•  Newton observait : « Les hommes construisent toujours trop de murs, jamais assez de ponts. »

    Paroles de vérité, car si les murs isolent, les ponts relient.

    Sauf quand les murs protègent et que les ponts nous exposent

    Alors on vient à espérer que les regards des autres changent, nous aidant à briser les murs derriéres lesquels nous nous abritons et nous aident à traverser les ponts qui mènent vers une meilleur compréhension.

     

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  • Merci beaucoup de votre appréciation en ce qui concerne l'un de les derniers écrits...Pour vous remercier... un poème sur .....
    LE LOUP, écrit le...

    14/03/2008 LE LOUP

    La lune énorme colle son disque blême et glacé
    Sur le rideau d'encre que la nuit hivernale a baissé.
    La neige lourde et épaisse fait taire plus encore
    Le silence nocturne que la vivante journée abhorre.
    Mais le blanc linceul se met à crisser soudain... 
    Dans la pâle clarté, un loup approche. Prudemment, il vient,
    Sa démarche lente et méfiante
    Lui confère l'allure la plus terrifiante...
    Alors il s'assied au centre de la lune,
    Noire silhouette, dans la vaste nuit brune...
    Et la braise étincelante de son regard qui luit
    Perce comme des fers rougis la densité de la nuit...
    Il tend vers le néant sa gueule puissante,
    Pousse son hurlement de façon inquiétante,
    Faisant tressaillir le cœur des plus courageux
    Ainsi que le feuillage des arbres les plus vieux...
    Qui appelles-tu, solitaire voyageur?
    Est-ce ta compagne, à qui ton air rageur
    Souhaite confier tes exploits de guerrier?
    Est-ce ta horde sauvage sans quelque pitié
    A qui tu rappelles la présence du chef initié?

    Sont-ce les Hommes que tu provoques en éternels ennemis
    Et à qui tu promets toujours de trop blanches insomnies?
    JJS

     

    Jean Jacques SOLLIER 

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  • Bonjour, Philippe, je reconnais qu’un vrai Loup des Carpates n’est point facile à apprivoiser… ( petit clin d’oeil à Serge Regiani)

    L entement mais sûrement, je dépose à vos pieds mes armes,
    O ublier et annihiler nos différences, je hisse l’étendard de mes acrostiches, ma seule arme,
    U nir nos écrits par notre lecture, nos commentaires ce qui peut refléter un certain charme,
    P assager votre émoi ce qui me touche mais je le sais qui ne peut émouvoir jusqu’ aux larmes.

    Amicalement poétiquement. Lise.

    Voici un acrostiche de Lise BEVERLY

      www.plume-de-poete.fr/une-page-de-tendresse-lise-beverly/?crid=31087#comment-24163/

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    9 commentaires
  • .

    il est un rituel sacrificiel qui me fait monter les bras au ciel lorsque au jour prédit et à l'heure sus-dite les convives d'une assemblée, plongent dans le maniement de leur Smartphone et monopolisent toute leur attention sur l’envoi aux vœux traditionnels, c'est-à-dire les vœux impersonnels, écrits et mis en mémoire bien avant minuit et envoyés au carnet de contacts entier… Dont on fait partie.

    En cet instant l'expression « sacrifier ( à ) la tradition » prend un nouveau sens pour moi, c'est avec plaisir que je prends cette formule rapide, efficace, réutilisable à l’infini, mais sans âme… Pour l'immoler sur l'autel de la sincérité, un peu comme certaines relations. 

    Quant à la tradition, celle-ci n’est en rien un élément de la foi et elle ne mérite pas de sacrifices. Les comportements doivent être régis par la profonde et intime conviction (inspirée par l’Esprit et les relations passées et futures) et non par des habitudes ou des coutumes.

    Les temps sont venus pour que nous cessions de nous comporter comme des animaux de laboratoire et que nous nous échappions des griffes de savants fous.

    Ces génies, bons ou mauvais, suivant de quel coté vous vous situez, sont à la solde des dirigeants de notre planète.

    Vous constatez toutes et tous, un peu plus chaque jour le désordre organisé qui règne dans le plus grand laboratoire du monde, c'est-à-dire note environnement.

                                                         Ivan Petrovitch Pavlov pour vous servir. Que puis-je faire pour vous ?


    Le « petit Sarko » aurait répondu (visualisez bien le personnage..) :

    « Eh bien je vais vous le dire.  Avec ma Carlita, "JE " voudrais un truc....Je ne sais pas, enfin quelque chose de simple... Pour que les Français et les autres au moment de voter mettent leur bulletin, celui qui porte mon nom....(rire intelligent de Carla..) dans l'urne. »

                                                              L'apprentissage pavlovien compte cinq variables :

    La première est le stimulus neutre, stimulus qui ne déclenche, de prime abord, aucun réflexe, aucune réponse ou qui ne déclenche pas la réponse souhaitée. :

                                                      « Tiens, tous les autres invités tiennent quelque chose dans leur main droite »

    La deuxième est le stimulus inconditionnel ou stimulus inconditionné, un stimulus qui déclenche une réponse (inconditionnelle) de manière réflexe, sans apprentissage nécessaire :

                                                     « Quel con je suis... Où est le mien ? (vous vous êtes fait trop souvent traiter de con où on vous a pris pour une gourde )

    La troisième est la réponse inconditionnelle (ou réponse inconditionnée), réponse déclenchée par un stimulus de manière réflexe, sans apprentissage nécessaire. Elle peut se manifester sous forme d’émotion ou de réflexe :

                                                   « Et merde...w'oui l'est passé ce con, c'est Martine qui me l'a chouravé (Dans le cas présent, c'est un réflexe... Il est normal d'accuser sa femme ! Puis vient l'émotion en matant votre voisine de table..Mais là nous nous retrouvons dans l'isoloir...

