, mais qui devrait rester éphémère !...


    Le chemin par après, vous êtes apte à le parcourir seul. La vie se vit au jour le jour !


    Et, le plus grand enseignement est encore celui de la vie.

     

    Ce bon vieux Karl ne m'émeut pas...mais la rencontre de nos chemins avec LAURE vient de me marquer.

    je prie de pouvoir à mon tour lui offrir quelque chose.

    Sans vouloir vous comporter comme une arapéde sur son rocher (ou une moule si vous préférez)restez en contact avec la personne qui vous a télescopé, les sens en éveil. le hasard fait bien les choses.

     

    Je dédie cette prose à Annie, survivante des coups de gueules et de crocs d'un Loup en manque de savoir être, d'intelligence et qui n'a pas su reconnaître le bon grain de l'ivraie.

    Ce soir où j'écris ces lignes la Lune brille à nouveau au firmament de mon blog.

     

    Quelle être unique a bien pu supporter mes embardées sans rien attendre en retour.

    Quand la rencontre du troisième type devient le film de ma vie, épisodes après scènes de tournage

    cascades après séquences émotions, avant première comme si c'était hier....

     

    Ce ne sont pas les escaliers de CANNES que je lui ai fait monter, pourtant son César elle l'a maintes fois mérité, mais c'est à cette échelle que nous avons grimpé ensemble, bien-décidés à ne jamais en tomber...

    A toi CATINOU.




     

     

     

     

     

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  •  PRÉFACE de Gill Edwards : ENTREZ DANS LA MAGIE

    L'Éveil

    Je l'ai vue encore ce matin -
    Alors que des silhouettes émergeaient de l'aube grise
    Et que sa silhouette, rayonnante de lumière,
    Se tenait à l'entrée de la grotte.
    Je jure qu'elle n'avait pas été là
    Un instant avant.

    J'ai cligné des yeux, incrédule,
    Retenant mon souffle de peur
    Que le plus léger mouvement de l'air
    Ne la rejette dans les rêves,
    Alors que la fragile faille entre les dimensions
    S'ouvrait.

    J'avais été là toute la nuit
    À attendre.
    À espérer.
    À désirer ce bref aperçu
    D’un monde au-delà.

    « Rappelle-toi », dit une douce Voix -
    Immense, mais douce, comme l'océan.
    « Rappelle-toi qui tu es.
    Il est temps de t'éveiller, petite !
    Les failles s'élargissent.
    Maintenant, maintenant, maintenant est venu le temps. »
    Chut ! Écoute !
    Ses mots silencieux emplissent l'air
    Dans un moment d'éternité
    Tandis que mon souffle s'est arrêté.

    Je ne comprends pas,
    Voudrais-je lui dire.
    S'il vous plaît expliquez, s'il vous plaît,
    Ne me laissez pas ici
    Seule, dans ce lieu abandonné de Dieu.

    Cependant, je demeure immobile
    Comme une pierre,
    J'observe, j'attends,
    Je médite sur ses paroles,
    Je ressens le rythme des vagues sur le rivage.

    L'air se colore de rose
    Au rythme du monde qui s'éveille ;
    Et dans un rire tintant, elle se détourne doucement
    Et disparaît dans la grotte de cristal,
    Scintillante de Lumière.

    Soyez bénis.

    Avec amour,
    Gill

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    L ART D 'ACCOMODER LES RESTES  ou  DE  S ' ACCOMMODER DU RESTE

     

    Comment accommoder sans incommoder de prime abord cela ne semble pas commode.

     

    Une des grandes traditions de la cuisine familiale française serait de savoir élaborer une recette  avec les restes d'un ou des plats servis la veille.

    Ce tour de passe passe culinaire est dû à la magie et à la créativité que l'on rencontre dans le savoir faire de nos cuisiniers.

    Ce mot cuisinier me porte aux anges car comme ces derniers il est asexué ni masculin ni féminin mais... angélique.

     

    Prenez l'exemple de la pizza si chère à nos artères  Le mot pizza est présent dans le vocabulaire latin médiéval en 997 avant même que le plat ne soit réellement inventé et signifie "galette". Il prend le sens qu'il a aujourd'hui au début des années 1570.

    il pourrait provenir du haut-allemand bizzo qui veut dire "morceau de pain" ou du grec pitta. Le plat semble avoir été inventé à Naples au XVIe siècle. La pizza se présente sous forme salée, mais aussi sucrée. La forme sucrée était réservée aux élites et la forme salée au peuple.

