• A VOTRE INTENTION

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    «À la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents.

    Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage…
    Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train.
    Et elles seront importantes : notre fratrie, nos amis, nos enfants, même l’amour de notre vie.
    Beaucoup démissionneront (même éventuellement l’amour de notre vie), et laisseront un vide plus ou moins grand.
    D’autres seront si discrets qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges.
    Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’aurevoirs et d’adieux.
    Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes.
    On ne sait pas à quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons.
    Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs à ceux qui continueront leur voyage.
    Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.
    Aussi, merci d’être un des passagers de mon train.
    Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous.
    Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train.»

    Texte de Jean d'Ormesson

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  • Un Monsieur,

    Un amoureux des voyelles et de leur sonate,

    Un Maître des mots,

    Un seigneur de la poésie,

    Une pointure,

    Un tôlier en quelque sorte,

    M’ a gratifié de ce surnom honorifique de : CONTEUR.

     

    ‘’Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage’’.

    Cet adage m’a permis de vérifier que pour apprendre, il n’y a pas d’age.

    Faisant mien ce proverbe : ‘’ nul n’est prophète en son pays ‘’ j’ajoutais : ‘’ ‘’c’est bien pour cela que je voyage ‘’.

    Encore eut-il fallu que je prophétise, mais loin de là dans mes pensées, je songeais à enseigner et à montrer un chemin à suivre.

    Je ne suis qu’un témoin relatant les aventures extraordinaires de gens ordinaires.

    Le nomadisme fut pour moi une réalité devenant mon mode de vie.

    Je parcourais en compagnie d’autres nomades un monde parallèle, celui des Gens du Voyage, faisant mienne la vie des Tziganes, Manouches, Gitans et Yéniches.

     

    J’alignais récits d’aventures, portraits de gens et kilomètres parcourus, devenant :

    ‘’ le Conteur Kilométrique’’

     

     

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  • Lettre d'un déjanté en roue libre

     

     

    Question à un poète :

    - Lorsque l'envie vous prend d'écrire une lettre, faut il obligatoirement qu'elle soit adressée à ELISE 

    Moi je l’adresse à l’Élue.

     

    Question à un champion :

    - Qui est l'inventeur de la casserole :

    Un fabriquant de passoire qui a oublié de percer des trous.

     

    A cela je rajouterais un épisode tragique. Il fit faillite et finit sa vie comme poinçonneur dans le métro, obligé de faire des petits trous, des petits trous de seconde classe....triste fin quand on pense qu'il aurait très bien pu évoluer dans sa carrière et creuser celui de la Sécurité Sociale.

     

    Mon Beau-père, qui en vérité n'était pas si beau que çà, (si je fais référence aux canons de la beauté), employait l'expression « se casser », pour montrer son intention « d'aller voir ailleurs s'il s 'y trouvait ».

    Le pauvre homme n'a pas eu deux chances, à son dernier départ, il a fait sa propre rencontre et il est parti « bras-dessus, bras dessous » avec lui même. Ce qu nous fait dire «  vivre seul que mal accompagné. »

     

    Que pouvait-il casser :

    - Trois pattes à un canard ?

    - L'ambiance...çà c'est certain ! Lorsque je vous parlais des ''canons de la beauté '' fussent-ils de Navarone, lui il les buvait et par la suite faisait grand bruit.

    - Les burnes...plus prosaïquement les « couilles » où pour les révoltés du Bounty, « les bonbons ».

    A ce sujet, une précision s'impose avec le fameux ''Burn out''ou ''Burnes out'' en français dans le texte.

    Il semblerait qu'il y ait méprise avec cette sale habitude consistant à sortir ses parties génitale ( the burnes out ) pour les exposer en devanture comme un tripier expose les ''couilles de mouton''.

    Là encore, je reste prudent suite aux affaires de pédophilie dans la religion : le Pape n'a jamais montré ses couilles à ses ouailles, seul le fromager les a vues

     

    - Les Couilles du Pape : Créé sous forme de poire, c’est un fromage italien élaboré à partir de lait de vache, à pâte filée, un peu comme la mozzarella.

    Il a donc été étiré et moulé à la main, de là en déduire que l’expression « mettre la main à la pâte » ….

     

    - A Marseille (13) ,c'est une variété de figue de Provence.
    On prétend que son nom vient de l’époque où les papes séjournaient en Avignon.
    La couille du pape était offerte aux mendiants à la sortie de la messe de minuit le soir de Noël....Certains membres du clergé, profitèrent de cette illusion pour proposer à des enfants des gestes équivoques. Le Petit Papa Noël est bien une ordure !