    La quatrième variable est le stimulus conditionnel (ou stimulus conditionné), un stimulus initialement neutre qui finit par déclencher une réponse conditionnelle lorsqu'il a été associé à un stimulus inconditionnel.

                                                « Et  re-merde... C'est bientôt minuit... Ma liste de contacts est prête pour l'envoi des vœux...Çà, ne va pas le faire !    Malgré le fait d'être cerné par des cons, vous sentez poindre en Vous un grand sentiment de solitude.

    . La cinquième et dernière variable est la réponse conditionnelle , une réponse déclenchée par un stimulus conditionnel lorsqu'il a été associé à un stimulus inconditionnel  Ainsi, il change les perceptions.

                                              " Il faut impérativement que je poste à tous mes contacts mes vœux de bonne année.. Sinon je passe pour un gland... Vite mon SMARTPHONE..... Là, çà, déconne. »


    Moi qui ne suis pas possédé par un SMARTPHONE c'est avec sincérité que je vous adresse mes sincères pensées de bonheur à toutes celles et ceux qui les accepterons.

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  • Lettre à Elise.... Çà n'a pas de sens, c'est comme l'histoire du béret de Raymond DEVOS.
    J'aurais pu donner un titre à cette lettre comme « lettre à Mon Moulin ou à Celles et Ceux d'EKLA ».
    Ce n'est qu'une information, une simple supposition, un début de piste à suivre pour débuter une conversation.
    « Je vous écris une longue lettre parce que je n'ai pas le temps d'en écrire une courte. » aurait dit PASCAL à une provinciale en lui remettant ce billet écrit de sa main. Ce qui n'a pas de sens, pourquoi faire long quand on peu faire court, ce serait couper court à toute discussion que de s'en priver.

    De la discussion, jaillit la lumière. Est-ce pour cette raison que les alcôves sont si mal éclairées, surtout lorsque deux personnes sont sensées s'y retrouver pour avouer leurs sentiments. Je préfère passer sous silence les sous-entendus de ces instants.
    Peut-être faudrait-il comprendre qu’ils n'avaient pas grand chose à se dire « .On a besoin de ses mains pour dire les choses que la parole ne traduit pas »...de là à penser que celui des deux qui a des ampoules aux mains.....

    Mais cela ne voudrait rien dire, me direz-vous, alors pourquoi si nous n'avons rien à nous dire nous n'en parlerions pas ?
    En parler, en discuter si nous n'avons rien à nous dire, il faut de suite en faire profiter les autres, surtout ceux qui sont à notre écoute.
    Encore faut-il avoir quelque chose à dire et les prévenir d'ou l'envoi d'une lettre à Elise ou à un autre.
    Vous vous imaginez, revenant d'où je ne sais où, votre conjoint vous informe de la réception d'une lettre... « Chérie, . J'ai reçu une lettre t'informant qu'UNTEL n'avait rien à te dire... " Elle insiste : « Tu ne feras pas comme la fois précédente, tu lui répondras ».c'est de la politesse.
    Vous « d'accord, je lui dirais que ce n'est pas la peine d'en parler. » c'est de la sagesse
    Sage attitude envers un ami, si vous n'avez rien à lui dire, il faut qu'il le sache sinon le doute s'installe dans son esprit : « Je lui ai fait part du fait que je n'avais rien à lui dire et lui, ce malotru ne prend même pas la peine d'en parler ».
    On serait en droit de se poser la question « que trouve t il a redire » ? ... Je vous le demande, autant le dire tout de suite ce qui éviterait ce « bis repetitat ».

    Quand nous n'avons rien à dire, il y a toujours quelqu'un qui nous est tout ouïe.
    Vous vous imaginez prêter votre oreille à un autre même fut-elle discrète, pour qu'il vous ramène je ne sais quel ragot ou bruits de couloir qui courent de tympans en coquelets...et au retour d'une volée de cloche il reste muet comme une carpe surtout si vous devez interpréter son silence.... Cela n'aurait pas de sens.



    Ce qui me plait à la fin de cette année, au milieu du tohu-bohu des Médias, des silences fracassants des politiques et des claquement de leurs langues de bois, des déclarations intempestives et gloussements de dindes énamourées et trompées par les grognements des « balance ton porc », c'est une petite voie qui « se fera lire » par celles et ceux qui auront eu la patiente sagesse de lire ce texte jusqu'à la lie et de recevoir en partage mes sincères pensées de bonheur pour l'année à venir. A ceux là je n'en dirais pas plus.

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