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    Parlez, mes sœurs, levez-vous et restez debout, il est temps !"


    Ce message fait allusion aux conditions très particulières de la vie quotidienne à laquelle sont soumis des millions d'Amérindiens, aux USA et au Canada (et on pourrait l'étendre à tout le continent américain !)


    Non seulement bannis de leurs territoires, ils n'ont jamais eu "droit de citer" (dans l'une des plus grandes démocraties autoproclamée comme telle et qui prétend imposer son modèle vertueux au monde entier), chaque jour nouveau que fait le soleil, ce sont des centaines de femmes, mères et filles, qui disparaissent mystérieusement de la surface de cette terre !
    Il suffit de taper "amérindiennes disparues" sur Google pour entrevoir l'ampleur du désastre : d'après les chiffres de 2017, 5700 Amérindiennes sont portées disparues, rien qu'aux USA !


    Et les cas de viol, "en tournante" dans les postes de police au Canada, commencent tout juste à faire la Une des scandales nationaux.
    Alors, effectivement, le message est double, voire triple : la couleur rouge symbolise la Nation Amérindienne dans son ensemble, la main noire est celle des "Blancs" qui s'enrichissent avec le pétrole et le gaz de schiste et qui entendent traverser l'ultime havre de paix de ce peuple bafoué depuis un demi-millénaire.
    Puis, la main sur la bouche d'une femme incline à la soumission.
    Faut-il rappeler, qu'en 1970, plus aucune Amérindienne ne souhaitait accoucher à l'hôpital des Blancs car elles en sortaient stérilisées d'office et à leur insu ?
    N'assisterions-nous pas à l'éradication d'un Peuple en continu et direct, en ce début de XXIème siècle, depuis bientôt 600 ans ?

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  • Les marionnettes

    Ainsi font, font, font,
    Les petits maris honnêtes
    Ainsi font, font, font,
    Trois p'tits tours et puis s'en vont.

    Pour mériter d'être un Homme au sens respectueux du terme, il faut trois conditions :

    - Agir bien

    - parler peu

    - ne pas s'écarter de sa voie.

    La première condition est de bien agir ou d'agir pour le bien des autres.

     Si le passé nous fait rêver, et l'avenir espérer, le présent nous demande d'agir.  (Anne Barratin). Le plus difficile est de mettre un pied devant l'autre et de recommencer, en effet il n' y a que le premier pas qui coûte.

    Parfois vous me faites penser à la tortue. Bien à l'abri (tout est relatif ) dans sa carapace, il lui faut faire un gros effort pour sortir la tête et partir d'un pas lent vers la feuille de salade.

    Une fois franchi cette étape, l'aventure commence dans l'action. A chacun son rythme.

    « Les hommes parlent des aventures qu'ils n'ont pas vécu et les femmes de celles qu'elle auraient aimé

    avoir »... 

    l'homme aurait ce besoin quasi-viscéral d'aller "voir ailleurs". La femme devrait se résoudre à l'idée que l'homme qu'elle aime va la tromper, parce que c'est inscrit dans ses gènes.

    N'est-ce pas un peu simplifier les choses que de penser que l'homme est génétiquement infidèle ?

    D'où vient ce besoin masculin de trop souvent se vanter ? J'ai une formule qui caractérise ce genre de « coureurs de tour de taille, de gros croqueurs de souris » (NOUGARO in DON JUAN) je les appelle les « MC CAIN » se sont ceux qui en parlent le plus qui en mangent le moins !

    Ils en ont la bouche pleine de leur futurs exploits, confondant désirs et réalités. Au matin, au retour de «  chez une autre »  quand leur lit par un autre est occupé, ils s’aperçoivent sur le coup qu'ils avaient trop parlé !



    Quant à la femme, éternelle rêveuse, trop souvent déçue elle en parle peu, préférant laisser son conjoint se vautrer en se prenant les pieds dans le tapis de la chambre à coucher. Ne pas en parler, certes mais je n'ai jamais dit de ne pas l'écrire, nous lui pardonnerons les fantasmes qui sont faits pour rester des « projets d'aventures ».

