• Guerre et pets

    Vive le vent, vive le vent ...et c'est là que la dispute a commencé !

     

    Le manque d'humour.chez moi se fait sentir.

    Pourtant habitué à rencontrer toutes sortes de personnages lors de mes sorties, celui-ci n'était pas en odeur de sainteté.

     

    Au détour d'un buisson orné de papier toilette dont les lambeaux flottaient au « vent mauvais », je croisais la présence d'un « Jacques », un pécore chamailleur, bien décidé à découvrir des poux dans ma tonsure.

    Il voulait me faire porter le chapeau en prétextant qu’après mon passage dans ses pacages, des  « lycoperdons » ou pour les Britanniques des puffballs, infestaient son herbe folle et molle.

     

    Il aurait constaté la présence de champignons ronds et gris pleins de poussière et d'air vicié, des « pets de Loup ».

    Pourtant tout avait bien débuté avec cette citation tirée d’un recueil du fameux pétomane Joseph Pujol, : -Qui sème le vent possède une terre bien aérée ».

    Artiste français dont on sent encore la présence au célèbre cabaret du « Moulin Rouge »particulièrement célèbre pour la remarquable maîtrise de ses muscles abdominaux qui lui permettait de lâcher des gaz à volonté ».

     

    Majestueusement surnommé Loupzen, je me suis senti visé par cette boule puante.

    Je proposais une version plus poétique. Celle-là, en fait ce serait le contraire de « pet de loup », qui est , emplit de douceur et de bon goût.  Les beignets soufflés , où vesse d’âne, étaient des « pets-de-nonne » appelés aussi rissoles ou encore rissent . Cuits dans du saindoux, servis dans les veillées d'hiver , les pets de nonne étaient réservés au repas de cérémonie et au foyer plus riche.

     

    Loin de moi l'idée d'offenser ce « pète-sec » écologiste  qui en ma présence pète régulièrement, mais en a des remords car il est conscient de participer au trou de la couche d'ozone au même titre que ses vaches.

    J'aurais préféré avoir à faire à un effronté qui pète bruyamment, puis éclate de rire devant l'effet que fait son derrière.

    Mon interlocuteur se rapprochait du malhonnête qui pète et accuse un gosse si le chien est absent.

    Lui, il se la pétait, se sentant supérieur pensant faire des pets d'une incroyable délicatesse , il se faisait passer pour un musicien qui parviendrait à jouer une mélodie reconnaissable en modulant ses pets.

     

    Ah l'effronté, l’hypocrite, il admet qu'il pète, mais ajoute qu'il a une raison médicale à cela...quel fourbe.

    Je le présents économe lorsqu'il libère ses pets bouffée par bouffée et pourquoi pas grammairien  en essayant toujours de ponctuer ses pets.

     

    Devant ma position de renifleur outragé ce « péteur sur gages » a filé comme un « pet de lapin » sur une toile cirée devant un Messire le Loup qui pète le feu.

     

    J'ai pour ultime plaisir d'enfoncer mes crocs dans les parties charnues des gueux...mais là, exception faite à la présence d'une fulgurante callipyge, j'ai reniflé une embrouille....et si l’indécent n'attendait que çà ?

    Toujours est-il qu'à ce paysan accusateur et mal informé je lui dédie cette citation : « Ceux qui médisent derrière mon dos, mon cul les contemple »

     

     

     

     

     

     

     

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  • Dans la campagne qui abrite les déambulations de mes pensées chauffées à blanc par une élévation de la température, j’ai fait la rencontre avec un stupide chien.

    Avait-il décidé d’améliorer le menu de cette fin de soirée ? C’est avec dédain que j’ai ignoré ses intentions et je lui fit la grâce de lui montrer mon index pointé vers le ciel pour toute réponse.

    Il faut donner de l’importance à ce qui doit être.

    Qu’elle ,ne fut pas ma surprise d’obtenir une réponse à mon geste...

    « Oh Messire le Loup !... Je vais te raconter les origines d'un geste que tu m’as adressé, .peut être que cela te rendra plus poli... »

    J'étais scotché sur place, le vent se fit plus violent et me délivra ce message :

    « le Digitus Impudicus est le geste le plus employé et plus chéri dans le monde occidental ».

    Une des premières mentions du doigt est parue dans Les Nuées, une pièce écrite en 424 av. J.-C. par le dramaturge Aristophane et dans laquelle un mec du nom de Strepsiade mime son phallus à Socrate à l’aide de son majeur.

    Tout comme le pouvoir et l'influence ont migré des Grecs aux Romains, le doigt d’honneur aussi. Il apparaît dans plusieurs œuvres romaines, que ce soit dans des poèmes ou des pièces de théâtre.

    La légende veut que Caligula, l’empereur mégalomane, aimât que ses sujets lui baisent le majeur (qu'il s’appliquait à remuer de manière suggestive), ce qui, encore une fois, renforce la notion de phallus.

    Plus prés de nous :

    Pendant la guerre de Cent Ans (1337-1453), les Anglais causent de lourdes pertes dans les rangs français avec leurs longs arcs. Si bien que, lorsque des archers sont fait prisonniers, les Français leur coupent l’index et le majeur pour les mettre hors d’état de nuire. En réponse, les Britanniques se mettent à lever leurs deux doigts en l’air sur le champ de bataille. Une manière de dire : « Nous les avons encore et nous allons nous en servir, faites-nous confiance ».Depuis que le monde est monde, l'histoire s'est avérée être un éternel recommencement.

    Il serait intéressant de connaître quels sont les signes avant coureurs d'un bon échange de coups et d'insultes, dans les autres pays .Si j'ai un bon conseil à vous fournir, c'est de faire preuve de curiosité, vous avez sous les doigts un outil perfectionné pour aller à la pêche aux renseignements...servez-vous et communiquez..

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  • « L'écriture c'est le cœur qui éclate en silence » à professé Christian BOBIN. Je préfère dire en connaissance de cause que mon cœur éclate « dans le silence ».
    je suis entre deux mondes. Ma Liberté un jour je t'ai quitté....
    Voir partir un ami est une grande joie, celle de chercher au travers de son absence les souvenirs des temps passés en sa compagnie, c'est la promesse d'un retour à l'aube, le récit de son aventure est alors semblable au mien......qu'avons nous fait pendant tout ce temps, à quoi avons nous occupé cette absence.
    J'écris pour ne pas assassiner !
    Plus simplement et pour faire sobre, je n'ai pas dit pour rester sobre car je ressens une certaine ivresse à me plonger dans cette mare nostrum qu'est l’Écriture (avec majuscule ).
    je couche des mots qui une fois regroupés, devraient devenir des phrases, des paragraphes et pourquoi pas des livres.
    Impossibilité et difficultés à se faire entendre, Que deviendront nos écrits lorsque nos paroles sur papier se seront envolées ? Je n’en ai pas la moindre idée,
    Nos coups de cœur et de colère auront ils fait bouger l’humanité ?
    J’aurais brûlé mes vaisseaux pour ne plus avoir la possibilité d e revenir en arrière, embarqué sur des pensées, j’aurais voyagé, mais pas seul, puisque vous avez partagé ce texte….et après moi le déluge.

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  • A

    le DOULOS

     

     

    A ce sujet et pour dédramatiser la parution de ce sujet qui me touche vraiment, je vous propose cette question qui en fera tressaillir plus d'un.

    Si je vous coupe une oreille, quelle serait votre réaction ?

    Réponse : ça fait mal !

    Si je vous coupe les deux oreilles ?

    Réponse : je deviens aveugle....le chapeau tombe sur mes yeux !

    PORTER LE CHAPEAU

    Avoir mauvaise réputation.
    Être considéré comme responsable d'une faute, coupable d'un délit.

    Origine :

    En 1669, "mettre un chapeau sur la tête (de quelqu'un)" voulait dire "médire de lui, le calomnier, nuire à sa réputation".
    De nos jours, un bon moyen de nuire à la réputation de quelqu'un, n'est-il pas de l'accuser d'une faute grave (même s'il est innocent).
    Pour renforcer la chose, on peut aussi noter qu'à l'époque de l'apparition de l'expression, les gens du peuple portaient la casquette.

    Celui qui portait un chapeau avait une fonction sociale élevée, donc des responsabilités.
    La récupération par l'argot de cette association a probablement contribué à faire le lien entre celui qui était responsable (mais d'une faute, cette fois) et celui qui portait le chapeau.

     

    Cette expression exportée vers d'autres milieux de la société, est présente chez les marginaux et les truands.

    PORTER Le DOULOS :

    Être soupçonner de renseigner la police, être une balance.

    Mais c'est aussi l’ambiguïté d'avoir un ami chez les flics et un chez les truands.

    Le "doulos" en grec était l'esclave ou le serviteur....mauvais rôles !

    Quels rapport avec le LOUPZEN....comme le disait Sarko en opinant de la teuté : « EH bien je vais vous le dire ! » ( il opinait souvent de la tête pour ne pas à porter le chapeau ).

    La CATINOU, femme du Voyage s'attache depuis ces derniers mois à trouver les origines de ma famille et ses recherches ont permis de découvrir des noms et leurs histoires, des explications à ma situation actuelle, je vais de surprises en surprises.

     

    Ainsi ma grand-mère paternelle était tenancière d'un estaminet dans le département de la Somme à ROY .

    Cuisinière de profession elle servait des repas qu 'on dirait « repas ouvrier » de nos jours. En ces temps troublés de la dernière guerre, son établissement servait de pension de familles.

    Il était une coutume qui voulait que chaque convive posséda une patère pour accrocher son couvre-chef, et à laquelle la taulière accrochait la serviette de table.

    Les habitués qui ne réglaient pas leurs repas à la semaine se voyaient retirer ce signe d'appartenance. Tous les habitués qui fréquentaient ces lieux connaissaient donc l'identité des personnes auteurs de grivèleries.

    Certains patrons d'estaminet, accrochaient un chapeau au porte-manteau pour bien montrer que l'utilisateur était un mauvais payeur.

    C'est cette mésaventure qui est survenue à mon ancêtre.

    Un client, vraiment mauvais payeur, pour se venger de son infortune dénonça la tenancière de ce restaurant au prés des autorités locales, la Gestapo pour ne pas la nommer.

    Le soir même la mère de mon père fut arrêtée et jetée en prison. Sur le témoignage d'un homme, elle fut accusée d'aider la Résistance.

    Les plus anciens se souviennent du sort qui était réservé aux femmes dans les geôles du 3éme Reich.

    Un article de la Voix du Nord relate le procès de l'homme qui est l'auteur de cette terrible délation....

    Les membres de ma famille m'ont demandé de ne pas diffuser la copie de l'article, ni révéler le nom de famille du salopard......


     

     

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  •  

    J’ai trop de respect envers l’homme auquel s’adresse ces quelques lignes pour en dévoiler le nom.

     

    Pourtant je ne le connais pas de visu, peut être une photo m’a t elle accroché mon regard de Loup, un jour de pleine lune à la faveur de la découverte de son art, il est enseignant et joyeux drille.

     

    La peine l’accable , tétanisé par la perte d’un frère.

