• La souffrance

     

     

     

     

     

     

    La douleur est la suite logique de la souffrance.

     

    La souffrance

    Est-ce bien un mal nécessaire ?

     

    Voila un sujet qui va changer la vision «  turlupinesque » que vous aviez sur un vieux Loup....

     

    La souffrance est un état passager qui n' a pas demandé votre autorisation pour s'installer chez vous.

    Un beau matin...toc...toc...toc elle a frappé à votre porte, vous lui avez accordé votre hospitalité.

    Depuis ce jour, elle s 'installe à votre table, dans votre lit, vous empêchant de gérer convenablement vos journées et pire encore elle flanque un formidable coup de pied au cul à vos invités, vos connaissances, vos amis et aux membres de votre famille.

     

    Puis, la douleur l'accompagnera rapidement...l'une ne vas pas sans l'autre....c'est le ménage à trois.

     

    Cette souffrance va vous isoler....si vous lui accordez la permission d'entrer et de séjourner chez vous.

     

    Regardez bien autour de vous, dans votre entourage, votre voisinage, parmi les membres de votre communauté... ce sont toujours les même personnes, hommes ou femmes, qui sont atteints par ce signe de reconnaissance.

    Pour l'avoir connue, vécue et parfois vaincue, la douleur donne à ses hôtes une occasion d'exister

     

    J'écrirais presque : « je panse donc je suis » (du verbe panser...pansement).

     

    « j'ai tant besoin que quelqu'un m'aime ici ce soir »...comment faire pour attirer l'attention des autres.

    Tout comme l'enfant qui fait des bêtises pour que ses parents s'intéresse à lui, le malade « en puissance » souvent (je dis bien..souvent) provoque toutes les conditions pour que la maladie se déclare et lui offre un « gyrophare » qui le rendra visible aux yeux des autres.

     

    Touché personnellement par cette visiteuse qui un beau jour s'est présentée à ma porte, je ne suis ni plus fort ni plus malin que vous.

    Elle a franchi ma porte, elle a fait son lit dans ma maison, mais je refuse que son cortège de douleurs s'installe chez moi.

     

    Si j'accepte la souffrance telle qu'elle est, je vais la partager avec mes proches.....La douleur physique deviendra vite chronique, elle sera la pire maîtresse que j'aurais eu. Je fais allusion à maîtresse en tant qu'enseignante (ouf..si CATINOU lit cette phrase...aie, aie, aie!) et son enseignement me dit « ne résiste pas...accepte ma présence ».

    Je lui reconnais le droit d'exister.

    Oui...mais, je l'accepte pour mieux la combattre, connaître son ennemi pour pouvoir l'anéantir en le connaissant parfaitement.

     

    La souffrance est nécessaire...oui et non...sans elle je n'aurais jamais tenu ce langage ni rencontrer les fabuleuses internautes que vous êtes...je n'aurais jamais eu cette humilité face à cette étrangère qui me fait venir de drôles d'idées en tête au moment où elle accentue sa présence....et ce sont ces pensées qui me rendent moins heureux.

    Vous savez ces pensées du style: « quelle journée de merde, elle ne vient plus sur mon blog, il a plus de succès que moi, putain de voiture...etc »

     

    Ces vacheries d'habitudes que l'on a de porter des jugements sur les autres, sur les événements et même sur cette connasse de grenouille de,météo !....ce sont des sortes de souffrances que nous créons et qui entretiennent notre mental de souffrance.

    Je ne colle plus d étiquettes « bien ou mal » « bon ou mauvais » et je m'interdit de vider mes poubelles das votre salle à manger.

     

    N'oubliez pas d'élever une statue et de délivrer un César à tous ceux et celles qui vous ont casser les pieds et plus encore....c'est grâce à leur présence que vous existez ce jour.

     

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 13 Novembre 2016 à 21:31

    Je suis désolée, je pense que c'est le mot qui convient !!! mais c'est aussi une expression qui n'arrange guère la situation de celui à qui elle est adressée !!!

    Ce qui me surprend c'est la différence que tu fais entre la souffrance et la douleur !!! pour moi elles vont de paires ces deux compères !!! et franchement, je ne les considère pas comme nécessaires ni l'une ni l'autre !!! quand elles s'éloignent ont s'en passe très bien !!!

    J'avoue que tu m'as fait sourire avec tes drôles d'idées !!! Dis lui donc de revenir sur ton blog !!! Mais non il n'a pas plus de succès que toi ne fais pas le modeste !!! et change de voiture !!! tout ira beaucoup mieux, tu verras tu verras ...... la vie c'est fait pour ça .......