     

    Le bel acteur Alfred Villain-Marais, allias Jean MARAIS a eu cette réplique mémorable lors du tournage du film « le Bossu » en s'adressant à Jean Cocteau : Touchez mes bosses Mon Seigneur !

    Son mentor ne s'est pas fait prier ! C'est une prise de position qui me rappelle le Missionnaire, quand la morosité s'installe dans la vie du couple.

     

    Ma femme dit qu’elle aimerait passer un moment en ma compagnie dans un endroit où elle ne va pas souvent.. J’ai répondu : « qu'irais-je faire dans la cuisine ?

     

    Lors d'une soirée, un extra avait fait main basse sur l'argenterie et divers bijoux , arrêté à temps, il s'était défendu en rétorquant aux policier qu'il n'avait fait qu’obéir aux ordre de ma femme .

    Elle n'avait cessé de répéter à ce serveur :''on ne part pas les mains vides ''

    Les mains, lavées de tous soupçons. Aux innocents les mains pleines !

     

     

     

     

     

     

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    Cette période de confinement est peu propice à la découverte de nouveaux ouvrages, il y a pléthore d'écrivains en devenir.


    Dans le domaine bien gardé de l'édition, c'est « game over » ''çà tombe comme à Gravelotte''. Cette expression ne s'emploie pas que pour la pluie, mais aussi lorsque diverses choses (généralement non souhaitées) se succèdent rapidement. 

    Chaque, confiné en scrutant son nombril, a découvert dans ce reste de boyau, des qualités d'écrivain de génie. 

    C'est par le cliquetis infernal des touches martelées de sa main droite que l'improbable et insouciant auteur, s'est manifesté. 
    Il s'est cru investi d'une mission divine. Celle de rassembler d'autres lecteurs qui du coup, devant le culot du quidam, décident à leur tour de raconter l'histoire de leur nombril.

    Une force obscure lui a commandé de publier un texte qu'il espère voir propulser à la une des réseaux sociaux.
    Fort heureusement et c'est bien connu, la main gauche ignore ce que fait la main droite qui par ailleurs n'est pas si adroite que çà, car comme le prétend cet adage populaire « cet auteur était doté de 2 mains gauches ».

    Armé de son azerty, il assène sous forme de pensées profondes, le fruit de ses contemplations nombrilistiques.
    Mais hélas, trop froid hélas, les éditeurs croulent sous une surproduction de ces « nouvelles » en manque de fraîcheur.... Vu la canicule.


    En farfouillant dans les panières d'un éditeur, je suis tombé, il n'y a pas de mal à çà, sur un tapuscrit original (manuscrit qui pue le rebut), il fallait que je vous en parle.

    Notez au passage, qu'il est difficile à un écrivain de parler de lui, à moins qu'il soit conteur et que son texte parle de lui-même. l' écrivain devient alors inutile et sa prose est destinée à l'auto-édition qui n'a plus besoin des avis des lecteurs, c'est de l'auto-satisfaction...

    Une des panières portait l'inscription « classement vertical » .

    Il s'agissait d'une vingtaine de feuilles blanches et vierges de toute écriture.

    Elles étaient immaculées lors de leur conception, quelque rares annotations portées au crayon à papier signifiaient qu'un critique avait tué la poule dans l’œuf.

    Rien à dire, ni à redire à la suite de ce délit d'initié.

    De toutes évidences, l'auteur de cet ouvrage n'avait rien à dire et il fallait qu'il le fasse savoir à ses lecteurs.

    Comment partager son actualité avec les lecteurs ?
    De la manière la plus simple en publiant ce manuscrit dans lequel, à l'aide de feuillets blancs, de façon muette, il signalait qu'il n'avait rien à vous dire.

    La première annotation qui faisait tâche sur ces feuillets vierges, était l'œuvre d'un critique. 
    Elle se résumait en quelques mots : 
    « Au premier festival du film en Noir et Blanc dans le Lot : - aurait pu faire un malheur si le blanc avait été en couleur. ».

    Une seconde précisait :
    « Le blanc n'est plus tendance, contacter l'auteur pour qu'il noircisse ses pages en faveur du « Black Lives Matter ».

    Une autre noircissait l'avenir des ventes en s'adressant aux circuits de distribution :
    « S'abstenir de proposer ce livre en dehors du Black Friday ou alors au marché Noir ».
    Enfin, venue de la ville rose, un chanteur avait noté : « Sur l'écran noir de ces nuits blanches, je me suis fait mon cinéma. « …...Merci Claude, mais je crains que ce soit sa dernière séance et le film est terminé !