    Que pouvons nous faire de cet instant tragique, la réponse vous appartient, je n’aborde pas la question des simagrées, des us et coutumes, laissons là le « politiquement correct »

     

    Dans ma vie de nomade j’ai passé des nuits noires de café brûlant à veiller un défunt, donnant accès à des matins blafards, ensoleillés par le feu purificateur que nous offrait la caravane de celle ou celui qu’on n’attendra plus. En effet chez nous l’habitation dans laquelle vivait le défunt est brûlée avec toutes ses affaires.

     

    Que faire , que dire ?

    La douleur pénétrante au cœur de l’homme est sa propriété et il nous est bien difficile sinon interdit d’y pénétrer. Ce chagrin ne se partage pas, le dire est convenable mais inacceptable à mes yeux.

     

    Pourquoi sommes nous présents ?

    Pour accompagner dans la vie nouvelle celui ou celle qui subit l’épreuve du départ et non nous comporter comme des pleureuses aux larmes de crocodile.

    Religion mise à part, nos intentions et notre attention sont réservés à l’ami présent encore à nos cotés, c’est lui ou elle qui est important.

     

    L’au-delà ne nous appartient pas, la ronde des heures et des jours est là pour nous le rappeler, nous ne connaîtrons jamais ni le jour ni l’heure de cette invite à entreprendre le grand voyage….alors aimons nous vivants .

     

    L’Ami je t’offre cette citation de Jean d’Ormesson :

     

    « Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents, dans la mémoire des vivants. »

     

    Et soit certain que pour moi, même si les paroles s’envoleront à la fin de la cérémonie, les tiennes resteront pour moi, gravées.

     

     

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  • Entre sabre et goupillon

     

     

    '' Le sabre et le goupillon " .Rendons à Georges ce qui appartient à CLEMENCEAU.

    Cette expression a vu le jour au début du XXe siècle et est attribuée à Georges Clémenceau. Le goupillon symbolisant ici l'église fait référence à un arrosoir dont les hommes d'Église se servaient pour répandre l'eau bénite.

     

    Témoin d'un long passé militaire, pas toujours glorieux mais qui fit des envieux, il a conservé cet art du :

    « repli sur des positions prévues à l’avance »

     

    Doutant de son efficacité dans les conflits ce qui revient à dire qu'en cas de déculotté, la fuite reste le seul salut et que la débâcle était envisagée avant même le début des hostilités.          Fins stratèges nos militaires !

     

    Préférant la danse à trois temps pour faire marcher les autres dans une valse hésitation :

                         Recevoir un ordre, attendre le contre ordre pour éviter le désordre.

    A tel point que « la guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée à des militaires » dixit Georges CLEMENCEAU.

     

     

    Et si l'avenir du traitement du virus COVID 19 était confié à d'autres milieux que ceux du milieu médical?

    Des personnages politiques, de la finance mais surtout pas confié à une armée de toubibs qui n'ont qu'une idée en tête : sauver le monde.

                            Le malade coûte très cher, mais le maladie rapporte.

     

    Le mot milieu est à attribuer avec prudence, je le considère porteur d'une connotation de  «Maffia et N'drangheta » avec coups de poignards médiatiques, relations chiatiques, personnages iniques (sa mère) et désordres publiques.

    C'est par média interposés que les chefs de divers clans s'en donnent à cœur joie pour asseoir leur leadership et leurs intérêts.

     

    Qui sera le capo di tutti capi (« chef de tous les chefs » en italien. ). C'est une expression principalement utilisée par les médias, le grand public et les forces de l'ordre pour désigner le Chef Suprême d'une organisation ;

    Appartiendra t il au sérail des groupes pharmaceutiques ou à un courant politique qui souvent sont comme cul et chemise.

     

    Plus jeune j'ai fait une rencontre qui a orienté ma vie du moment. Un pasteur protestant m'a enseigné qu'au petit déjeuner, il se nourrissait d'un plat spécial.

    Il se nourrissait d'une grosse portion de « DOUTES ».

    Les doutes le menaient à chercher des réponses à ses questions, ainsi n'avalait-il pas toutes crues les vérités des autres.

    Ce principe lui a été salutaire je l'ai suivi et cela me réussit....à n'en pas douter.

     

     

    J'ai connu la « Providence » sous différentes formes.

    Cet homme d'église ne niait pas l'intervention d'une forme d'Intelligence infinie pour régler de la meilleure façon qu'il soit, notre avenir.

    Mais il ne cachait pas l’Intérêt qu'il portait à la formule « Aide toi et le ciel t'aidera ».

    Le do it yourself ou version française d'aller au charbon et du « jamais si bien servi que par soi-même ».

     

    La fin d'un État Providence est une bénédiction pour celui qui a décidé d'établir ses propres conditions de réussites dans sa vie.

    Où irons-nous avec le virus ?

    La nature ayant horreur du vide on assiste impuissant à l’émergence d'un système donnant sur un État Régalien.

     

    Faudra t-il choisir, en ces temps de guerre, entre le fait de douter sur ce que nous proposent nos hommes politiques ou accepter que notre pays soit mener de main de fer ?

     

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  • Personnes âgées et usagées, au sujet du corps médical

     

    Ce con, finalement, finement me l’a fait ressentir : « Je suis une personne âgée »

    je sors de ce confinement tout déconfit.

     

    ÂGÉE :

    Qu’est-ce à dire ?:

    Suis-je 

     

             A jet continu car incontinent ( un pays me suffit)

             A jet rotatif par manque de précision (arrosage automatique non contrôlé )

             A ‘’ G’’ comme le poing, si cher à ma Dame ( je passerais sous silence ses réactions lors des découvertes )

             A AGECANONIX ( désormais, habillé du costume qu’il vient de me tailler, je ne m’habillerais plus en “JULES” mais en version Pépère mais pas pervers)

            Ag (symbole chimique de l’argent ( les consultations me sont offertes après de longues, très longues années de cotisations sociales )

           AG comme anesthésie générale ( tout au contraire, j’ai une furieuse envie de lui rentrer dans le lard)

     

    «Il faut vivre avec son temps et vous...vous avez fait votre temps….

    ‘’ Il est temps de passer à autre chose me dit ’’ce toubib ‘’des chèvres.

     

    C’est quoi cette autre chose ?.

    Qu’elle est la prochaine étape ? Terminus tout le monde descend ?

     

    Pour ce carabin aveuglé par le Golden Buzzer du serment d’Hippocrate et nourrit par les perfusions des lobbies pharmaceutiques, que signifie passer à autre chose ?

    Ma chose à moi, c’est « vivre ».

    Je conçois que la fonction primaire d’un médecin n’est pas de vous guérir mais de vous soigner.Nuance, pas de risques de devenir immortel.

     

    .Régulièrement, j’amenais mon corps, viscères y compris, mes humeurs, qu”elles soient bonnes ou mauvaises, pour que ce “conservateur” assure le service après-vente.

    A chaque contrôle technique, je constatais que le prix des pièces de rechange augmentait.

     

    Je le revois, le “gonfleur” à la main, la valise diagnostique auto MS 980 sur la Servante Mobile “FACOM”, entrain d’établir un diagnostique sur le “TACOT” que je suis à ses yeux.

    Il cogite, je l’imagine en salopette bleue, “la gapette” vissée sur la tête, le mégot collé aux lèvres, se grattant l’entre jambes et déclarant : “y’a du boulot… vous êtes de quelle année… et l’argus ?’’

     

    Manque de pot (rien à voir avec le catalytique) j’entends bien et compte bien lui répondre.

    Le moment d’égarement passé, je me range devant son bureau.

    En plus du VIDAL, il a sur son bureau un catalogue des P.F.G et en annexe une notice sur l’utilisation des produits.

     

    « Avez-vous une préférence, bois blanc ou chêne ?…Quelle teinte, claire ou foncée ? Et les poignées …vous avez choisi, chromées ou métal doré ? ».

     

    Serait-il pressé de m’envoyer chez’’ les têtes en os’’, une sorte de ‘’plan blanc ou noir ‘’ décidé par le gouvernement : ‘’débarrassez vous des anciens modèles ‘’

     

    Le cuistre, Il s’adresse à mon épouse que je pressens éplorée… de rire .

    Pour lui la messe est dite, c’est le garage , la mise au rancart, je finirai sur des cales, privé de mes roues sur les rotules.

    Vu l’état du « char », je ne finirais pas chez  frères Schlumpf ni en pièces détachées !

     

    Je quitte cet élégant et fringuant bi-péde, content d’être une personne âgée, alors que lui, n’est pas certain d’y arrivé.

     

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  • Qu'est-ce qui vous rend vraiment heureux ? Croyez-vous réellement en ce que vous faites ou essayez-vous de donner un sens à ce que vous faites ? 

    Jugement qui affirme ou nie l'existence de quelque chose.

     

    Question à un poète :

    - Lorsque l'envie vous prend d'écrire une lettre, faut il obligatoirement qu'elle soit adressée à ELISE ?

    - Moi je l’adresse à l’Élue.

    Question à un Immortel :

    - J’ai écris à Jean d’ Ormesson, je n’ai pas eu de réponse, mon message est resté lettre morte.

    Question à un champion :

    - Qui est l'inventeur de la casserole :

    Un fabriquant de passoire qui a oublié de percer des trous.

     A cela je rajouterais un épisode tragique. Il fit faillite et finit sa vie comme poinçonneur dans le métro, obligé de faire des petits trous, des petits trous de seconde classe....triste fin quand on pense qu'il aurait très bien pu évoluer dans sa carrière et creuser le trou de la Sécurité Sociale.

    Question bête :

    - Les poules étaient sorties, ‘’des cons’’, avaient ouvert la porte.

    Question qui se voudrait pas bête :

    - Si la faim fait sortir le Loup du bois, qui fait sortir le loup Dupond ?(jeu de mots)

    Question de militaire :

    - Qui fait sortir le Loup du rang .(jeu de mots)

    Question de mots :

    - Faut-il adresser à des gens bêtes des mots laids ?

    Question à la ‘’ petite reine’’ (entendez par là le Tour de France )

    - Jeux de mollets pour gambettes

    Question : qu’entendez-vous par là ?

    - Pas grand-chose !

     

    Au restaurant le serveur m’a demandé comment j’avais trouvé mon steak

    - Par hasard en soulevant une frite .

    Au restaurant, j’ai dit au serveur

    - Votre onglet ne risque rien devant un tribunal...Il n’était pas coupable

    Le bel acteur Alfred Villain-Marais, allias Jean MARAIS a eu cette réplique mémorable lors du tournage du film « le Bossu » en s'adressant à Jean Cocteau : Touchez mes bosses Mon Seigneur !

    Cet immense poète s’est vu transformé en basketteur depuis qu’il lui a mis la main au panier.

    La morosité dans le couple : Étonnez moi Benoît, faites moi connaître un endroit que j’ignore et que vous seul vous fréquentez :

    - je lui ai montré la cuisine.

    Pourquoi dit on  lorsque une personne éternue : "Doue da'z pennigo ?

    - Par ce que vous êtes breton et que vous adorez répondre : "hag ar c'hazh a lipo!" .

    Pourquoi cette expression méridionale est un fake : vai t’en cagar a la vinha e porta me la clau ?

