• A poêle ou à vapeur

     

     

    Supplique d'une poêle qui voulait rester en tôle :

     

    « Horreur, malheur,..oui je périrais par où j'ai péché !

    Pardonnez-moi Seigneur mais lâchez moi la queue ! »

     

    La poêle en acier, plus couramment appelée poêle en fer, est le type de poêle le plus simple, c’est la poêle de nos grands-mères.

    Elle est généralement constituée d’une tôle d’acier emboutie à la presse à laquelle est fixée un manche (par rivetage, soudure ou vissage).

    Cet ustensile de cuisson à plat peut être rapproché de la cuisson ancestrale sur pierre mais trouve surtout ses sources dans l’ancienne Mésopotamie.

    Lors de l’antiquité ou elle se nomme tagēnon en Grèce (d’où dérivera d’ailleurs le mot tajine) et patella ou sartago dans la Rome Antique.

    Elle est réinventée au XIe siècle permettant ainsi de nouvelles recettes, dont l’œuf au plat.

    Cette dernière recette consacrée à l’œuf ne réunit elle pas toute les symboles sur la création du monde ?

    Cette allégorie nous montre une œuf considéré comme contenant le germe à partir duquel se développe la manifestation de la vie, est un symbole universel portant l'espoir de la naissance.

    Par cet autre geste symbolique la Femme, nourrit l'humanité : image forte de la Femme en majesté.

     

    ..et bien non !...La perversion de l'homme a retiré cet unique objet de nos désirs des mains de la femme.

    Se prenant pour un dieu,il en fit un objet de la lutte des classes.

    Se référant à « the Book » la Bible en « lis-tu-réagis (liturgie ) dans le texte il a ajouté un préservatif, considérant que la femme  était impure face au « Book »......il a inventé le TEFLON.

     

    Dans les textes anciens, pour maintenir un bon usage courant, il fallait après utilisation, frotter l'objet de toutes les attentions avec du gros sel et.....c'est tout et c'est là que prend naissance et toute l'importance de cette expression triviale :

    « Tu es Belle comme le cul de la padelle »



    A SUIVRE





     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  • Le plaisir de la table est de tous les âges, de toutes les conditions, de tous les pays et de tous les jours ; il peut s'associer à tous les autres plaisirs, et reste le dernier pour nous consoler de leur perte.

    Les plaisirs du quotidien :

     

    Existe t il un rapport entre les plaisirs de la table et ceux que nous éprouvons en visitant les quartiers d'intimité de notre conjoint ?

    Il semblerait que seules les personnes atteintes de troubles aigus du comportement face à la gourmandise y soient sensibles .

    Vous connaissez mon sérieux et l’intérêt que je porte à l'étude du comportement de mes congénères, ils m'ont poussé à consulter le très célèbre docteur BOMBAY.

    Ce spécialiste a joué un rôle important comme Con de Sultan au prés de l'équipe de tournage de «  ma sorcière bien aimé ».

    C'est vous dire qu'avec une telle référence cette communication prend tout à coup un aspect scientifique qui, je l’espère, ne vous semblera pas trop rébarbatif.

     

    C'est à l'occasion d'une de ses sorties de la clinique du «  Fou rire » que ce praticien m'a accordé une entrevue.

    A ce sujet je n'ai jamais su s'il était sorti à la fin de ses consultations où s'il était en position « d'évasion » tant ce doux-dingue avait une étrange attitude.

     

    Il revenait me dit-il, d'un banquet auquel il avait été invité par Jean Anthelme Brillat-Savarin, homme politique et critique gastronome, réfugié aux Amériques en 1794.

    Je trouvais cela bizarre, tout comme les avis de cet homme.

     

    «  La table est le seul endroit où l'on ne s'ennuie jamais pendant la première heure » a été sa conclusion.

    Oui mais le reste du temps, comme le chantait le Georges Brassens :

     

    «  Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
    Ne soit pas déçu
    «  Mesdam's, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
    Chantez in petto.....
    Quatre-vingt-quinze fois sur cent
    La femme s'emmerde en baisant ».

     

    Alors, je restais sur ma faim, quelles preuves existe-t-il entre les plaisirs d'Amour et les plaisirs de la chaire ?