    Bonne soirée Loup 

    Bise

     

     

      • Lundi 14 Novembre 2016 à 03:32

        " le diable c'est fait pour ça tu verras ...je ferai le voyou...je boirai comme un trou..."""

        Belles réflexions sur ce qui est et sur ce qui ne devrait pas être...a t on le choix ?

        Mon choix à moi et d'amener ces réflexions qui font poser tant de questions.

    2
    Louise
    Dimanche 13 Novembre 2016 à 22:50

    Je fais mienne la réflexion de Tiny. Si permission m'est accordée bien sûr.

     

    Cependant, tôt ou tard, le plus tard possible, il faudra bien baisser les bras. Douleur et souffrance se dissiperont, s'en iront ailleurs, vers un lieu stérile...

    3
    Jo
    Dimanche 13 Novembre 2016 à 23:09
    Jo

    Souffrance = douleur. Il y a les souffrances morales et les souffrances physiques, bien différentes . Morales, il y a moyens de lutter mais contre certains maux physique là c'est raté et j'en sais quelque chose malheureusement.... Quant à juger l'autre, qui sommes nous pour porter un jugement ? Chacun est comme il est on l'accepte ou alors  soit on fout le camp, soit on l'ignore ou on subit si on le veut bien !!!!.

    Bonne fin de dimanche.

      • Lundi 14 Novembre 2016 à 03:38

        Finement ciselé ces vues de l'esprit....on accepte ou on fout le camp...On ignore ou on se complet pour attirer l'attention des autres..la souffrance pour exister...c'est une des raisons de vivre de bien des "malades chroniques"....a développer

        Merci

    4
    Guy
    Lundi 14 Novembre 2016 à 07:18

    J'adhère aux propos de ceux qui me me précèdent.

    J'insiste : quel talent ! Touché ! Curieuse démonstration de l'envie de vivre d'abord.

    A une condition : s'exprimer quoiqu'il arrive ; et çà, c'est, il faut le dire, un cadeau du siècle !

      • Mercredi 16 Novembre 2016 à 04:11

        Vivre pour oublier de mourir..

        ..Jean d'Ormesson : "ce qui me  gène n'est pas de mourir..mais de ne plus être là " .....avec votre indulgence !

        Merci de votre présence en ces lieux que j'espérais hospitaliers.

    5
    Lundi 14 Novembre 2016 à 12:21

    Bonjour Loupzen,

    Il faut être passé soi-même par la douleur physique pour comprendre ceux et celles qui doivent surmonter la leur. 

    On sait aussi combien une simple présence amie peut mettre du baume au cœur, à défaut de pouvoir soulager la souffrance physique à l'aide de quelque baume inefficace.

    Alors, tout simplement, je viens t'offrir un bouquet de mes fleurs d'amitié. J'espère que son parfum apaisera un peu le tumulte de tes pensées :).

    Prends soin de toi.

    Amitiés,

    Martine

     

      • Jeudi 17 Novembre 2016 à 06:48

        Toutes de douceurs enveloppées, je reçois de tes mains ces cadeaux qui me sont destinés,

        si les baumes des apothicaires aux quels je ne crois guère, ne soulagent  pas mes douleurs,

        je connais une amie qui en offrant un bouquet de fleurs,

        a su par ses belles paroles réchauffer mon cœur.

         

        Merci de ta présence.

    6
    Lundi 14 Novembre 2016 à 13:03

    Dur dur... difficultés de la vie, autant dans son corps qu'en société... mais faut essayer de gérer, et les amis sont là pour y aider !

    Bonne journée

      • Mercredi 16 Novembre 2016 à 04:03

        La vie est un combat que nous livrons à Nous même....notre pire ami et ennemi....

        connais toi toi même et tu connaîtra la façon de mener ce combat pour en sortir victorieux.

        Le meilleur pour toi et es tiens.

        Amitiés du voyage

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    7
    Lundi 14 Novembre 2016 à 21:59

        Que ce soit douleur ou souffrance je ne peux que les accepter puisqu'elles  sont mes siamoises  .Accepter peut-être mais essayer de les dépasser toujours!TOURNER LES MAUX A LA RIGOLADE SOIT PAR DES MOTS "humour  "ou par un coup de pied que je me mets aux fesses!

    Quand on est subitement confronté à toute les choses qu’on ne peut plus faire, qu’on aurait aimé faire mais qu’on a reporté sans savoir que la vie nous ferait une mauvaise blague, quand on a fini de pleurer cette ancienne vie , la arrive quelques choses de formidable, la remise en question de notre façon de vivre ce besoin de changer les choses .Au lieu de lister ce qu’on ne sait plus faire, on liste ce qui est possible, et on essaie parfois même ce qui nous semble impossible ( avec +/- de succès) , on fait des choix pour nous et notre bien être , pour le bien être de notre conjoint ou de nos enfants.