    Dans les années 1850, la pizza est qualifiée de mets sucré ou salé et garnie de "choses diverses". Son mode de cuisson est variable : à la poêle, au bain d'huile ou au four.

    .garnie de choses diverses....on y est!

    J'ai vécu dans des familles ou l'ingrédient principal que les cuisinières mettaient dans la préparation des repas était « l'AMOUR ».

    Quant à la garniture, elle dépendait de l’appétit que les convives avaient eu la veille.....et je me suis léché les doigts.

     

    Autre plat très connu qui lorsque vous en découvrirez  les origines, fera grand bruit.

    C'est un plat de guerriers du sud de la France dont les origines remontent à la guerre de cent ans.

    Le cassoulet .

     C' est une spécialité à base de haricots secs, généralement blancs, et de viande. À son origine, il était à base de fèves.

    Durant le siège de Castelnaudary par les Anglais, les assiégés affamés auraient réuni tous les vivres disponibles (haricots secs et viandes), pour confectionner un gigantesque ragoût ou estofat, pour revigorer les combattants. Ceux-ci purent alors chasser les Anglais et libérer la ville.

    Déjà à cette époque la perfide Albion tentait de nous « cruncher »mais grâce à ce  cassoulet les anglois ont été « chocolat » .

     

    Toutes ces recettes proviennent d'un acte de bravoure et il en faut du génie à nos « chef(e)s étoilé(e)s que nous ne faisons pas toujours grimper au 7 éme ciel » pour qu'à l'heure du sacrifice suprême (de volaille.....allez hop ma poule!) elles prononcent la phrase fatidique :

    « qu'est ce qu'on mange ce soir? ».

     

    Nous les hommes, le vrais, les durs, les tatoués, avons nous bien conscience de ce défit en ce 34 éme jour de l'année, pour que nos chères et tendres compagnes dégotent un menu qui nous mette l'eau à la bouche.

     

    C'est donc un véritable casse tête chinois que de varier les menus et c'est sans compter sur la présence des publicité débiles proposant à nos enfants si intelligents des « trucs » à bâfrer aux noms barbares qui feraient se retourner sur le gril les Antoine SAVARIN et sœurs TATIN...le snaking, «  les « Gnogno...les kiki..les gnocchis » subtiles mélange de débilités et de mal-bouffe, Kebbab, etc...

     

    Mais une fois encore le génie sauveur de la France des Bon goûts veille au grain et munie de sa baguette magique, le Djin (non pas celui que vous éclusez en douce en faisant fiiiz mais celui qui se cache dans la lampe que vous astiquez au Mirror) vous fera en un tour de main, le plat composé des restes de ce dimanche et qui verra vos affamés avoir le sourire à la main.

     

    La cuisine des mains sales

     

    Pour ne pas être en reste, votre vie de tous les jours a besoin de vos voix pour accommoder les restes d'une politique en panne d’inspiration.

    Vos parents vous ont appris qu'on ne peut pas faire du neuf avec du vieux...il et grand temps de vous en souvenir au moment de glisser votre bulletin de vote dans l'urne.

     

    Je sais que la politique est une sacrée cuisine dont les plats sont réchauffés et souvent indigestes. Les viandes boucanées ont elles la préférence des français ?.....il semblerait que oui à la vue des vieux chevaux de retour qui viennent se goinfrer au frais de la princesse que vous êtes !

    Je ne vous ferai pas l'affront d'être grivois pour ce paragraphe mais..... les politiques nous proposent des suppositoires que nous avons du mal à avaler. J'aurais aimé que ces suppo. ne soient pas à la glycérine mais à la nitroglycérine histoire que çà leur pète à la gueule !

     

    La cuisine des anges ou l'art de s’accommoder des restes

     

    La Cuisine des anges (We're No Angels) est un film américain réalisé par Michael Curtiz, sorti en 1955.

    Pour les cinéphiles que vous êtes je respecterais ce film d’anthologie, je vous demanderais la permission de m’approprier le titre.

    Le mot cuisine représente ici non pas le ring sur lequel s'affrontent les divers amateurs de sports de combat tels que vous et

    vos « ch'ai pas quoi faire à manger » les « maman j'ai déjà mangé à la cantine ou  j'aime pas çà » les « chérie, j'ai invité machin et truc chose à manger ..à quand ?....ben ils arrivent ! » et le surprenant « c'est Dimanche, j'ai invité mes Beaux-parents et ….j'ai plus de gaz ! ».

    Non ce mot désigne l’ensemble des œuvres que votre conjoint à crée tout au long de l'année ou de votre vie....