    Si il y avait matérialisation de ce projet ce ne serait plus un fantasme....pauvres de Nous !..continuez à écrire et Nous, les Hommes, taisons nous !

    « Les voies ne sont pas toujours toutes tracées pour aller d'un point à un autre, il faut parfois chercher son chemin ».

    Et ce chemin qui au départ paraissait tout tracé, ne l'est pas en réalité.

    Tout commence par une fin. La fin de deux vies de célibataires, qui volontairement s'unissent pour regarder dans la même direction. Que l'idée est belle et l'intention louable. Seulement voilà il n'y a pas plus « sourd que celui qui louche ».

    Le phénomène de strabisme divergeant existe bien dans les couples unis pour le meilleur et pour le pire.

    C'est se coup d’œil malicieux, accident de parcours qui fera de vous un « bien malvoyant » vous obligeant sur le coup, après avoir été éblouis, à mettre les mains sur un corps et ses sens interdits.

    Du haut de sa dunette le « Pilote » navigue parfois à vue...sur la paire de jambes de sa voisine et s'applique à faire entrer son bateau dans le port d'une inconnue.

    « Oh ! combien de marins, combien de capitaines
    Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines ».... se sont retrouvés entrain de ramer et d'implorer leur femme pour qu'elle les reprenne.



    Si le phénomène de strabisme est convergeant, la vision à deux s'apparente alors de l'échangisme, au sein du couple regarder ailleurs...mais ensemble.

     

    « A la pêche aux moules, moules... » Pour être grivois, à propos de ce « muculus-bi valve » qu'elle se prénomme Monique ou qu'elle soit de Bouzigues je ne vois pas quel est le plaisir de devoir la partager avec d'autres zigues.


    Ainsi font, font, font,
    Les petits maris honnêtes
    Ainsi font, font, font,
    Trois p'tits tours et puis s'en vont.

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    Moulin de l'Avent

     

     

     

    Cervantès aurait-il traîné ses guêtres dans les quartiers de noblesse d'une de mes féminines ancêtres ?

    Je l'ignore mais des similitudes existent.

    J'ai souvent pris les armes pour défendre la veuve, le mari occis avait à mes yeux, plus l'air d'un con que d'un moulin à vent.( Don Quichotte sorts de ce corps !) , j'aurais tant aimé au chant du coq lui ravir son dernier souffle de vie, l’épée à la main, la poitrine dénudée offerte au coup fatal d'un JARNAC en pleine CHATAIGNERAIE .

    Mon envole fut de courte durée,et c'est contre un moulin à vent que je ferraillais, Dérangé en plein sommeil le meunier qui dormait quand son moulin allait trop vite prenait la poudre escampette, trop content de se débarrasser d'une emmerdeuse patentée, qui lui reprochait ses copains et le foot à la télé.

    En ce qui concerne les orphelins, j'ai toujours pris la précaution de défendre une future veuve sans héritier. J'aime voyager léger et m'encombrer de bouches qui babillent me paraissait bien inutile.

    Devant son attitude la partie vestimentaire qui se situe entre la ceinture et l'entre jambe d'un pantalon se mit à gonfler. Mesdames ne soyez pas offusquées. Un Georges nommé BRASSENS vous l'avez déjà chanté (….mon '' LA'' se mettrait à gonfler, on dirait dans tout le pays....le Petit joueur de Flûte ).

    Si vaincre est puéril, triompher est une autre histoire. Un petit pas pour l'homme que je devenais mais une grande victoire pour la femme qui se tirait

    Mes « Moulins à vent » n'ont pas été des cibles faciles. J'ai passé un temps fou à retrouver la trace de causes qui s'étaient perdues.

    « Le désir de se surpasser, passe obligatoirement par les yeux d'une Femme »

    Belle formule qui donne du panache au frondeur que je suis, sans entacher le goujat qui tapi dans un coin du lit, pensait au « désir de lui passer dessus ». On a beau avoir l'esprit chevaleresque je n'en reste pas moins un spadassin l’épée à la main.

    Défourailler me fut chose aisée tant les belles qui faisaient tourner les moulins de mon cœur connaissaient bien la chanson.