     

    La douleur
    Je la connais, c’est ma compagne
    De mon cœur ou de mon corps
    Jamais elle ne s’éloigne
    Elle s’est vissée dans mes os
    S’est logée à demeure
    Dans mon fragile cœur

     

    La douleur
    Elle me sape, elle me bat
    Me pousse vers l’au-delà
    Elle rogne mon espérance
    Sabote tous les traitements
    Domine en permanence
    Ce qu’il reste d’espace-temps

     

    La douleur
    Celle qui se glisse
    Quand les portes se ferment
    Qui écharpe notre flegme
    A violents coups de couteau
    Qui s’attaque à nos certitudes
    A nos joies, à nos finitudes

     

    La douleur
    Qui nous étreint dans la nuit
    Celle qui nous mange les mots
    Nous fait crier ou pleurer
    Quand elle se fait trop intense
    Celle qui se met au diapason
    De notre intime déchéance.

    Marie Peter copyright ©

     

    Se réveiller le matin avec l’impression d’avoir rencontré un 30 tonnes, vous avez dormi 4-5 heures(ou encore une de ces nuits ou la douleur vous a tenu éveillé jusqu’au petit matin ou vous avez lâchement sombré en oubliant le réveil qui a sonné 1h30 après avoir enfin pu fermer l’œil) , vous êtes engourdi, les médicaments de la veille ne font plus effet, vous êtes raide , vous avez déjà mal partout et le sommeil n’a pas forcement été réparateur.

    Cet état va vous suivre +/- toute la journée, à un certain moment si vous avez de la chance, les médicaments vous rendront un peu d''énergie et vous pourrez aller bosser quelques heures/ faire un peu de lessive/ faire quelques courses,…

     

    En retenant ceci, visite surprise, on passe vous voir à 11h, vous êtes plutôt en forme,entrain de replier une manne de linge , pour une fois habillée et déjà lavée, les médocs sont en pleine action ou, c’est tout simplement un de ces rares moments où vous êtes bien!!!

    Souvent on a droit à un ” oh t’as l’air en forme !!!”…oui merci

    1-2h plus tard, vous êtes à plat, car c’est ça la maladie… des hauts et des bas sur une même journée,de préférence le peu de temps ou vous étiez bien, vous avez culpabilisé et voulu en faire un max ,vous vous reposez 1/2h au fauteuil et vous avez mal partout d’avoir juste passé le torchon, fait une lessive et rempli le lave vaisselle( hé oui c’est ça le max…!!) et c’est là que votre fille sonne, et vous trouve la mine déconfite, les cheveux en l’air comme si vous aviez dormi toute la journée….

     
    -tiens je l’ai vue ce matin elle pétait le feu…

    -ah ben moi elle dormait et disait que ça ne va pas …c’est bizarre….

    On ne ment pas, on peut réellement alterner sur la même journée( voir moins) des hauts, des bas, passer de l’énergie à l’épuisement, marcher comme vous le matin et boiter l’après-midi, parfois c’est vrai parce qu’on en a trop fait pour notre pauvre corps qui s’épuise très vite, parfois même sans rien faire du tout!!

    Vous pouvez nous voir 2 jours de suite avec une aide à la marche, et le jour suivant marcher presque normalement mais ne plus rien savoir soulever, car cette maladie est sournoise, elle varie beaucoup d’un jour à l’autre .

      Fibro,   Lupus… spondylarthrite...toutes ces maladies   chroniques, extrêmement invalidantes, douloureuses, épuisantes et déroutantes non seulement pour la personne malade mais aussi pour son entourage…

    Eux aussi se sentent perdu voir impuissants ils ne comprennent pas toujours ce que l’on vit, ne savent pas comment réagir, parfois même ont du mal à nous croire tout simplement…
    C’est suite à cette interrogation constante de mes proches que je me suis questionnée, que peuvent-ils faire pour nous comprendre, pour nous aider?

     

    -Ne mettez jamais en doute notre fatigue, nos douleurs, nous vivons avec au quotidien rien de pire que l’impression qu’on ne nous croit pas, qu’on est fainéant ou des profiteurs !

    -On a pas envie de devoir ce justifier constamment, mais souvent on s’y sent obligé, en réalité on a besoin d’être rassuré, savoir que vous comprenez.

    -Si vous voyez qu’on a mal, qu’on souffre, un petit geste de soutien, une caresse, un petit mot gentil, ça aide bien!