     

    Elle mérite en plus le respect, un oscar , celui du

    • meilleur metteur en « cène »

    • la meilleure actrice féminine jouant de tous ses charmes lorsque vous étiez un peu « lourdingue » en présence des vos copains

    • -du meilleur espoir féminin lorsqu'elle était toute jeunette et ne savait pas faire cuir un œuf à la coque

    • du maquillage le plus réaliste quand « tout allait de travers » et qu'il fallait faire bonne figure devant les invités.

       

    Mais le plus surprenant en terme de récompense c'est le César remporté un soir, en ramenant à la maison la « compression de votre voiture » en disant à votre mari « tu sais la voiture....j'ai éraflé un portail... j'ai eu un petit accrochage ».....pas de soupe à la grimace....

    .votre ingrédient principal dans votre cuisine..c'est bien l'AMOUR ?

     Alors, je vous souhaite bon appétit

     

     

     

     

     

     

     

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    Jeanne d'Arc aurait été l'auteure de cette phrase en devenir de blasphème :

     

    « VOUS NE M AVEZ PAS CRU VOUS M AUREZ CUITE »

     

    Au moment ou j'écris ces mots, je suis conscient de l'importance de ce crime de  lèse majesté car cette e-conne est l’emblème d'un parti politique dont un des représentants m'oblige à écrire ce texte, le canon d'une lupara appuyée sur ma tempe ….. !

     

    Revenant de ma stupeur semblable à un fumeur de kiff qui s'aperçoit que c'est une Gitane qu'on lui a refilé, je vous avouerais que ce mot de cru reflète pour le Loup que je suis, un Intérêt tout particulier.

     

    Concernant la Gitane, je l'ai épousée voilà 40 ans, je puis certifier que ce n'est pas par vice mais par amour que je n'ai jamais arrêter de la pratiquer. Si pour certains la consommation de ce genre de drogue les conduiront en terre, c'est pour moi le nirvana qui m'est offert.

     

    La vie fut pour certain un long fleuve tranquille et c'est le cas pour moi avec une nuance de grey, ce fleuve est en période de crue !...ça y est le mot est lâché.... cruel que je suis en ce qui concerne les débordements familiaux.

     

    Faut-il que je sois à moitié cuit pour oublier que les largesses des fleuves lors de leurs pérégrinations intempestives et bucoliques laissent à leur retour des alluvions qui deviennent des trésors de fertilité dans lesquels j’ai semé mes petites graines. De ces plantations naîtront des enfants. ...vive les débordements....Loup quel poète !

     

    Mon ancêtre était il cueilleur ou chasseur ?

    Jusqu'à présent, aucun anthropologue sérieux ne doutait de l'appartenance de l'espèce humaine à une longue lignée de carnassiers, et depuis la nuit des temps, l'Homme mange de la viande. Il faudra patienter quelques années et l'invention de « chefs en cuisine pour qu'un « Cro-Magnon »ait l'idée de faire cuir une pièce d'Aurochs avec un rond de foie-gras. Cette astuce tient du génie....un vrai ROSSINI du goût !

     

    Cette viande provenant de la chasse était consommée crue ou cuite....encore un fantasme de ces maudits anglois et de ce Pierre COCHON. Considérant que Jeanne la pucelle n' étant plus de la première jeunesse ils ont choisi de la présenter au rôtisseur de l'époque comme une «  dur à cuire ».

    La Jeanne attendrie à l'idée de se trouver à la table du Roi de France a fondu comme du bon beurre ...normal on est Normand ou on ne l'est pas !

     

    Le cru à travers les ages

     

    Du latin crudelis « qui aime le sang » dérivé de crudus : cru et saignant.

    Je dois avoir quelques ancêtres loups des steppes qui ont dégusté un TARTARE tout cru. De nos jours il faudrait être mongole pour s'y risquer.

    A vaincre sans périls le loup triomphe sans gloire et se jettera sur un tartare de saumon ou de canard que seule CATINOU a les connaissances et le pouvoir de lui apporter en offrande.......on ne se refait pas, l'héritage est bien là dans les gènes...mais plus les dents !

     

     

    Cru-elle ou cru-il ?

    Le machisme ambiant fait bien des ravages pour les cruautés des 2 sexes.

    La cruauté est l'apanage de la gente féminine.

    La femme sera cruelle et l'homme victime de ses propres agissements.

    Je cite «  au début j'étais une fille féminine...puis masculine...et suis devenu..un salaud.

    Le transfert a été lent mais implacable....

    A SUIVRE …...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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