    Mais que celui qui n'a jamais séduit me jette la première pierre, « celle qui laisse derrière elle, des milliers de ronds dans l'eau ».

    Le monde contemporain ne favorise pas la ferveur, l'optimisme ou la confiance en l'avenir. 

    Pourtant je reste optimiste sans perdre le sens de la réalité en m'improvisant chevalier errant.

    Résolu à défendre la veuve mais pas l'orphelin, l'hidalgo que je ne suis pas équipé d'une foi inébranlable en ce qui devrait être mon avenir, me voilà parti sur les routes, investi d'une mission divine au grand désespoir des machos et des Messieurs « biens comme il le faut » incapables de museler ma folie douce.
    Mais comme tout bon chevalier se doit d'avoir à son service un écuyer fidèle, c'est dans la peau d'un LOUP que je me suis glissé.

    Ces charges héroïques, façon « Cuirassiers de Reichshoffen  il fallait voir la Belle crier,» me laissaient vide de toutes forces et maintes fois j'ai du faire appel au fameux docteur BOMBAY (celui de ma SORCIERE BIEN AIMEE).Ses prescriptions m'ont sauvé de la déprime. Dés le lendemain, je me rendais chez mon fournisseur exclusif de poils à gratter et c'est en perfusion que l'humour me fut prescrit. J'ai frôlé l'overdose mais je m'en suis bien sorti,

     

     





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    A TABLE !

       C’est un ordre venu du commandement suprême : 

       Il émane d’un chef de guerre qui a mis en place tout un stratagème pour que des belligérants plus souvent soudards et mercenaires, se comportent en « soldats de la paix » autour de la table des négociations .

       Pas de sacrifice : La Colombe de la Paix remplacée par le poulet rôti.

       C’est un souhait, une prière : 

       La taulière a fait battre tambour et c’est en ordre de marche que nous nous présentons fins gourmets, fin prêts à en découdre avec cet ennemi qui nous fait tant de bien : la FAIM .
    Le repas préparé par la 
    « déesse » des lieux est une communion, un partage,une « cène » ou tous les initiés conviés à cette grande messe, participent aux différents sacrifices qui ont pour seul but de les amener au septième ciel.

       La stratégie :

       Ces moments de partage, d’élévation de l’esprit passent par nos instincts bassement matérialistes qui nous permettent de bichonner nos entrailles. Mais avant que de s’occuper d’élévation spirituelle, il nous faut partir à la découverte de l’alchimie, transformer ces instants de ripaille en de saines libations.

       Le rituel :

    Ces rituels sacrificiels nous emportent vers nos origines bestiales ou Monsieur Guy De Grenne ne sévissait pas encore dans notre imaginaire.
    Je mange dans de la vaisselle en bois d’olivier…copié sur le Seigneur des Anneaux je bois dans une coupe en argent (si…si…il y a un poinçon représentant une Minerve) richement décorée avec de fausses pierres précieuses (le décorum…en somme)

       Le champ de bataille :

       Drapée de nappes blanches immaculées, accompagnant une vaisselle et des couverts savamment placés, ornée de quelques flûtons aux reflets cramoisis signes d’appartenance aux chais du sud-ouest, elle nous accueille, témoin des grandes heures passées en sa compagnie, la table est mise, prête à se faire servir.

       La charge héroïque :

       Je parle, mais vous l’aviez senti, de réunions exceptionnelles, de type fin de semaine de moments de partage avec les amis, la famille et toutes ces occasions qui font que tous les prétextes sont bons.

       …oublions donc le remplissage de l’estomac par obligation et concentrons nos pensées sur ces fêtes païennes, religieuses ou dédiées à la découverte de nouvelles sensations gustatives. Il n’y aura ‘‘ pas de quartier  » et ne sera fait aucun prisonnier.

       Il s’agit bien de cela, les banquets offerts aux Dieux par mes ancêtres du Nord aux ancêtres du Nouveau Continent, à la traversée d’un Styx par un Tantale assoiffé…. de grandes occasions en somme. vivre pour manger ou manger pour sublimer ces instants.