    - Chacun sachant pertinemment que les vignes ne sont pas munies de clef

    Pourquoi tu ne continue pas ?

    - par ce que çà me gave ! ( expression entendue à PAU)

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  • Prendre des vessies pour des lanternes

     

     

    La légende raconte qu’autrefois les vessies de porc ou de bœuf étaient séchées pour servir de récipients. Elles pouvaient même être utilisées comme lanternes, grâce à la finesse de leur paroi qui laissait passer la lumière d’une bougie.

    D’autres sources rappellent que, dans l’expression « vendre vessie pour lanterne », le mot lanterne signifierait des « absurdités », des « balivernes ». La vessie ferait alors référence à l’air ou au vent. Selon le sens de ces mots, cela voudrait donc dire « vendre du vent ».

    Quelle que soit la bonne explication, nous pouvons constater que, même au XIIIe siècle, il était d’usage de chercher à prendre son prochain pour un pigeon

    Il y a donc confusion entre « VENDRE »  et « PRENDRE »

    Magnifiques subtilités qui, chez les chapardeurs, vont en ravir plus d’un.

    Et je ne m’étendrais pas plus sur le double sens de « RAVIR » 

    - Prendre, enlever de force.

    -  Transporter au ciel.

    Quelle richesse cette langue française ! Je m’imagine, la nuit, me baladant dans les couloirs de

    mon domicile, tenant mes attributs sexuels de main ferme, et tout comme Diogène et son

    tonneau, chercher mon chemin.

     

     Diogène a tenté d'appliquer le principe d'autarcie (se suffire à soi-même) dans sa vie.

    La pratique de cette autosatisfaction parait-il, rend sourd mais pas mal-voyant.

     

    Croisant un individu troublé par ces pratiques, me verrais-je accusé d’être un exhibitionniste,

    alors que je ne cherchais qu’à trouver mon chemin.

    Et d’abord que ferait un inconnu chez moi, en pleine nuit ? Je vous le demande .

     

    Cette image qui me donne froid dans le dos, ( c’est ma faute, restons couvert) , me réjouit le cœur.

    A ce stade de la pratique consistant à prendre sa vessie pour une lanterne, à chaque fois qu’il va

    uriner, l’homme se brûle les doigts. Jouissif non ?

     

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  • L'ordre est arrivé en fin de soirée. Mobilisation générale, demain « sera » un autre jour pour les optimistes et « serait » un jour nouveau pour les incrédules et septiques.

     

    Tous médias confondus, ils ont couvert la nouvelle affichant à l'unisson ce que leur dictait leur raison :

    Demain était en passe de devenir un autre jour pour les septiques et les incrédules et un jour nouveau pour ceux qui dirigeaient ces médias.

    En effet « la raison du plus fort est toujours la meilleur » surtout lorsque la « Raison » émane d'une seule et même source et ne permet pas la diversité appelée la « Vérité »

     

    Une aube nouvelle éclairerait la naissance d'une ère nouvelle, plus rien ne serait jamais comme avant, c'est à dire comme la veille. 

     

    Haletant comme une jeune mariée, tous attendaient que la grande aiguille de la pendule pousse la petite vers la sortie.

    Nous allions enfin faire du nouveau avec des vieux.

     

    La procrastination avait du bon, se mettre au travail dés le lendemain.

     

    Demain nous allions voir ce que nous allions voir et les plus cons se sentaient des âmes de Vasco de Gamma ou de Christophe Collomb, «  en avant...vent debout...prêt à larguer la grand-voile »....de véritables conquérants Le nouveau monde les attendait à portée de main.

     

    Ordre du jour : demain on rase gratis.

    En filigrane les promesses n'engagent que celles et ceux qui les écoutent.Quant aux porteurs de ces escroqueries morales, ils étaient prêts à tout, même à vous donner la lune.

    Donc, çà y est, dés potron-minet, aux premières lueurs du jour, il était là, devant nous cet espoir tant attendu et porteur de richesses.

     

    En me retournant, sur le sol, j'apercevais un tas de fripes, de souvenirs de la vieille époque que j'avais quittée....quelques heures plutôt, en passe de devenir des antiquités,

     

     

    Ce premier pas a été pour moi un petit pas d'un « en avant » timide mais un grand « retour vers le futur » pour l'humanité.

     

    Mon café avait le même goût, à la radio (que n'ai-je pas dit : poste à transistor ou à galène ) s'époumonait un chanteur qui criait :

    « Non, non, rien n’a changé
    Tout, tout a continué
    Non, non, rien n’a changé
    Tout, tout a continué ».

     

    Dans la « boite à abrutir », l'esclave du jour, ânonnait les 4 vérités qu'un « maillon de chaîne » lui même enchaîné, lui soufflait dans son oreillette.

    Le petit doigt sur la couture du pantalon (expression d'un autre age) il m'assure que le confinement est bien terminé..mais que cette situation va continuer...jusqu'à quand ?

     

    « Mais cela ne nous regarde pas » d’après les Inconnus (artistes d'un autre siècle).

    Faisant écho, un « momifié » de la chanson me conseillait « marche tout droit

    ou tu auras affaire à moi » -Claude François.

     

    Au cours de ce jour nouveau de ma vie nouvelle j'ai essayé de me faire ma propre opinion, en vain.

    Pour résumer cette fausse espérance, j’emploierais ce slogan du siècle passé , service après-vente assuré, et remis au goût du jour par une entreprise mortuaire :

     

    « Mourrez, nous nous occupons du reste »

     

    Je découvrais que « ma vie nouvelle dans un monde nouveau » ne m'appartenait pas.

     

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  • A VOTRE INTENTION

    -o-o-o-o-o-

     

    «À la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents.

    Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage…
    Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train.
    Et elles seront importantes : notre fratrie, nos amis, nos enfants, même l’amour de notre vie.
    Beaucoup démissionneront (même éventuellement l’amour de notre vie), et laisseront un vide plus ou moins grand.
    D’autres seront si discrets qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges.
    Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’aurevoirs et d’adieux.
    Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes.
    On ne sait pas à quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons.
    Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs à ceux qui continueront leur voyage.
    Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.
    Aussi, merci d’être un des passagers de mon train.
    Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous.
    Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train.»

    Texte de Jean d'Ormesson

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  •  

     

     

    Le révolté du Bounty

    Dans nos échanges sur le net nous sommes des amateurs de « glu-causeries ».

    ,.

    Pour les extravertis les échanges sont à base de pâte à tartiner recouverts de miellerie, dégoulinantes de saccharose, de sirop d’érable parfois avec éclats de noix de cajou que nous dégustons comme des Sapajous.

    Nous décortiquons avec volupté ce que l'autre à bien pu dire au travers de ces commentaires....N'aurait-il pas fallut supprimer un soupçon d'Amidon génétiquement modifié pour que ses mots soient plus suaves, n'a t-il pas eu la main lourde en mélasse rendant indigeste notre réponse ?

     

    Pour les  introvertis, c'est le sucre inverti qui est un mélange équimolaire de glucose et de fructose obtenu par hydrolyse du saccharose., qui s'impose.

    Le naturel n'est pas au menu de leurs échanges, ils saupoudrent leurs commentaires de Xylose et de E 967car il faut vivre avec son temps  les sourds sont des « malentendant » et l' aldopentose est du sucre de bouleau.

     

     

    Au Nord et en Europe la betterave sucrière, solidement implantée derrière comme devant, par une ligne Maginot (tours de cuisses, tour de hanches et tour de taille ).

    De l'Amérique Latine et îles du Pacifique,des DOM-TOM débarque la Canne à Sucre et ses sbires : jus de canne, jus de canne évaporé, sucre de canne et Sucarat qui nous sont présentés sous des aspects agréables : cocktails, préparations à la fête et qui sont de mortels amis.

     

    Nous nageons dans le politiquement saccharosé.

     

    J'ai souvent cité Jean Anthelme BRILLAT SAVARIN  gastronome et auteur culinaire français.

    Pour étoffer mes propos, j'ai retenu quelques uns de ses aphorismes.

     

    « Dis-moi ce que tu manges, je te dirai ce que tu es. »

     

    « L'homme devient ce qu'il mange »

     

    L'industrie agro-alimentaire et les lobby, très présents au sein de notre gouvernement nous refait le coup du «  Panem et circenses »  (littéralement «du pain et jeux du cirque », souvent traduite par « Du pain et des jeux »).

    Cette version édulcorée nous englue dans les soit-disant bienfaits des barres chocolatées et énergisantes qui rendent nos ados béats de bien être nous plongeant à notre tour dans des « délices de kapput ».

     

    Ces manipulateurs dans les publicités ciblées réussissent à nous convaincre que le BIO est notre salut.

    Les produits sans gluten comportent des doses faramineuses de farine de riz, d’amidon de maïs, de fécules de pomme de terre ou encore de sirop de glucose .

     

    Ces ingrédients qui font exploser votre taux de sucre dans le sang, avec tous les risques associés : prise de poids, diabète, vieillissement accéléré, etc.

    Les jus de fruits sans sucre ajouté sont aussi redoutables.

    Sans les fibres du fruit entier, le sucre file dans le sang à toute vitesse, ce qui fatigue votre pancréas et peut causer toutes sortes de dommages cellulaires à long terme.

    -Ils contribuent à l’obésité et au diabète, en épuisant votre pancréas.

    -Ils nuisent à votre psychisme (mémoire, humeur, etc.) ;  

    - ils accélèrent le vieillissement et la dégradation générale de vos cellules.  

     

    Je vous ai apporté des bonbons
    Parce que les fleurs c'est périssable;
    Puis les bonbons c'est tellement bon

    Mais revenons à nos « bonbons ».

    je reçois une notification d'untel....elle aiguise ma curiosité et titille mon appétit, car j'ai pour bonne habitude d'être invité à sa table, c'est un gourmet et moi je suis gourmand .

    Je prends tout mon temps pour décortiquer « l’en-cas ».

    L'emballage en premier lieu, le titre peut fournir une idée sur la composition de ce que je vais déguster, le nom (l'auteur)...je me souviens du goût que m'avait laissé une précédente dégustation....

    Il est là, ouvert...je commence à le picorer des yeux : je le déguste..ses propos ne sont pas indigestes, pas d'amertume et un petit goût de « revenez ' y ».

    Je suis accroc, la composition de ses écrits me convient, pas d’aigreurs de lecture.

    Depuis peu, j'étudie, j’écoute et me nourris, triant au passage de mes envies les mets qui me sont proposés.....Je finirais mes propos par cette pensée :

     

     La destinée des nations dépend de la manière dont elles se nourrissent.

     

    A nous de dresser la table et de présenter le menu à nos invités.

     

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  •     Quelques mots qui vous sont adressés, tant qu’il y a encore de la place au rayon 
    « mémoire et souvenirs » de vos cerveaux, les heures qui vont suivre vont être encombrées par bien des pensées, à l’image des jardins envahis d’herbes folles, un tri sévère s’avère nécessaire et salutaire.

        Cette saison passée a été « oh combien” rock n’ roll” pour nous tous.

        Et si vous preniez 5  minutes pour poser le verre que vous avez à la main,

        – 5 secondes pour jeter votre portable par la fenêtre…

        Je dis ça, mais, j’habite au rez-de-chaussée, et mes fenêtres sont équipées de moustiquaires….