     

    Réussir un mets consiste à associer divers ingrédients possédant chacun des senteurs, des goûts, des odeurs différents.

    C 'est un savant dosage de subtilités, de patience, de passion qui déclenche cette magie, cette alchimie qui offre en fin de communion ces plaisirs qui donnent envie de « remettre çà »

    Il va sans dire qu'il faut un savoir faire , mais reconnaissons le, l'état d'apprenti n'est pas fait pour déplaire....le plaisir de surprendre et de se faire prendre.

     

    La fin d'un repas réussi ressemblerait-elle à un orgasme gustatif ? 

     

    Ce qui en résulte est une forme d'excitation , une ’élévation de l'esprit en accord aux plaisirs que le corps ressent.

    Le meilleur moment d'une rencontre est celui pendant lequel vous gravissez les marches d'escalier qui vous conduiront au septième ciel.

    Tout est une question de tempo...piano puis crescendo , envolée et subtilité

    Quel langage se prêterait le plus à cette élévation des esprits et des corps...la musique bien sur !

    Imaginez vous en chef d'orchestre 

     

    Chaque acteurs de la recette qui va être interprétée " est "  aux ordres »

    Votre partenaire n'attend plus que votre intervention.

    Rien ne manque, vous donnez le départ d'un geste de la main, la scène vous appartient .

    Déjà conquise par le décorum, elle est rassurée par votre attitude, le mouvement fait place au silence « lento » puis adagio et « moderato ».

    Tous vos sens sont en éveil, les gestes sont nets et précis allegro et presto, la passion vous habite et l'Amour vous invite à poursuivre.

    Vous connaissez bien les ingrédients pour mener à bien ces ébats.

    Un rien de complicité, un soupçon d'exotisme pour épicer la recette, pas de « goujateries » ni de lourdeurs qui rendraient la recette indigeste et ferait de vous, par réputation un « McDO-Lover ».

    Votre interprétation va crescendo, vous connaissez bien la musique et de cette partie vous restez le Chef.

    La femme apprécie, elle est traitée en « guest-star « , vous avez tout fait pour la sublimer, au dessert elle vous rendra tout ce que vous lui avez donné.

    Vous vous dirigez vers une explosion des sensations, l'accord des saveurs est parfait, le timing est celui d'un amant, ne pas faire attendre son invitée et terminer en beauté.

     

    Avant que d'avoir bu, vous vous écriez « A table Madame, je vais vous dévorer ». Elle vous découvre carnassier mais délicat sauvage qui a su dompter une pressante envie en « Vous faire plaisir avant toutes choses ».

     

     

     

     

    l

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire


  • Quel ingrédient pouvait bien manquer à la cuisine des Toqués, à ces montreurs de mines rubicondes des « panses bien remplies »,à ces chercheurs d' étoiles dans la galaxie des guides « de bonnes adresses » à ces despotes en cuisine qui savent par leur « savoir être au fourneau » se rendre imbuvables aux yeux du personnel et du publique.

    Quel est ce secret de fabrication ?

    Un petit tour de moulin à poivre de SICHUAN, un brin d'herbes de « Folle », un trait de génie ou d’Angustura, une maniaquerie de Diva qui de par la recherche de la perfection dans les moindres détails, finie par tuer l émotion de trouver du plaisir dans cette noble destination : « se nourrir du plaisir de manger et de voir les autres se régaler. ».

    Me rappelant le NUNC EST BIBEMDUM, formule équivoque pour un guide MICHELIN qui s'adresse à des conducteurs d’automobiles, je n'ai pas oublié de rajouter ce commandement........mais avec modération .

    l'ingrédient qui manque à beaucoup d'entre Nous et qui fait qu'avec c'est  « plus mieux bon » .

    Cet ingrédient c'est l'humour.

     

    Les régimes ''alimenteurs'' faisant rage dans les rangs des lecteurs, pas étonnant de constater la présence de chevaliers à la triste figure lorsque le couvert est mis, ils vous flinguent l'ambiance, vous dégonflent le soufflet au fromage, vous délient la sauce sans vous délier la langue et sont experts au fait de mettre les pieds dans le plat.