       In mémoriam :

       C’est une réunion d’anciens qui « se souviennent » qu’il y avait eu une précédente assemblée … une place est occupée par l’Absent… crânement, ils se rappellent, disent qu’une fois prochaine ils seront là, debout, faisant face à leurs obligations…traînant les pieds, ralentissant à cette fin de ripaille sachant que toutes choses y compris les meilleurs ont une « faim ».

       A la fin de sages libations, j’entraîne mes invités à entonner le chant du départ : « Ah que nos pères étaient heureux quand ils étaient à table »

       je n’oublie jamais de poser sur la table dressée une assiette supplémentaire comme le faisaient les « gens d’autrefois » pour le vagabond de passage. Puis je me plante debout en portant un dernier toast au ciel, à des Dieux en signe de remerciements pour cette manne providentielle.

       Les héros : Les âmes réchauffées par nos pantagruéliques agapes se sentent toutes revigorées et ravigotées.

       Il en résulte un déblocage de leur système de sécurité semblablement identique à celui de la ceinture de nos pantalons. Les émotions coulent à flot, la barrière de la langue est ouverte pour que surgissent dans un rugissement de fauves les plus triviales expressions de nos pensées …

       Les uns considèrent que le repas pris dans de telles conditions les mènera droit en enfer…au détour d’un contrôle médical le cholestérol leur fera le coup du… «  souviens-toi ».

       Les autres avoueront que dans cette débauche de plaisirs, le péché ne peut être que mortel, l’enfer restant pavé de bonnes libations !

       Le résultat me parait être le même et le condamné n’y va pas du dos de la cuillère !

       Le véritable héros : la Femme

       Dans toutes les tragédies, le héros est une femme.

       On n’ose pas prononcer son nom tant sa présence est source de plaisirs défendus : HÉROÏNE.

       Accroc à cette drogue du bien manger, toutes addictions à sa présence nous rendent prolixes et amoureux…..

       Les plus audacieux amèneront l’eau à la bouche en comparant de façon lubrique leur art de déguster ces mets comme on « dévore » une femme !

       Tous les adjectifs et comparaisons avec le féminin sont présents. Je contemple avec satisfaction les faces rubicondes de mes partenaires guerroyant sur ce champ de bataille.

       Tout ce qui porte jupon n’est pas pas ici pour assurer la descendance des Anges Blancs… Elles sont à nos cotés pour participer à l’ hallali.

       La curée est en route, par Saint Emillion !

       Faudrait-il associer les plaisirs de la bouche et de la pensée à ceux que nous offrent nos femmes en toute légitimité ?

       Si les plaisirs sont partagés en toute liberté et avec le consentement de la maîtresse de maison, alors pourquoi faire état d’une telle pudeur et ne pas chanter de paillardes romances qui font peur aux nonnettes (J .BREL)

       Devenons les cannibales de nos âmes .

    .

     

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        Récemment, j'ai émis quelques hypothèses sur les origines des idées qui trottaient dans ma tête et sur la façon dont elles se servaient pour atterrir dans vos mails.

        Je me souviens d'avoir tenté, parfois en vain, de vous faire partager mes opinions sur leur provenance.

    Avec cette chaleur de Juillet, je vous propose de rafraîchir votre mémoire.

     

        J’échafaudais quelques hypothèses, mêlant le hasard d'une rencontre au mélange de fluides corporels pour donner naissance à un « congénère » .

        En parlant d'apparition sur terre et de priorité, je triturais vos méninges avec un cas d'école :

    « qui et né le premier l’œuf ou la poule. ? »

        Vous ai-je décrit de quelle façon je déroulais la pelote de ficelle sensée représenter le contenu de ma tête....en tirant doucement et patiemment sur le petit bout de la ficelle......ainsi naissent les idées .

        Je crois vous l'avoir révélé, je ne suis pas homme de lettre mais témoin.

        Le hasard promenait son flegme dans les couloirs du temps, faisant semblant de ne pas prêter attention aux idées qui s'échappaient de ma tête de Loup.