        Oui, mettez sur « pause »

        Sortez la tête du tambour de la machine à laver, après ce que vous avez subi, vous n’êtes plus une « poule mouillée », rien ne sert de vous faire essorer,

        Laissez vos sens retrouver leurs esprits, que ce fut dur ce tour de manège, offert par une âme charitable « qui vous voulez absolument que du bien », même gratuit, ce fut cher payé.

        Vous vous retrouvez seul face à Vous, et cet état vous fait peur ?

        Ce geste vous permettrait de faire défiler devant vos yeux, tant de moments décoiffants, même si parfois  on voudrait bien appuyer sur « explose ».

        Il y a eu les départs d’êtres essentiels à notre vie, comment vivre sans eux… show must go on, et salut l’artiste,

        Les arrivées de” gens qui comptent “ tellement, qu’ils vous ont redonné le goût de vivre ou la rage de survivre,

        D’incroyables rencontre fugaces qu’on a pas envie de partager avec l’autre car rien que pour moi”. et puis comment expliquer ce moment étrange et déroutant ? Peut être la rencontre avec une âme sœur, sans chercher à comprendre, la magie de la vie,

         Les promesses faites et impossibles à tenir ” du moins pas pour le moment “ to morrow… quien sabe ?…et puis demain on rase gratis,

         Les bonnes résolutions ” demain j’arrête… d’arrêter “,

         Les instants durant lesquels nous avions la tête baissée, le front bas…… Ah oui. .. pourquoi déjà ? vous savez ce moment merdique où un trou de souris aurait été un grand refuge,

         Les numéros de téléphone qui s’affichent  “Oh encore lui ?” Zut !

         Les ” chéri, as-tu pensé à…,” Ben voyons je ne pense qu’à ça… tu ne vois pas que tu me prends la tête ?

         Les sorties de mêlée « la tête haute, le torse bombé » je suis un cannibale, va y avoir du sport… « je suis un Homme un vrai, un dur un tatoué »,

         Les moments de plomb, « je cherche une source sur le bord du chemin, » de la fraîcheur, quelqu’un qui me tendrait ou tiendrait la main ?

         La petite main qui se tend vers vous « papa, maman.. venez me chercher » ne me laissez pas … c’est trop dur, je suis encore si fragile,

         Les grands moments d’incertitude.. « que dois-je faire et comment bien faire.. pas le droit à l’erreur.. et merde je voudrais bien te voir à ma place monsieur je sais tout »,

         Ce clavier qui ne cliquette plus, les doigts autrefois qui chatouillaient l’azerty sont trop occupés « à penser à un autre ».

         En un mot, notre vie de tous les jours à Nous, gens ordinaires qui vivons des instants extraordinaires.

         Pourquoi nous sentons-nous si différents, et si éloignés des uns et des autres. ?

         Même lutte, même combat, les rangs et les poings serrés nous avançons.

         Il existe une certaine confraternité dans la difficulté, un cercle vertueux dans lequel nous puisons la force : la SOLITUDE….

         Et puis le malheur des autres, pendant un temps, m’a réjoui… et si c’était contagieux ? Alors je préfère l’oubli.

        Quoi qu’il en soit, conservez une petite place pour ceux qui vous ont précédés, l’oubli ne résout pas tout

     

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  • DDans les poulaillers d'acajou,
    Les belles basses-cours à bijoux,
    On entend la conversation
    De la volaille qui fait l'opinion.
    Ils disent :

    Mais comprenez-moi !

    Les esprits s'autoproclamant ''ouverts'' et déjà fermés à toutes sortes d'explications qui ne viendraient pas d'eux, me cloueraient le bec en me propulsant au devant de la scène avec délectation :

     « De l’œuf ou de la poule...qui est né le premier  ? » 

    Bien malin qui saurait le dire...on tourne en rond.

    J'ai déjà entendu une poule caqueter mais de là comprendre le langage des gallinacées ...Et si cela était, qui pourrait prétendre traduire les babillements d'un poussin à la veille de l'éclosion de l’œuf....C'est une histoire... qui n'a ni queue ni tête et de toutes les façons qui finira mal pour les deux intéressés.

    La poule sera mangée et l’œuf sera cassé.

    Quelle triste fin pour une histoire qui avait si bien débutée.

    C'est un destin qui est tué dans l’œuf et c'est ainsi depuis la nuit des temps, une histoire sans fin.

    Quoique la faim aurait pu être un motif valable à l'éclosion de cette histoire.

    Au sujet de cette hypothèse, vous ne m’enlèverez pas de l'idée qu'il il a bien fallu un début à une histoire sans fin.

    Le principal intérêt dans une histoire, c'est bien l'aboutissement de cette dernière, c'est ce qui fait son intérêt.

    Le début on s'en fout, c'est le passé

    Ce qui est intéressant, c'est l avenir de ce présent.

    Pourtant il faut bien un commencement à une histoire pour que la fin existe.

    Vous conviendrez que le fin mot de cette histoire en n'est qu'à ses débuts, ce qui est logique et que sans le mot fin cette histoire n'aurait ni queue ni tête, nous tournerions en rond.

    En parlant de tourner, j'irais droit au but et ne tournerai pas autour du pot.....Le risque de sortir des sentiers battus de l'expression littéraire existe c’est ''le tête à queue '', l’accident d'écriture, l'imprévu qui arrive sans crier gare, au cours d'un trajet que l écrivain effectue d'un livre à un autre ….c'est l'accident de parcours.

    Attention à la casse dans ce cas...Quoique on ne fasse pas d'omelette sans casser d’œufs...et la logique voudrait qu'à la suite d'un tel accident les écrivains fassent parler d'eux...où d’œufs ? 

    Dans ce dernier cas je ne trouve pas logique que l’œuf soit le seul à être sacrifié.....je ne me sent pas pourtant l'âme d'une mère poule et encore moins celle d'un ''papa poule''.

    Les symboles de l’œuf ne vous font-ils pas songer à la naissance , à la création, au big-bang ?

    alors.....avant cet œuf qui avait-il et d'où venait-il ?



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  •  

     

    Qu'ils soient théoriques, géopolitiques, héroïques, chiatiques ou merdiques, les dominos ont depuis toujours provoqué un effet extatique sauf quand tout se complique...et c'est bien là qu'est le hic

    Et si en plus, un con de papillon d'un battement d'aile,fait tomber une série de dominos.( effet papillon + domino ) c'est le bouquet !

    Même si son origine n'est pas unanime, il est au moins une certitude que la genèse du domino remonte au 12e siècle et a selon la plus forte probabilité la Chine comme pays d'origine

    . Les Chinois se seraient inspirés de leur jeu traditionnel qu'est le mah-jong. Ils auraient utilisé des dés indiens qui servaient autrefois au Chaturanga (l'un des ancêtres du jeu d'échecs) pour concevoir le domino.

     

    L'effet domino est une réaction en chaîne qui peut se produire lorsqu'un changement mineur provoque un changement comparable à proximité, qui provoquera un autre changement similaire, et ainsi de suite au cours d'une séquence linéaire.

     

    Laissez donc la Chine dormir, car « lorsque la Chine s'éveillera le monde entier tremblera». Prédiction prononcée, dit-on, par Napoléon en 1816 : renouvelée que le XIXe siècle ne craindra pas d'appeler « péril jaune ». 

    Un ouvrage d'Alain Peyrefitte paru en 1973 prévoyait le réveil de l'Empire Chinois.(et non pas de prédilections dignes de Mme IRMA...).

     

    La CHINE on connaît. Ses habitants avait un Grand Timonier qui leur a fait faire un trekking de dingues «  la Longue Marche », à la place d'un G.P.S susurrait par une Mandchoue qui n'a qu'un projet vous faire marcher à la baguette, le « Mao qui sait tout » avait édité un guide touristique étoilé « le petit livre rouge », le guide Bibendum à coté, c'était pour les cantines scolaires.

    C'était comme qui dirait du « boot camp » et les « gentils-Membres » de TRIGANO auraient fait figure de nains de jardins comparés aux gardes rouges.

     

    Sacré Run, Il y a eu de la casse : 7 000 survivants (sur les 100 000 hommes que comptait initialement l’Armée rouge) parviendront à trouver refuge.

     

    On est loin des statistiques de perte de la Grande Muette. (petit rappel pour vous souvenir qu'une statistique plus ou moins farfelue accordait un « droit de perte de soldat » estimé à 1%, dans l'Armée Française).

    Mais peut on faire une omelette sans casser des œufs ?

    Je me souviens d'une scène de la 317 éme section, (un film réalisé par Pierre Schoendoerffer avec Jacques Perrin, Bruno Cremer.,) scène métaphore durant laquelle 2 Vietcongs cassent un œuf en précisant que seul est conservé le « Jaune » et que le « Blanc » s'en va..... la cuisine asiatique, elle, est venue jusqu'à nous.

    Revenons à ces moutons de Panurge :Panurge綿羊( en Chinois traditionnel ) ou si vous préférez : Panurge绵羊(en langue simplifiée ).

     

    Pas fou le ZEDONG (nom patronymique du Camarade Timonier ) il laisse la population exprimer ses problèmes ; il décidera ensuite s'il faut réprimer ou réformer...avec une nette préférence pour réformer par la répression. (Tac-tic du Presse-Citron ou Politique à MACRON)

     

    Fort de ce succès « les G.O C : Gentils Organisateurs Chinois, réussiront à convaincre les rescapés du Trekking d'enfiler un uniforme interdisant tous signes extérieurs de richesses, et à faire pétarader les Golfettes (ou voiturette de golf ) sur la place Tian'anmen au beau milieu de Pékinois de PEKIN.

    Les Écologistes (si, si je vous assure ils existent ) crieront au scandale!

    La couleur des chars (c'est le nom donné par les Québécois à ce modèle de véhicule ) ne se marie pas avec le décorum....

     

    « Scandale, Ignominie » crieront les journalistes étrangers...et l'écologie alors ? ».

     

     Le gouvernement expulse les journalistes étrangers et contrôle strictement la couverture de l’événement par la presse chinoise.

    À l'étranger, la répression provoque une réaction forte de la part du gouvernement de la FRANCE .

    En réaction, « Nous les français, nous n'accepterons plus d'être livré par des pousse-pousse (黄包车 ou si vous préférez Huángbāochē ) mais exigeons d'être envahis par des porte-containers !».

    Voila une vive réaction du Grand Patronat digne de nos valeurs d'un pays Libre qui a tant et tant à enseigner aux autres.

    Tout n'est pas perdu fors l'Honneur !

     

    Et ces braves Chinois nous inondent de leurs merdes, par cargos entiers, tout en préparant une livraison de 黄包车(ou pousse-pousse si vous voulez) pour que nos chômeurs puissent effectuer les livraisons, sous les yeux « narquois-bridés » des nouveaux propriétaires des vins de FRANCE …. on ne boit pas d’alcool au travail.......pédale feignasse !

     

    Alors bruissements d'ailes, effet Domino ?.. Quand un nouveau soubresaut nous fera tressaillir comme la Grippe Asiatique ou ..comme un virus ?