    -Ne nous culpabilisez pas!!! C’est notre passe temps favoris, on culpabilise pour tout; l’état de la maison, notre manque de productivité, notre manque d’énergie, notre incapacité a pouvoir prendre soins de notre famille comme avant, notre fatigue …et pourtant on y peut rien du tout, on l’a pas demandé nous cette foutue maladie !

    -Ne nous en voulez pas si on rate un rdv, si on annule une sortie, si on rentre plus tôt, si on a pas fait ceci ou cela, on n’y peut rien, nous sommes obligés de suivre notre corps, car aller contre et Dieu sait qu’on l’a tous fait, nous plongent dans un état bien pire les jours suivants.

    -Aidez-nous a être zen, le stress et les tracas inutiles sont très mauvais et déclenchent des crises, ne nous traitez pas non plus comme des gosses en nous cachant des infos pour ne pas nous inquiéter!

     
    -Si vous voyez qu’on rame, aidez-nous, sans forcément vous contenter de  le proposer car on a tendance à refuser l’aide dont en réalité on a besoin

    -Ecoutez-nous, on a besoin(pas constamment) de parler de la maladie, des douleurs, ça nous soulage le cœur.

     

    -Nous ne sommes plus tout a fait la même personne, nous ne pouvons plus faire les mêmes choses au même rythme, tenez-en compte quand vous organisez des sorties, on déteste les imprévus ( quand on a très peu d’énergie on doit planifier les choses) prévenez nous qu’on puisse s’y préparer, on aimerait tellement pouvoir y aller

    -N’oubliez pas que nous sommes la, on est capable encore de vous écouter et vous réconforter, tout ne tourne pas autour de nous,racontez nous vos sorties vos petites histoires, c’est important pour nous de rester connectés avec la vie de nos proches .

    Le moral n’est pas souvent bon, faites nous rire, détendez l’atmosphère !

    -On oublie, oui ,le stress ,la fatigue, la douleur, on a des troubles de concentration aussi, ne nous en voulez pas si on zappe un truc ou l’autre ou si on ne trouve plus nos mots, c’est ainsi.

    -On peut avoir des sautes d’humeur, l’air crevé ou énervé, pensez d’abord avant de le prendre pour vous,  que c’est lié a notre maladie et/ou nos médicaments, un peu de calme nous fera le plus grand bien .

    -La déprime est souvent une amie fidèle, nous dire de nous bouger le cul  ou nous laisser nous morfondre et ne rien faire n’est pas la solution, nous faire sortir ce qu’on a sur le cœur pour nous permettre de repartir plus léger, là est la bonne approche.

    -Nous vous aimons, aimez-nous, tels qu’on est devenus, et aidez-nous à apprendre à nous aimer et aller de l’avant!

    -Pour vous même, profitez de ce que vous offre la vie, ne vous plaignez pas constamment, voyez la chance que vous avez d’être au final en bonne santé.

    En quelques mots pour résumer:

    Repos, compréhension, écoute et aides sont les 4 éléments fondamentaux qui nous permettront de traverser la maladie dans de bonnes conditions.

    Cela ne nous enlèvera certes pas nos douleurs, mais une chose est sure, quand on se sent soutenu et compris, tout est plus facile. n pire les jours suivants.

     

    Je pense souvent à mon loup qui m'a dit"Calme et Droit jusqu'au bout"et à notre amitie

    Bisous

    8
    Mardi 25 Juillet 2017 à 17:45

    On ne peut supprimer "la liberté de pensé aux personnes" : Cette dame avait tout à fait raison, quant à cet homme, il n'avait qu'à garder son opinion pour lui car le droit la liberté de penser est encore peut-être le seul droit qu'il nous reste actuellement et  il venait de le griller lamentablement.  Lorsque l'on est bien élevé, on se doit de ne pas invectiver une dame comme il venait de le faire d'autant plus que son jugement était, de sa part sans aucun droit et sans aucun fondement : l'extrémiste devait être ce monsieur en sous entendant que ces jeunes étaient dans leur droit à torturer les bêtes. Quelle mentalité pourrit avait cet homme! Ghis.

    9
    Vendredi 8 Septembre 2017 à 13:41

    Bonjour Loupzen,

    pensée du jour choisit par Le blog de l'amitié et trouvée sur le net.

    Il y a vraiment des gens méchants sur terre ! J'ai lu dans les pages de ton blog, dans certaines de tes rubriques ou  articles, des commentaires pas très agréables. Ces personnes devraient tourner sept fois leur langue dans leur bouche avant de parler !  Beaucoup savent voir la paille dans l’œil de leur voisin, mais ne s'aperçoivent pas de la poutre qu'ils ont dans le leur ! Ghis.