    Avec l'air grave d'un gendarme et les mimiques d'une jeune vierge effarouchée, ils toisent la table par vous dressée, touchant du bout de leur fourchette assassine une viande dans son jus qui était destinée à bien les contenter.

    Puis, se détournant de la basse besogne destinée à vous faire regretter de les avoir conviés, ils promènent un regard blasé, sur les autres invités, espérant par leurs façons de procéder, démolir votre réputation de marmiton.

    Blasés qu'ils sont, incapables d'émotions, ils traînent leur morne indolence comme si leur apathie était une référence avant de devenir insolence.

    Tout leur est dû, le moindre en-cas, le plus petit casse-croûte, et voilà ces pique-assiette sur votre route.

    Ils n'ont goût à rien et le dégoût de tout. Et c'est pourtant dans le sein de la famille qu'évoluent ces bordilles ou comme disent les marseillais « ces chiens des quais »

     

    Ils veulent être des références, rien ne peut intelligemment se manger en dehors de leur présence, et à la fin du repas, c'est à un « jacques a dit » qu'il vous font participer.

    ""Comment avez vous trouvé ces ''Panisses » ?""

    Tous les regards sont tournés vers lui : « Jacques a dit : frugale et banale ».

    Vous à bout de souffle, sentant la moutarde qui vous monte au nez, vous risquez afin de les étonner :

    « c'est chez un Romano que je les ai goûtés » espérant ainsi détourner la conversation et éviter la consternation. Mais rien n' y fait, c'est son avis que les autres écoutent.

    Ces « alimenteurs » font le tour des popotes et assassinent les cuisiniers qu’occasionnellement pour un soir nous sommes.

    Ce sont, vous en conviendrez, des empêcheurs de beurrer en rond, des casse « pieds de cochon »,des enquiquineurs du « Quinquina », des « écumeur de table » de véritables ténias.

    Reconnaissez-le, vous en avez au moins un parmi vos invités, comment l'éviter...rien de plus simple, en prenant de la hauteur (vu le jeu de mots?)

    C'est sous vos yeux que ce trésor était caché et de sa présence vous allez enfin pouvoir en profiter en toute aisance.

    Le dîner de con....vous vous souvenez ?

     A une prochaine invitation, il vous faut un con, ce sera lui qui sera servi.

    A la question :"comment avez-vous trouvé mon carré d'agneau ?"

    ...laissez planer le doute :

    "Par hasard en soulevant une frite ". Mais soyez rassurant et montrez lui que vous êtes indulgent, d'une étole de blanche hermine, (symbole de Justice ) vous vous pourléchez les babines en ajoutant :

    " devant un jury, vous ne risqueriez pas grand chose...vous seriez acquitté... votre viande n'est pas coupable ".

     

     

     

























    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  •  

     

    Jeanne d'arc aurait été l'auteur(e )de cette phrase :

     

    "Vous ne m'avez pas cru...alors vous m'aurez cuite"

     

    Était-ce par bravoure, par provocation, par humour, toujours est-il qu'elle fut prise au mot.

    C'est typiquement français que de finir avec panache .

    Je vais mettre les pieds dans le plat en vous contant l'histoire d'explorateurs venus de France et qui se retrouvent au menu d'une tribu de cannibales.

    Ils sont entrain de cuire dans un chaudron, et juste avant de servir de plat principal, un des deux suppliciés explose de rire. Stupeur !

    Son malheureux compagnon l'interroge sur les raisons de sa joie : " Ah les cons !" Dit-il rien que pour gâcher le repas, je viens de faire mes besoins dans l'eau de cuisson ".

    Mais comme disait François :" Il n'est bon bec que de Paris"  ce qui nous ramène aux femmes du temps jadis qui savaient, quand il le fallait, rester pucelles.

     

    Au moment ou j'écris ces mots, je suis conscient de l'importance de ce crime de  "lèse-étendard" car cette e-conne est l’emblème d'un parti politique dont on essaye encore une fois de diaboliser le fondateur.

    A bien y regarder, une fois " la crue ôtée " il ne reste que " la cuite "

     

    Ma stupeur est semblable à celle que ressent un fumeur de kiff qui s'aperçoit que c'est une Gitane qu'on lui a refilée à la place de son herbe qui le rend béat.