     

     

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  • Je m'adresse à Vous, amateurs de plaisirs de la vie.

    Ces derniers passent en premier par la connaissance des vins et la défense des Femmes (s'il en était besoin !)

    Lire la suite...

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  • Lycanthropie...non troppo

    C'est en m'adressant à mon ange gardien, qu'une idée aussi saute que bienvenue m'est apparue et a fait son petit bonhomme de chemin.

    Habituée par mes écarts et autres dérapages littéraires, elle sait que derriére mes textes à l'emporte pièce, se tient un artisan malhabile qui bâti sa vie avec les pierres rencontrées sur son chemin, que le destin dans sa bonté a bien voulu déposer.

    Qu'allait il en faire ?

    Les envoyer sous les roues d'un carrosse passant, histoire de faire hoqueter ses passagers.

    Les lancer à la marrée-chaussée qui passe, mais çà c'est déjà fait.

    Les offrir en souvenir d'un regard fugace et plein de venin à son voisin « tiens ta face »...et l'effet boomerang , y as tu songé ?

    Ou bien ramasser avec convoitise ce bout de terre sur lequel d'autres avant lui ont bâti leur église, et commencer à édifier ce chef d'oeuvre tant espérer.

    Et c'est avec gratitude que je ne remercierais jamais assez toutes celles et ceux qui m'ont jeté la pierre pour me faire détaller et connaître en pressant le pas cet « avenir fraternel » que je ne connaissais pas. Je veux bien déraper, mais partager...vous me suivez ?

    Qu'il a un foutu caractère ce Loup ! Un vrai caractère de chien.

    Et c'est là qu'intervient ce fameux phénomène de lycanthropie.

    Lycanthropie désigne la transformation d'un homme en loup. Il peut s'agir : D'un lycanthrope, humain partiellement ou totalement transformé en loup dans les légendes et le folklore, plus connu en français sous le nom de loup-garou.

    Et dans l'autre sens, y avez-vous songé ?

    Lorsque j'ai endossé la personnalité du Loup, je l'ai choisie « ALPHA »Pourquoi ? Certainement à cause d'un léger voile mystérieux et de l'empathie des dames pour cet animal....notez bien que le « i'm a poor lonesome cowboy » n'est pas mal du tout.

    David Mech, inventeur du concept de « loup alpha » dans les années 1970 publie cette révélation :

    « Le terme d’Alpha n’est pas vraiment correct pour décrire la plupart des meneurs de meutes de loups, parce que le terme implique que les loups se soient battus et se soient affrontés de façon virulente pour prendre la tête de la meute. »

    « Errare humanum est, perseverare diabolicum » « L'erreur est humaine, l'entêtement [dans cette erreur] est diabolique ». Elle est parfois attribuée à ce mec Lucius Annaeus Seneca  philosophe, le même qui naguère déclarait : « l'Homme est un animal propre et délicat, par nature »...bon....il a le droit de se tromper !

     

    Quant au Loupzen que je suis, j'aurais déclaré, lors de crises aiguës pendant lesquelles je me prends pour PHILIPPE X

    « Monter me fut facile, rester en place, je le suis en étant habile, mais redescendre s’avéra très difficile » .

    De ce changement de positions, naquit une interrogation :

    « l'ai je bien descendu » rappelant ainsi par défi mais sans trop y croire la descente d'un escalier redoutée par les artistes .Lors de la première de la revue Vive Paris, en 1933, au Casino de Paris, Cécile Sorel, dans le rôle de Célimène, après avoir descendu avec succès le grand escalier, apostropha Mistinguett, placée à l’avant-scène.

    Un célèbre Laurent à la télé qui parodiait un Jacques, alors Ministre d'une culture aux « beurs » lui aurait fait prononcer :  « ce vieux Loup..quel bel homme » mais c'est aller top visite en besogne.

    C'est accréditer sans vergogne cette thèse comme quoi l'Homme est parfois un Loup pour l'Homme..ce qui n'est pas très reluisant pour le Canis Lupus» c'est chier non ?















     

     

     

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  •    Sur la planète atlas, un vieux et « suspicionneux » Leu, planqué dans un fourré comme l’est un vilain préposé à l’abri de son guichet, faisait le guet.

       Messire avait sur le côté la tête penchée et pensait que cette posture le ferait comparer aux impostures de chez Madame Arthur., c’est pour cela qu’il se dissimulait dans un buisson, à l’abri des coups fourrés et des quolibets, craignant d’être pris pour un gay.

       Atteint d’une neurapraxie cervicale avec quadriplégie transitoire, il avait du mal à tourner sa tête de Loup et compter sur la venue du docteur Bombay pour le débarrasser de cette fâcheuse posture.

       Farfelu à souhait, cet éminent déboussolé de la série télévisée : « Bewiched » était un spécialiste du remède pire que le mal.
    Rusé, déjanté et abusant de formules magiques inappropriées, c’est par le rire qu’il réussit à nous soigner et à travers les âges, nous transporter.

       Renard était son nom de baptême en langage qui plaît au Loup de Bohème. Fox, il fut ainsi nommé par les sujets de sa très malgracieuse majesté.

       L’oeil rivé sur la route, il vit passer un gamin à l’allure chaloupée, venant d’une banlieue surpeuplée, il ne survivait qu’en échangeant sa vie contre des heures passées à recevoir l’éducation d’un Grand Frère qui lui enseignait comment être dans la misère.

       Râpant, inculte, de ses mains couvertes de honte, il battait la mesure d’un air de son idole « Kelkon -je suis » au point de crier, « z y va bouffon, fait péter ta beuh » à la vue d’un ovis aries qui paissait.
       Le Loup pas surpris de sa réaction, souhaitant vivement que Bombay par sa présence explique à ce trublion que tous les crétins ne sont pas des Alpes, lui dit :

       « Oh, petit, allez, dessine-moi un mouton ».

       Le Chouffe surpris de cette intervention, niquant la police, et tout ce qui porte raison, taré par des drogues consommées, lui jeta à la figure « Ducon, c’est un méchoui qui me regarde passer ».

       Incompréhension totale de la part de ce pauvre petit qui n’eut ni père ni mère patrie, que la planète de France voulait enfermer dans une salle de classe pour y être lobotomisé, l’obligeant à saluer un drapeau que des crétins avaient jusqu’à leur mort défendu, ils appelaient cela « le lever des couleurs », rappelant ainsi que pour défendre certaines valeurs, ils étaient mort au champ d’honneur. Lui sa vie ne comptait pas pour un beur.

       Arrivant sur cet  entre faits BOMBAY sentant que le Loup allait démantibuler ce rebeu en manque de savoir, par la magie dont il avait le secret l’envoya à son tour paître dans le bestiaire d’un Christian qui ne saura qu’en faire.

       Ce prince qu’on sort de son bestiaire lorsque le besoin s’en fait sentir, se fit une joie d’accueillir une nouvelle espèce de « tête à claques ». Dorénavant à cet enfant de l’Islam, il donnerait le rôle de gardien de la Tradition, l’écoutant crier du haut de son minaret à l’approche d’une femme conduisant une bicyclette à la roue avant voilée.

       Dans notre univers, notre petit monde clos, tous les êtres vivants sont liés entre eux  par une communauté, faite d’amitié et de bon arrangement, de sagesse et d’esprit de justice, et c’est la raison pour laquelle, à cet univers, ils donnent, le nom de cosmos, ou d’arrangement, et non celui de dérangement, non plus que de dérèglement

     

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  • Les fâcheux de tous poils m'insupportent et me font hérisser la pelisse.
    C'est plus fort que moi, il faut que je plante mes crocs dans la partie charnue de leur anatomie histoire de leur rappeler que je n'aime pas les cons.
    Je ne vous demande pas pardon pour cet excès... C'est dans ma nature. Je n'y peux rien, il faut que je gueule !
    Si l'excès en tout est un défaut et qu'il soit banni pour devenir le politiquement correcte, la normalité me fait sombrer dans la mélancolie et la léthargie.

     Il fallait bien qu'un jour à ne plus pouvoir dormir, une charmante princesse pose sur mes lèvres un baiser à réveiller un mort en chantant « non Sire Le Loup n'est pas mort, car il en demande encore. »

    Je suis un hybride à qui on aurait lâché la bride, débridé, je carbure aux supers.
    Superlatif quand j'aime, j'ai l'encensoir prolixe qui virevolte, quitte en faire de trop, mais quand on aime, on ne compte pas.


    Super laxatif, les gens dits normaux m'emmerdent à voir leurs airs constipés de ne pas avoir pu aller. Je suis pour la chasse...pourvu que je puisse la tirer après le passage d'un Intelligent qui utilise une diarrhée verbale pour se faire entendre.


    « Supercalifragilisticexpidélilicieux » , j'aime les bons mots, les beaux, pas les gros, mais ceux qui font pencher ma tête de Loup vers les rimailleurs de chez Molière, histoire de dépoussiérer le langage de la mère patrie, partie je ne sais où, faire ses noces avec quelques rappeurs aux rimes atroces.


    « L'humour est le sucre qui aide la médecine à couler » comme le dit Mary Poppins. Un rien épicé pour ne pas dire féroce, je suis en cuisine encore précoce et j'apprends à concocter mes textes, ne sachant pas encore pas tout doser à bon escient pour qu'ils vous soient servis attrayants.


    J'ai du Rostand dans le sang ? Ami de Scaramouche, il faut qu'à la fin de mes envois, comme l'aurait fait Cartouche, je prenne la mouche.

    Il faut que ça bouge, que ça ricoche, que les idées fusent et mises en verve, c'est du RUGIERI au soir du 14 juillet qui vous est servi. J'ai choisi et j'assume mes états d'âme..... Je suis un pyromane des sens, mais de grâce « n'allumez pas le vieux ».


    j'aime la grandiloquence dans l' éloquence . S'il m'est reproché mon emphase en écriture, c'est que j'accepte la bouffissure de mes mots et que le naturel, je le chasse au galop, la simplicité aux simplets et l'hyperbole pourvu que j'en rigole.

    La FRANCE, pays de mon enfance s'est habillée en jaune faute de vert, elle passe au rouge, non plus celui tache, nous buvons trop parait-il, mais celui qui fâche.
    Le marchand de couleurs sensé en redonner à notre pays s'est transformé en marchand de chansons, on connaît la musique, son action ne restera pas gravée dans les mémoires, mais dans les Macron-sillons.
    Pour que le VERT de l'écologie règne enfin dans ce pays, il aura fallu prendre en compte la présence des JAUNES et des BLEUS. En prenant bien toutes nos précautions, le Bleu déteint lorsqu'on se frotte à lui, au risque de prendre des bleus au corps et à l'âme.

    Une âme malsaine dans un corps d'assassin. Je le confesse la fesse est ma faiblesse. Pas celle des gonzesses, non celle qui fait du bien quand je suis dessus.
    Les sièges modernes étant ce qu'ils sont, à interroger mon caleçon cela ne va plus être très long à ressentir la douleur d'une vertèbre qui s’affaisse .