     

    10
    Jeudi 14 Septembre 2017 à 13:27

    Bonjour mon cher Loupzen,

    Vous avez raison de vous libérer de votre souffrance.  La douleur, elle, à différentes façons de s'inviter sans demander la permission. Il est certain que lorsque l'on souffre, on ressent la vie qui passe, par les heures, les minutes, les secondes interminables qui accentue notre conscience de ressentir que l'on est en vie. Notre envie de ne plus souffrir, ni physiquement, ni moralement, est forte, car lorsque le mal est là, sous quelque formes que ce soit, qu'il continu de déambuler, en se moquant de nous chambouler à l'intérieur, intervient la maladie. Il faut crier, hurler plus fort que le mal pour le faire taire ! Il faut exorciser la souffrance de toutes les manière que la vie met à notre disposition en commençant par avoir le courage de s'en sortir, de le vouloir. Il faut faire taire la douleur et a souffrance lorsque qu'elle n'a pas son mot à dire ! Il faut être, moralement, plus fort qu'elle ! Vider son cœur, son âme de ses rancœurs qui nous font du mal, elles aussi ! Ne pas lâcher prise en ce qui concerne la vie. Avoir toutes les raisons de vivre dignement : c'est déjà une victoire sur le mal ! Jean-Michel ancien pompier professionnel de Paris en tant que sergent chef, puis du Var, après 30 ans de métier, vit sa retraite avec des hanches en titane. (coups et accidents dû à son métier dans les feux de forêt ou l'on se prends des drôle de valdingues). Il souffre se sa hanche droite et de son épaule gauche au point que même avec des anti-douleurs puissants, il souffre en silence et dort très peu la nuit.  Je l'entends geindre dans son sommeil et je ne peu rien faire pour le soulager. Il devrait se faire opérer de ses épaules ; mais il ne veut plus qu'on le touche parce qu'il n'a pas confiance dans cette médecine opératoire amoindrie par le système et qui lui à déjà loupé une hanche : d'où ces douleurs perpétuelles. C'est un homme très fort moralement et très dur à la douleur. Il souffre beaucoup, mais combat envers et contre tout. De plus, il ne supporte pas l'inactivité car c'est un homme de terrain. Alors, il continue son jardin et il bricole pour oublier son mal. Il ne reste pas en place ! Quant je lui dis : " repose-toi un peu ",  Il me répond qu'il aura bien le temps de se reposer au cimetière. Vous voyez le genre d'homme qu'est mon homme. Moi, je suis douillette. Je ne sais pas comment il fait pour être aussi fort  de caractère ?

    Je vous embrasse avec amitié,en tout bien, tout honneur. Votre amie Ghislaine.

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    11
    Samedi 18 Novembre 2017 à 09:58

      Perso je dirais que "la souffrance est la suite logique de la douleur".Mais on peut lutter même contre les douleurs physiques et quand au centre anti-douleurs on me dit que si j'accepte cela ira mieux ...Eh bien non car elle s'enhardira cette putain(oh excuses moi). Que ce soit douleur ou souffrance je ne peux les considérer comme mes amies car en plus de gâcher ma vie ,elles gâchent aussi celle de mon époux indirectement car   même si je la tais,il la connaît!

    Lui se dépasse malgré 2 genoux artificiels (réussies les opérations),il jardine,monte sur nos toits enlever les feuilles avant l'hiver,etc Le jardin est de nouveau planté en vue des récoltes de printemps et sa serre de 153 M2 nickel.Il est plus endurant que moi .....

    Allons allons mon loup fort  et droit .......

     

     Tu vas gagner je le sais !

    bisous

    12
    Samedi 18 Novembre 2017 à 10:03

    Le plus grand handicap...
    Est le mensonge !

    Le plus beau jour...
    Est la naissance !

    La chose la plus facile...
    De savoir se tromper !

    La plus grande erreur...
    Est de ne pas admettre l'erreur !

    Le plus grand défaut...
    Est de cacher la vérité !

    La plus grande distraction...
    Est d'admirer la nature !

    La pire banqueroute...
    Est de se lamenter !

    Les meilleurs professeurs...
    Sont nos enfants !

    Le plus grand besoin...
    Est de rester debout !

    Le plus bas sentiment...
    Est la haine !

    Le plus beau présent...
    Est un don de soi !

    La plus grande connaissance...
    Est d'écouter les anciens !

    La plus belle chose au monde...
    C'est la vie !

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