        Elles formaient des écharpes de brume légère qui flottaient dans l’Éther d'une nuit bien avancée.

        L'instruction me fait cruellement défaut. C'est un vide sidéral qu'il me faut contourner et qui fragilise les contacts que je n'ose nouer avec les membres de votre communauté.

        Einstein affirma que l’éther était nécessaire à l’existence des lois de la physique. « Dans un tel espace [sans éther], non seulement la lumière ne se propagerait pas, mais les normes de l’espace et du temps ne pourraient absolument pas exister. »

        Puisque l’éther était nécessaire au fonctionnement des lois de la physique je lui attribue l'appellation de « flou artistique »  ..un pays ou l'amour serait roi, où la Liberté des pensées serait mienne,

        A priori rien ne laissait à penser que des 3 sujets qui prêtent à débats et témoignent de la richesse de vos actualités (on ne prête qu’aux riches, les pauvres dont je fais partie volent les idées des autres) se comporteraient comme larrons en foire.

        A fortiori, sans parti pris mais à petits prix, une opinion glanée sur le net à dans ma tête fait grand bruit.

        Je vous la sers tout de go.(j'ai vérifie, cela existe )

    "Je crois qu'un homme est un nomade, qu'il est fait pour se promener, pour aller voir de l'autre côté de la colline. Je crois que par essence la femme l'arrête, alors l'homme s'arrête près d'une femme et la femme a envie qu'on lui ponde un œuf, toujours... toutes les femmes du monde ont envie qu'on lui ponde un œuf. Alors l'homme il est bien bon, il est gentil, il calcule infiniment moins que la femme ; je ne dis pas que la femme est méchante, je dis que l'homme est con. »

    Jacques BREL .

     

          Mon esprit chafouin s'est attardé sur quelques belles tournures de phrases qui, sous le besoin impératif de mes doigts de les faire apparaître sur l'écran du PC, furent vite détournées de leurs sens et déplacées de ce con de texte.

         Dire que l'homme était un nomade me convient, vu que c'est de là que je viens..je vous rappelle qu'il y a encore quelque mois je m’enorgueillissais de faire partie de la communauté des Gens du Voyage.

         Les livres m'ont permis d'aller voir ce qui se passe de l’autre coté des montagnes de l'Ignorance (chaîne mythique de monts et vallées, reliefs qui font de nos peurs et de nos manques de savoir des montagnes aux cols infranchissables, mais se transforment en taupinières lorsque nous sommes debout)

    Si la femme s’arrête ne serait-ce pas en cas de panne des sens ? Et l'homme en tant que bricoleur met les mains dans le cambouis en lui soulevant le capot.

        Suite à cette ouverture et plus si affinités, naisse le plaisir des sens. Si certains sont interdits rien en vous empêche de les emprunter et de les rendre à leur légitime propriétaire....après en avoir abusé, cela tombe sous le sens.

        Je ne m'attarderais pas sur les œufs...Sans eux nous ne pourrions pas évoquer la fragilité de l'Homme qui se cache dans sa coquille ni de la femme qui souvent « lui les brise ».C'est vrai que la femme est par essence même, reproductrice et productrice.

    Ses fonctions naturelles fournies par dame Nature font qu'elle assure la pérennité de la race humaine.

    Revenons à notre Homme ou au votre.

        La femme est une calculatrice sur laquelle l'Homme compte, une histoire d'arroseur arrosé.

    Peut on lui reprocher d’être prévoyante, perspicace et prudente vu ce que « le Mâle » lui a fait subir depuis la nuit des temps.

        Lorsqu'elle accueille le vagabond du « tour de taille «  et le coureur de jupons » la victime est assurée des risques encourus lors d'un trekking de nomades sexuels, pourquoi leurs ouvre t elle largement son huis ?

    « L'Homme propose, le Femme dispose ». Le doute s'installe et le malaise prend place.

    Je ne vois dans ce doute qu'une seule solution à ce phénomène de la réciprocité, il sera inscrit aux frontons de leur maison  « à con...con et demi ».

    Je vous laisse la liberté de choisir votre demi.....bien frais, la canicule est là.

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