    En tant que chef d'équipe, j'ai beau crier « holà" debout ! On se relève » « on ne laisse pas un équipier à terre au retour d'une mission »  ,comme à l'armée, mais rien n'y fait, dans mon pantalon, c'est pareil à la légion, c'est « marche ou crève ».... Çà ne sent pas bon à ce niveau de l'histoire.

     
    Un rapport d'opération me le confirme : «  C"'est le bordel mon adjudant...Y' a la L 4 et la L 5 qui manquent au rapport » Désertion face à la mission ou grain de sable dans la machinerie ?
    Joker mon cher Jean Pierre ! (oui, il s'agissait du fameux colonel Jean-Pierre chef de guerre prestigieux au 1 er R.E.P ) Je téléphone à un ami, le non moins fumeux docteur Bombay de la série « ma wife est une sorcière »   ce qui n'est un secret pour personne , mais lui demander de fourrer son nez vibrant dans mes quartiers privés ne m'enchante guère, on a sa pudeur nous les hommes.
    BOMBAY l'a dit, le LOUP l'a fait : « "Il n'y a que debout que l'on voit si l'homme est grand . »
    Ce qui fut dit fut fait, sans futilités, mais enchanté avec habilité…..

     «Debout les coincés des vertèbres, debout les forçats du coup de reins....c'est la lutte matinale, groupons nous est demain, j'aurais bien besoin d'un grand coup de main... » C'est du

    «  So parano » de « the voice of Arnica Montana » comprendra celui qui use de l'homéopathie.

     

    Après négociations et accords de principe sur la durée du temps de repos, le « petit chose et les deux orphelines » sont en plein spleen Beaudelérien.

    Il désigne une profonde tristesse née du mal de vivre et à s'exprimer. Avec l'age pourtant ce bouquet de fleurs qui n' a pas de mal à me faire du bien réveille le désir d'atteindre son idéal, celui de la femme qui me fut fatale.

    Jolie balade de santé qui fut « celle des dames du temps jadis », les souvenirs se font la paire, il vaut mieux être deux pour pouvoir en parler, mais en l’absence d'un tiers, il est préférable de se taire, les absents ont presque toujours tors. Je ne vociférais pas sur mes erreurs passées, je ne vais quand même pas me tirer une balle dans le pieds, quoiqu'il serait justice que mes ex. me punissent !

    Oh et puis zut ! Qu'on en finisse, fautes avouées sont à moitié pardonnées

    « elles furent la flèche et moi la cible ».

     

     



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  • "Chacun fait, ce qu'il lui plaît" était-il en train de fredonner lorsque une pelle en forme de main pleine de doigts coupa court à ses illusions.

    Comment imaginer en voyant ce vol de phalanges, que la paix aller continuer ?

    Sa vie venait de basculer vers un monde de pièces détachées, comment était-ce arrivé ?

    Lui qui hier encore sous les mains d'une femme se laisser changer la pile, caresser les boutons pour donner le change d'un rêve d'une nuit d'été, il ronronnait amoureusement sur la table de nuit, assurant sans coup faire rire sa mission tel un bon petit soldat.

    Qui aurait pu croire en cet instant de gloire alors que de toutes ses forces, il lançait un vibrant hommage à la Belle prés de lui alanguie, par un choc terrible, il serait mis" out" hors d'état de servir ?

                                           Je hais les réveils de quelles natures qu'ils soient, surtout ceux en fanfare.

    J'ai des souvenirs de ces matins frileux alors que la maisonnée frissonnait sous des édredons aplatis, ce" méchant réveil " prenait du plaisir à me dire "il est l'heure mon seigneur, l'heure de se lever " et ici pas question d'or ni de folie des grandeurs, mais de bois à couper et de feu à allumer.

    La veille, le feu avait été préparé suivant un rituel : petit bois sec en quantité suffisante et une épaisse couche de "schlamm ".

    En utiliser était un signe extérieur de pauvreté. Mon père faisait "entrer des sacs de charbon" pour chauffer la masure durant les mois d'hiver.

    Vu le prix, la qualité était mauvaise, les boulets se mettaient en miettes et en poussière.

    Nous mélangions cette poussière à de l'eau pour constituer une pâte qui, une fois versée sur le feu, se mettait à rougeoyer et à se consumer lentement garantissant la chaleur toute la journée.

    Les oiseaux aimaient cette saison, car, grâce aux fentes et lézardes des murs, la chaleur s'échappait et allait chauffer les petites pattes des piafs.

    Je me suis souvent posé la question : faut-il empêcher la chaleur de sortir ou le froid d'entrer.

    J'avais du mal à ingurgiter le "café chaussette", !je devais surveiller le feu, m'asperger d'eau glacée, m'habiller pour aller "parcourir le monde " et en fin de quinzaine reverser 50 pour-cent de mes gains à mon logeur : mon père.


    Combien de fois ai-je juré que " jamais plus jamais" je n'obéirais à un tas de ferraille et de plastique monté sur un ressort. 

                                                            Je hais les réveils sous quelques formes qu'ils soient.

    Plus tard, enfin libéré de la présence de ce moderne coucou, je pratiquais un mode vie semblable à cet oiseau de malheur.

    J'optais pour le mode de vie sentimentale du Cuculus canorus.

    Dans ses relations amoureuses, ce Cuculidé profite de l'absence du mâle pour venir occuper le nid laissé libre et se taper "madame oiseau. "

    C'est cette fâcheuse attitude qui m'a valu de rencontrer à nouveau ce foutu réveil qui, par vengeance, un matin m'a joué un sacré tour.

    J'étais volage et je volais de volières en nids d'amour, serinant des mots et des toujours à de belles emplumées, qui pour un instant, se trouvaient en manque de coups de bec.

    Mais en pleine nuit, l'odieux mécanisme se mettait à sonner, indiquant au jeune coq écervelé que j'étais, qu'il était grand temps de prendre son envol et c'est à tire d'ailes que je laissais la belle endormie pour qu'elle roucoule entre les bras de son mari.

    Un petit matin, la pendulette s'arrêta net. Je reste persuadé qu'elle le fit exprès pour venger tous ses frères que j'avais démantibulé.

    L'affaire fit grand bruit et c'est par la fenêtre entrouverte que je me suis enfui, laissant à l'oiseau légitime, mon costume de plumes abandonné. C'est en tenue de" faisan déplumé"que dans le jardin, je me suis re trouvé en compagnie de plombs pour le petit-déjeuner

                                         Je déteste les réveils qui me sortent du lit sans que j'en sois averti.

    La faim me tenaillait l'esprit et je décidai pour ne plus avoir à la subir d'aller travailler, certain que les heures passées à ne pas dormir m'apporteraient de quoi mettre du beurre sur mon pain rassi.

    Je pratiquai " le dormir moins pour travailler plus". Mettant à profit cette recette depuis qu'un beau matin, on avait fait croire que l'avenir appartenait à ceux qui se levaient tôt, je rejoignais le peuple de la nuit, celui des insomniaques, des amours interdits au grand jour,

    Travailler plus pour dormir moins fut une triste réalité,

    Pléonasme : réveil matin. Je n'avais jusqu'alors jamais entendu parler d'un réveil du soir. 

    Pourtant le seul mécanisme avec qui j'avais eu une conversation, était "l'horloge parlante". Il est vrai qu'elle manquait de conversation, mais cela me convenait.

    Tout comme moi, elle ne brillait pas par son intelligence, ses connaissances en arithmétique se limitaient à compter jusqu'à trois : ""au troisième top, il sera exactement... "l'heure de se lever.

                                      Je déteste que quelqu'un m'adresse la parole à mon lever, surtout si c'est une horloge parlante.

    Enfin assagi, au fil des années, les grincements des caravanes voisines m'ont servi de réveil matin.

    Elles se balançaient au rythme du vent, à la préparation du repas matinale des enfants, à la fougue d'un mari trouvant sa compagne "trop joli "pour rester endormie, à la visite matinale au cri de " "Gendarmerie ouvrez", il était l'heure de l'ami Ricoré... Qui n'arrive pas toujours au bon moment.

                                    Je déteste les réveils durant les heures légales, surtout ceux qui ne me sont pas destinés..

    Je rejoins Georges BRASSENS et je me glorifie d'avoir mauvaise réputation :

    Le jour du Quatorze Juillet
    Je reste dans mon lit douillet
    La musique qui marche au pas
    Cela ne me regarde pas
    Je ne fais pourtant de tort à personne
    En n'écoutant pas le clairon qui sonne "

    Mauvaise réputation ou mauvaise audition ?

    Aller savoir, il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre...surtout à mon age, quand ce con de réveil sonne.



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  • Depuis la nuit des temps, le 10 est la veille du 11. Même en Novembre cette règle est respectée.

    Le hasard du calendrier a voulu que la St LEON précède l’Armistice de la Grande Guerre.

     

    Je n'ai pu résister au plaisir de jouer sur les sons en ce qui concerne les « ON ».

    En cette veille de commémoration d'armistice, je vous pose la question :

    Et si nous instaurions ce jour " la journée des ON"

    A compter de ce jour nous déclarons comme aphorisme :

    « Quand ON sait ce que ON sait, que ON voit ce que ON voit et que ON entend ce que ON entend..ON a raison de penser ce que ON pense »

    LA GENESE .

    Bien que peu de textes signalent leurs présences officiellement sur terre, les premiers pas des ON  remontent à cette histoire ou une femme a croqué la pomme.

    En ces temps anciens croquer la pomme ce n' était pas de la tarte, un serpent témoin de la scène aurait dit : «« Je t'ai bien eu ...pauvre ON. ».

    La Femme soulevant une paupière en signe d'interrogation et une feuille de vigne en signe de confirmation interjeta : « je ne suis pas à ce point ON mais the One ».

    Dés lors, la femme eut droit au chat pitre et exigea l'égalité des sexes. (je fais allusion à un félidé mariole, les parties privées de la femme sont comparées à un chas que l'homme a parfois des difficultés à enfiler )



    DES EXEMPLES :

    Il y' a plus de ON que vous le pensez sur cette terre et chaque jour passé nous amène à nous confronter à des bandes de ON .

    Leur présence est parfois réconfortante. N'avez vous jamais entendu un ami s'écrier sur un ton de forte  sympathie : «  Ah le brave ON !». 

    Dans la vie courante, dans le cadre de vos activités professionnelles et surtout en politique les ON sont là, partout, nous nous sentons bien seuls.

    Parfois les autres nous confondent et nous assimilent aux ON Il faut alors se faire violence et déclarer :   « vous ne me prendriez pas pour un ON ...des fois ? » ....à défaut de toujours.

    Car, à être un pris pour un ON, il est préférable de revendiquer son appartenance pleine et volontaire en toute légitimité: «"je ne suis pas la moitié d'un ON "et à  "ON ...ON et demi".

    DES PERSONNAGES :

    Dans le passé, ce brave COLUCHE nous expliquait que de toutes les façons nous serons toujours le" ON d'un autre  ".

    Un poète de race a chanté les louanges au roi des ON. Ce Georges nommé BRASSENS a tout compris sur cet étrange phénomène....je vous recommande le texte, vous allez découvrir que nous sommes tous un jour ou l'autre amenés à devenir des ON  bien sympathiques....