    Le blanc fait parler ceux qui n'ont rien à dire et le Noir (je prie Messieurs les Censeurs de bien vouloir excuser mon outrecuidance.) fait parler la poudre et nous fait sentir le vent du boulet.... Celui qu'il avait au pied !

    Je pense à cet auteur qui croyait que pour pouvoir ne rien dire, il suffisait que cela se sache,, quelle erreur ! En ne publiant rien, il aurait dû savoir qu'il y a des silences qui en disent long.

    Une dernière émotion me vient à l'esprit.

    Connaissez-vous le sens et l'origine de ce mot  "Ghostwriters » ou écrivain fantôme

    Un « nègre » littéraire, prête-plume est l’auteur sous-traitant anonyme d’un texte signé par une autre personne, souvent célèbre.

    L’emploi du mot « nègre » dans cette acception date du milieu du XVIIIᵉ siècle, en référence à l’exploitation des populations noires d’Afrique.

     

    Que dire de cet auteur « fantomatique » qui ne publie rien, dans un livre blanc. comme neige, assassiné par des gens qui « s'autorisent à penser dans un milieu autorisé » (COLUCHE ) que de ne rien dire, c'est être coupable ?

     

     



     

     

     

     



     

     

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  • Confinement

     

    Isolement L'isolement est le constat d'une situation dans laquelle un individu est séparé de gré ou de force du reste de son environnement habituel.

     

    En cette période d'alerte maximum causé par l'apparition du virus en provenance de Zhongguo ou l'Empire du Milieu , je ne pouvais passer sous silence « quelques non-dits » que nos responsables politiques ont omis de nous dire.

     

    Peut être qu'il serait plus juste d'employer l'adjectif « irresponsable » pour qualifier ces personnages qui avec un tel aplomb, désignent « les autres » comme responsables des troubles en France.

     

    « GOUVERNER c'est PREVOIR»

     

    Les membres de ce gouvernement sont très représentatifs de l’attitude suivante « au royaume des aveugles les borgnes sont rois ».

     

    Le chef du gouvernement est entouré de « jeunes en politique », entendez par là qu'ils ne sont sois-disant pas issus d'un quelconque sérail politicard, ils sont novices et le bon peuple de France leur pardonnera leur manque de métier....

     

    j'aurais une toute autre explication . Ils ont été choisis soit :

    • cause de leurs ambitions à marquer l'histoire de leurs passages, prêts qu'ils sont à vendre leurs âmes au diable,

    • par ce qu'ils sont des « béni-oui-oui » toujours empressés à approuver les initiatives d'une autorité établie,

    • qu'ils sont incompétents et ne risquent pas de désavouer les décisions de leur Chef suprême. (et je crois que c'est pour cette raison ).

       

    Des bouffons à la cour d'Emmanuel

     

    Dès la plus haute antiquité, on voit certains individus, sous la qualification de fous ou de bouffons, se donner pour mission de divertir et de faire rire par leurs saillies, leurs lazzis, leurs quolibets, leurs grimaces et leurs gestes burlesques, ceux qui voulaient bien les prendre à gages à cet effet et s'amusaient de leurs folies ou bouffonneries.

    Je fais allusion aux effets de « manches » de Madame la ministre du travail et de la Porte parole du gouvernement qui de par leur attitude, détourne l'attention de leurs victimes, c'est à dire Vous et Moi.

    Comment rester de marbre devant les bouffonneries de ces représentant du pouvoir en place ?

     

    Depuis que les « gilets Jaunes » ont coloré l'actualité en rouge, alertant nos dirigeants des dangers que son programme nous fait courir, la devise : « Ne rien prévoir, ce n’est pas gouverner, c’est courir à sa perte » s'applique à ce qui nous arrive.

     

     

    J'ai dans une précédente parution indiqué que l'heure du réveil avait sonné ( la Chine s’est réveillée : http://hurlements-de-loup.eklablog.com/la-chine-s-est-reveillee-a182245756 ).

     

    A ma petite échelle, force est de constater que la mondialisation a permis d'ouvrir nos foyers aux marchandises «  made in CHINE-VIRUS ».

    L' Obsolescence programmée est de rigueur, consommer vite et payé cash, dilapider nos trésors nationaux, vendre sous le manteau nos secrets de fabrication et nos domaines viticoles.

     

    Le président de notre Nation devrait se faire tatouer la formule suivante :

    « Gouverner, c'est faire croire » ( Nicolas Machiavel)

     

     

     

     



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