    Et que dire de ce preux chevalier, ce Mata Harri qui aura fait tourner bien des têtes :

    En effet Charles-Geneviève-Louis-Auguste-André-Timothée d'Éon de Beaumont, est parfois identifié comme étant le  :  Chevalier des ON.

     

    MALEDICTION :

    Ce pauvre '' ON ''depuis le début des temps est chargé de toutes les intentions bonnes ou mauvaises, il véhicule à son insu tous les péchés de la création sans jamais pouvoir faire état de son identité....Il est condamné à garder l'anonymat sur ses sources d'information secrètes, bien au chaud dans la noirceur de nos mauvaises intentions.

    Et lorsque le but est atteint, se dresse devant les nouveaux bénéficiaires de cette appellation Oh combien méritée pour certains, une foule de jaloux ou de déçus de ne pas avoir pu....et qui chassent la sorcière aux cris de « MORT AU ON »

    DISCRETION :

    '' ON '' m'a dit que..." car un jour, un muet à dit à un sourd qu’un aveugle le regardait…"

    '' ON ''ne prête qu'aux riches et les pauvres '' ON '' alors ils ont droit à quoi ?

    ''ON'' sait tout sur tous... la preuve : '' ON'' sait qu'un homme va dire quelque chose d'intelligent quand il commence sa phrase par : 'ma femme m'a dit que '' 

    Les ''ON'' courent partout dans les rues, il n' y' a que les imbéciles qui les ramassent .

    Tout porte à croire que la tache n'est pas si aisée que cela puisse paraître et qu'il se trouve une forte résistance à cet engouement à devenir un  ON.

    Au cours des siècles, les «  ON » se sont adaptés, prouvant ainsi qu'ils n'étaient pas si « ON »que çà.

    Comme depuis ma plus tendre enfance, j'aime jouer « au ON », il m'a été facile d'en connaître des célèbres.

    LEON de BRUXELLES ; Chef prestigieux d'une lignée de cuisiniers qui bien qu’ayant la pèche, ont préféré avoir la patate.

    LEON le Nettoyeur : a de réelles fonctions de Monsieur PROPRE au sein des gouvernements.

    LEON roi de BAYONNE roi des COUILLONS : la controverse existe, il n'est pas prêt d'être renversé

    LEON ZITRONE : chroniqueur télé des années passées a eu son heure de gloire .

    Le onze en verlan : ze Léon

    En toute honneur :

    le ONZE de FRANCE : They are les Champions...du ballon rond

    le ONZE NOVEMBRE : appelé aussi dans les banlieues : le 11/11 ou le 22 vla les Bleus.(la couleur Bleue Horizon n'ayant aucun rapport.

    Celle de nos POILUS était signe d'avenir, celles des BARBUS des banlieues est la couleur de l'intégrisme.

    Les ONZE de la REVOLUTION :tableau des Onze où est représenté  le Comité de salut public qui, en 1794, instaura le gouvernement révolutionnaire de l’an II et la politique dite de Terreur.

    Les Onze d'Athènes étaient un collège de magistrats spécialement institué à Athènes pour la poursuite, le jugement, l'incarcération et / ou l'exécution des malfaiteurs.

    Comme il me manquait onze heures pour terminer cet article, je vous communique un site sur lequel vous pourrez découvrir le chiffre ONZE et ses implications dans notre vie :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/11_(nombre)

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  •  

    Ces derniers temps la notion de silence est présente sur un bon nombre de post.

    Que ce soit le sujet d'articles ou du contenu des réponses, voir des commentaires c'est extraordinaire que dés que le mot SILENCE est prononcé, les bruits venant des contestataires se fassent entendre. Quel heureux vacarme !



              Silence on tourne....

    A l'idée que « dans le cochon tout est bon » une vague de dénonciations touchant à aérer le monde nauséabond du showbiz(...comme ils disent ) à déferlé dans les tabloïds, dénonçant le passage des fourches caudines pour les starlettes en mal de projections cinématographiques.

    Dans cette fange se sont vautrés jeunes filles, jeunes hommes qui ont balancé un porc pour certaines ou un vieux cochons pour d'autres.

              Méa culpa..ne m'...pas

    Bien à l’abri dans nos institutions, les mains jointes, à genoux et les yeux baissés...messieurs les anglais ont tiré les premiers......dans le sens qu'ils ont tiré les plus jeunes....je ne voudrais pas vous choquer mais c'est sur les jeunes garçons qu'au Royaume-Uni, 21 membres du clergé sont condamnés entre 1995 et 1999 .

    La verte Irlande n'a pas échappé aux actions salaces des religieux qui enfermaient les enfants dans des institutions pour mieux les avoir sous la main...si j'ose dire : Plus de cent prêtres et membres d'ordres religieux ont été accusés d'abus sexuels contre des enfants depuis 1940. 350 victimes ont été identifiées, une quarantaine d'autres personnes ayant peut-être aussi subi des abus. 105 procès civils ont été intentés.

    Bien que protégés par la Sainte Jeanne d'Arc, nos chères têtes blondes ont elles aussi a subir la loi des plus forts...à genoux les petits enfants.....ce n'est plus un bouquet de roses que j'offre à ces enfants de Marie ( péjoratif ) mais la Gerbe !

    - - La-Croix.com, « Mgr Luc Ravel : « Se taire pour protéger l’Église est une erreur théologique » » [archive], sur La Croix, 10 septembre 2018.

     

              La grande muette

    En voilà une qui ne dit rien...mais qui en ne pense pas moins :

    Au début de la Troisième République française, les citoyens durant leur service militaire, et les officiers n'ont pas le droit de vote, en raison de la défiance des républicains envers l'armée. D'où son surnom de « grande muette ».

    Harcèlement moral et le harcèlement sexuel à l'encontre des femmes soldats au sein de l'institution militaire Jean-Yves Le Drian à réagir en promettant l'ouverture d'une enquête interne en 2014.

    Au moins 14 militaires français, mais aussi tchadiens et guinéens seraient suspectés de viols sur mineurs en Centrafrique, un scandale qui fait trembler l'Armée française jusqu'au plus haut sommet de l'État.

    Les attaques d'Emmanuel Macron contre le général Pierre de Villiers ne passent décidément pas. Dans une lettre ouverte au président que Capital reproduit ci-dessous, 15 hauts gradés de l'armée ayant quitté le service - dont cinq généraux - clament leur soutien à l'ancien chef d’État-major et témoignent de leur "blessure profonde".



               "Un ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne !"

     

    Le 22 mars 1983, Jean-Pierre Chevènement démissionna de son poste de ministre de la Recherche et de la Technologie pour manifester son désaccord avec la politique suivie par le gouvernement, jugée trop libérale sur le plan économique. Il justifia ce geste – rare dans l’histoire de la République il choisit donc de démissionner. Il fit son retour au gouvernement entre 1984 et 1986

              Pauvre Martin

    ..Et quand la mort lui a fait signe de labourer son dernier champ.....Et s'y étendit sans rien dire
    Pour ne pas déranger les gens... ... »

    BRASSENS ou le silence du monde paysan

     Tous les deux jours, un paysan se donne la mort en France. Les causes du mal sont économiques, bien sûr, mais tout autant morales et culturelles.

    Merci aux banques qui étranglent le cultivateur, les multinationales qui favorisent la « Bruxellose » en référence aux P.A.C.S qui favorisent la mort des « petits paysans » richesse de notre pays,

    En raison du Brexit et du manque à gagner budgétaire qu’il entraînera, les dotations vont baisser. Et la Commission souhaite décentraliser la PAC, au risque de créer une concurrence entre États membres.

    Je porte un toast de ROUNDUP à la santé des participants silencieux à l'occasion de l’inauguration du CIMETIERE qu'est devenu nos campagnes françaises.

            C'est mon homme...

     

    I'm'fout des coups ! 
    Je suis à bout mais malgré tout que voulez-vous... 

    En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans qui au cours d’une année sont victimes de violences physique et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime, est estimé à 225 000 femmes. L’auteur de ces violences est le mari, concubin, pacsé, petit-ami ; ancien ou actuel ; cohabitant ou non. 
    3 femmes victimes sur 4 déclarent avoir subi des faits répétés
    8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales.

    Parmi ces femmes victimes, 19 % déclarent avoir déposé une plainte en gendarmerie ou en commissariat de police suite à ces violences.

    Ce chiffre ne couvre pas l’ensemble des violences au sein du couple puisqu’il ne rend pas compte des violences verbales, psychologiques, économiques ou administratives. 

            What a fucking joke

    Vous faire tomber, c’était pour rire.

    Vous insulter, c’était pour rire.

    Vous frapper, c’était pour rire.

    Par Aegea dans Le Harcèlement http://la-gazette.ek.la/le-harcelement-fleau-du-xxieme-siecle-a148984970;

     

    Le Harcèlement, fléau du XXIème siècle ?

    C'est une vérité que le mensonge sur les réseaux sociaux. Les victimes sont broyées par la rumeur qui enfle un peu plus tous les jours sans que la victime ne puisse se défendre.

    A tel point que suivant vieil adage « qui ne dit mot consent »  la victime ne pouvant se disculper, devient responsable de cette « auto flagellation ».

     

    Noircir le tableau....noir ou comment blanchir l'omerta

    Bien faire et laisser dire, notre société va droit dans le mur...celui de la honte.

    Jusqu'à présent c'étaient les parents qui démissionnaient, abandonnant « l'élevage »  de leurs enfants

    à une école laïque et obligatoire.( au bénéfice de l’Instruction Libre )

    Maintenant ce sont les enseignants qui n'assurent plus ce rôle.

    Ce sont les RÉSEAUX SOCIAUX qui vont se charger d'éduquer nos enfants et nos petits enfants.

                  N.B : - ''ils'' vont se charger : qui se cachent derrière ces «  ILS »?...là est la question.....

    L'exemple vient d'en haut et si la hiérarchie ne couvre plus ses « ayants-droit », au près de qui vont-ils chercher les directives, les soutiens, et leurs références en matière d'exercer leurs professions ?

    Pourquoi attendre si longtemps pour faire éclater la vérité sur l'impossibilité d'exercer son métier dans des conditions prévues dans les lois ?

    Je pose cette question aux syndicats


    OUF....çà commence à faire du bruit tous ces non-dits !

    Et vous qu'en dites vous ? Ne me dites pas que le silence est le pire des mépris !

     

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  • A notre oncle PAUL décédé ce jour....

     Un artiste de grand talent, fils d'ouvrier paysan, était monté à Paris pour expliquer aux Lutéciens, qu'il fallait mettre les villes à la campagne. Venant de son Auvergne natale, les difficultés rencontrées se révélèrent quasiment insurmontables, à une personne dépourvue d'une formidable rage de vaincre.
    Hors, de la capitale, il n'y avait point de salut.

    Je comparai cette situation à celle rencontrée par mon cher Paul. 

    Fils d'un personnage illustre, dans le monde du voyage, il avait réussi ce tour de force, de faire oublier ses origines et de se faire, dans le monde de la médecine douce, à un moment, où cette dernière sentait encore le souffre.

    Récemment, je relisais un de ses ouvrages intitulé : GUERISSEUR. VOUS AVEZ DIT GUERISSEUR , reprenant la fameuse réplique de Louis Jouvet : vous avez dit bizarre. Comme c’est bizarre !. Bizarre autant qu'étrange, le mot était lâché. il correspondait à tout ce qui n'était point rationnel, et dans ce domaine de la guérison, par imposition des mains, il y avait beaucoup de pièges,dans lesquels Paul n'est pas tombé. Tout est à son honneur.

    Bons nombres de guérisseurs, entourent leur art d'un halo de mystère, je dirais même plus d'un épais écran de fumée, ce qui leur permet de vous en mettre plein la vue et eux, plein les poches. 

    Paul s'était de suite tourné vers le rationnel, se plongeant dans l'étude des livres de médecine, pour mieux connaître les fonctionnements du corps humain, sans jamais s’écarter, de l'importance du rôle que jouait le psychisme sur la maladie, et le rétablissement du malade.

    Il pratiquait l'hypnose, pas celui de foire, mais celui qui maintenant était enseigné et mis en application, dans de grands hôpitaux. Un certain nombre de médecins, fréquentait son cabinet ou son cercle d'amis. 

    Les praticiens lui recommandaient des patients, pour qui la médecine actuelle ne pouvait plus rien faire. Il jouit encore à l'heure actuelle, d’une excellente réputation et malgré son éloignement dans la France profonde, il est sollicité très régulièrement.


    Je reprendrais une citation de ce fameux Auvergnat Fernand Raynaud : «  il y a ceux qui tiennent le haut du pavé, moi j’occupe le bas du fossé » se moquant ainsi de la vie des Parisiens à contrario, de la sérénité rencontrée dans le monde paysan.

    À force de travail, d'heures passées à étudier, et grâce à des résultats encourageants, il se constitua une clientèle, qui lui rapportait de nombreux témoignages écrits. Paul prouva, tout était possible à celui qui croyait. Voilà un exemple frappant, de ce que sont capables de faire les Gitans. 

    Ce Croyant, actif défenseur et témoin de la vie du Christ, avait passé sa vie à donner aux autres, ce qu'il avait reçu en cadeau, la foi. 

    La foi vers ce prophète et dans l'être humain.

    Détenteur d'un savoir-faire acquis, à force de pratiques et d’apprentissages, il restait accessible à une clientèle de plus en plus nombreuse ; il n'avait nul le besoin de prendre des rendez-vous des mois à l'avance, pour le rencontrer. Son cabinet de consultation restait ouvert, la salle d'attente ne désemplissait pas.
    .
    Cet homme est intervenu au domicile de mes parents. Mon père en effectuant une mauvaise manipulation, avait fait exploser une bouteille d'alcool, servant à allumer un tas de branchage.

     Brûlé très sérieusement aux niveaux des cuisses, et à la main droite, il avait trouvé refuge dans le ruisseau qui traversait le champ. Regagnant péniblement son domicile, il avait le pantalon collé aux chaires brûlées.
    Alerté par mes soins, Paul se rendit rapidement sur place et après être longuement resté dans la chambre de mon père, il en était ressorti épuisé. 

    Son visage portait des traces de fatigue extrême, il avait mis de très longues minutes avant de récupérer. Le médecin de quartier, avait rendu visite au brûlé quelques heures plus tard, il avait une journée très chargée. Il a lui-même, enlevé sans trop de difficultés, les restes de ses habits, ne comprenant pas comment, père ne souffrait point.

    Devant les semaines suivantes, l'infirmière à domicile qui venait changer les pansements, fut stupéfaite de constater à quelle vitesse, les chaires repoussaient et surtout sans absence de souffrance.


    Malgré sa renommée, cet homme savait resté humble, accessible à tous, ouvert à toutes les questions, que faisait naître une pathologie, car s'il ne pouvait apporter la réponse à une quelconque interrogation dans l'immédiat, il se renseignait auprès de personnes compétentes, et donnait la réponse dans les jours suivants. 

    Paul ne laissait jamais un patient dans la peine ni dans l'ignorance  allant jusqu'à accompagner, des gens souffrants de maladies incurables  jusqu'à ce leurs derniers souffles.

    Tout au long de notre parcours, que ce soit sur le Voyage ou lors de nos périodes de sédentarisation, nous avons toujours eu son appui et sa présence à nos cotés.

     

    QU IL REPOSE EN PAIX, PAUL SERA PRÉSENT A NOS COTES  AUX MOMENTS IMPORTANTS DE NOTRE VIE 

     

     

     

     

     

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  • Pêle Mêle, pour illustrer divers événements qui ont heurté ma sensibilité ces derniers temps, pour accompagner le départ de 2 blogueuses sur EKLA, pour soutenir de jeunes journalistes de LA GAZETTE (EKLA – Blog) et conseiller tant de personnes qui sont « matées » par un entourage de gens qui ne veulent que leur bien..

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  • L'autre jour, j'échangeais quelques propos avec un ministre d'un culte qu'autrefois je fréquentais.

    Il était inquiet de ma non-présence à l église du village, ce beau village dont sans prétention, nous avons mauvaise  réputation d'être des Gens du Voyage.

    Ce père gardien d'un troupeau d'ouailles qui sautait de moins en moins les barrières des pacages du Bourbonnais, vu son age et les douleurs rhumatismales, était étonné de m'entendre parler un français châtié.

    Toujours dans le but de rassurer son troupeau,il se grattait la tonsure en se demandant bien les raisons profondes qui ont motivé la halte de notre famille dans son diocèse. Il tenterait au prochain prêche d'apporter une explication à ses chaisières effarouchées.

    Si les gaulois étaient dans la plaine...les Romanos étaient dans la place.

    Reconnaissez-le, le manque de terrains de stationnement pour les Gens du Voyage, les difficultés à trouver des places de stationnement dans la campagne, les contrôles des représentants de la Loi, n'incitent plus les déplacements de Tziganes.

    Par contre, de plus en plus de fermes abandonnées, en ruines, trouvent preneur dans la communauté des ex-voyageurs.

    Ils restent des problèmes majeurs quant à l'adaptation de ces Romanos à la vie des gadgés....c'est certain. Mais les écoles sont à nouveau fréquentées par de « jeunes Gitans », les commerces sont à nouveau visités par les parents, l'argent circule à nouveau dans les poches des administrés.



    Tout n'est pas rose et les relations sont parfois tendues, on demande à des Anciens de venir faire le lien entre les nouveaux arrivant et les anciens futurs partant....La roue tourne..mais plus celle de la caravane.

    Je rassurai ce bave prêtre en l'informant que le royaume de son Dieu m'était grand ouvert.

    Songeur, il se demandait bien d'où je tirais cette bonne nouvelle.

    « Mais si, Padre, il est écrit dans la maison désertée par vos paroissiens : Heureux les pauvres d'esprit le royaume des cieux leur est ouvert.....j'ai ma place parmi eux.





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     J'avais rencontré Monsieur AZNAVOUR alors que je travaillais sur le commune de MOURIES (13 )

     

     

    Avec toute mon émotion.....

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  • Le scandale des prêtres pédophiles Allemands, Irlandais, Américains...et la souffrance de leurs victimes.

    La FRANCE  se devait entrer en compétition, du moins sur le sol Européen.

    La guerre des Gaules aura bien lieu.

     

    Jeune publique et âmes sensibles....

     

     

    Je n'ai pas fait dans la dentelle !

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  • Il y a dans la langue française des expressions que j'ai employées et qui ont choqué la personne à qui elles étaient adressées.

    C'est méconnaître mes intentions et la méconnaissance de ces « trésors d’histoire de France » méritaient que nous nous rappelions qu'elles en étaient les origines.

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  • La fin fait sortir les crocs du Loup.....

    Quitter est un acte jouissif car il implique un avenir, des découvertes vers l'inconnu...mais pas cette fois.

    je quitte BLOG4EVER,  car j'ai honte d'utiliser gratuitement leur hospitalité et les services offerts.

    De nos jours le gratuit coûte cher, et de par mon attitude je mettais en péril l'avenir de cette plateforme.

    Je suis tout ragaillardi à l'idée de mordre à nouveau.....coucou me revoiloup ! 

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    Certaines musiques me sont douces car elles sont porteuses de violences et exaltent mon âme.

    Les violons tziganes me transportent sur un autre continent. Hier encore, je ne les vivais que dans ma solitude.

    Il m'était facile de me réfugier calé en pleine nature, en regardant la mort d'un feu de camp ou dans un recoin d'une salle de spectacle en pleine crise de jalousie, car d'avoir vu jeter en pâtures, les sanglots de ces violons à un public de bobos bohème me donnait des envies de razzias et de violences.

         J'avais ces mêmes sentiments lorsque je me retrouvais dans l’arrière salle d'un bar qui sentait bon la détresse humaine, les effluves de bières et de pisse, mêlées au senteurs de l'herbe qui rend heureux pour un instant seulement, ces paumés avaient consommé la musique de mon âme se servant des notes de musique pour se payer un voyage vers un bonheur furtif auquel ils n'avaient pas droit.

        Je m'évade sur ses airs de czardas et de fanfares des Balkans, j'entends mes frères les Loups hurler et se moquer des peurs que leurs rires provoquent, j'ai besoin du souffle des vents de l'Est qui m'apporte des nouvelles des familles retenues prisonnières par les frontières des hommes, toutes ces musiques sont des appels à la Liberté.


       A Les mélodies du flamenco se sont enrichies des influences musicales arabes et juives.

         Les Gitans, une fois arrivés sur le territoire andalou, se sont emparés du flamenco et ont contribué à lui donner sa forme définitive.

    A mes yeux, ces musiques sont des plaintes sans cesse exprimées sur la condition « humaine » de l'Homme. la dureté du quotidien, souffrance, l'amour et la mort.

    Cette « Alma Gitana » transpose sur un autre plan les musicalités des instruments.

             Une guitare flamenca aux accords rageurs plaqués par un Andalou des barrios de Cadix ne me fera jamais autant voyager que les 2 guitares, même interprété par un arménien de renom :

    Deux tziganes sans répit
    Grattent leur guitare
    Ranimant du fond des nuits
    Toute ma mémoire
    Sans savoir que roule en moi
    Un flot de détresse
    Font renaître sous leurs doigts
    Ma folle jeunesse

     

    Un monde nouveau, dans l'univers de la musique,  est en marche et vient à vous.

           J'ai vécu les péripéties des Gitans d'Arles qui font le bonheur d'un «Patrick- de la Télé » dégoulinant de mièvreries. Ces « fils du vent » sont conduits par un « chico »(Petit garçon en Calo ) d'origine Maroco-Algériene, plein de bon sens «prés de chez vous».

          Ce fils des cités est venu déboucher les oreilles des bonnes gens d'ici et d'ailleurs pour qu'ils comprennent que la musique est universelle, nous rappelant qu'il n' y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas comprendre .

    Ces musiciens dont les chansons chargées d'espoirs font d'un élagueur d'arbres The Voice de l'année 2014 Kendji Girac, sont à vos yeux plus que des voleurs de poules.

    Ils sont des voleurs d’Âmes et des vendeurs de tourments.

     

    Fermez bien vos portes lorsque vous ouvrirez vos oreilles.....dehors les Romanos.

     

     

     

     

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