    En ce qui concerne la Gitane, je l'ai épousée voilà 40 ans. Si pour certains la consommation de drogue et le tabagisme les conduiront en terre, c'est pour moi le nirvana qui m'est offert.

    En poursuivant mes recherches sur les crues d'un long fleuve tranquille, je vous rappelle que les largesses des fleuves lors de leurs pérégrinations intempestives et bucoliques laissent à leur retour des alluvions qui deviennent des trésors de fertilité..

    A Contrario en période de cuite, et bien qu' il existe des similitudes entre les méandres d'un fleuve en crue et la démarche de celui qui a la cuite, le retour dans le droit chemin ne se fait pas sans dégâts. Ils ont tous les deux du mal à regagner leur lit.

    Une précision s'impose et vous saurez tout du cru.

    Mon ancêtre était il cueilleur ou chasseur ?

    Jusqu'à présent, aucun anthropologue sérieux ne doutait de l'appartenance de l'espèce humaine à une longue lignée de carnassiers .

    De puis la nuit des temps, l'Homme mange de la viande. Il se lasse parfois du manque d'originalité quant à la préparation du steak d'auroch.

    Il faudra patienter quelques années pour que Casimir Moisson, chef de la Maison Dorée, en l’honneur du compositeur Gioacchino Rossini invente le "Tourne dos du même nom".

    Le compositeur y avait une table attitrée, et avait l’habitude en entrant dans le restaurant, de serrer la main du maître d’hôtel, du sommelier, des serveurs et du chef. Un jour il lui aurait demandé un tournedos agrémenté d’une sauce au foie gras et aux truffes. Le maître d’hôtel, surpris par cette demande, l’aurait fait servir « dans le dos » des convives, pour ne pas qu’ils soient surpris à leur tour.

     

    Cette viande provenant de la chasse était consommée crue ou cuite....encore un fantasme de ces maudits anglois et de la perfide Albion. Considérant que Jeanne la pucelle n' étant plus de la première jeunesse ils ont choisi de la présenter au rôtisseur de l'époque comme une «  dur à cuire ».

    La Jeanne attendrie à l'idée de se trouver à la table du Roi de France a fondu comme du bon beurre ...normal on est Normand ou on ne l'est pas !

     

    Du latin crudelis " qui aime le sang " dérivé de crudus: "cru et saignant."

    Je dois avoir quelques ancêtres loups des steppes qui ont dégusté un Tartare tout cru. De nos jours il faudrait être mongole pour s'y risquer.

    A vaincre sans périls le loup triomphe sans gloire et se jettera sur un tartare de saumon ou de canard que seule CATINOU a les connaissances et le pouvoir de lui apporter en offrande.......on ne se refait pas, l'héritage est bien là dans les gènes...mais plus les dents !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    8 commentaires
  •  

    Mes chaleureux remerciements à l'équipe de " PLUME de POÈTE "  son fondateur Alain  BONATI  m 'a offert une véritable opportunité en publiant mes textes.

    Ma reconnaissance va plus particulièrement à Chantal, pour son aide précieuse et sa patience d'ange à mon égard.

     

     

     

    récentes antiquités       https://www.plume-de-poete.fr/

     récentes antiquités

    Nourrir le corps c est bien, mais alimenter son esprit plaît aussi !

    En marge de la parution de mon ouvrage su la cuisine des gens du voyage, j'apporte de l'eau à mon moulin, quoique le vin fut préférable, qu'importe la façon pourvu qu'apprendre ne cesse .

    Bonjour à vous visiteurs d'un soir, que vous soyez entré par curiosité, parce qu’une douce odeur de ripaille vous y ait forcée ou sur les conseils d'un ami, soyez les bienvenus en ces lieux

    Gourmand quand l'occasion se présente ou Gourmet assurant sa passion, à la lecture de ce livre vous constaterez que les recettes exposées sont du domaine de l'' espécial ''.

     

    Cette façon de cuisiner peut vous étonner, et je reconnais qu'au début de mes tournées des  popotes gitanes, j'allais de découvertes en surprises.

    J'étais persuadé que seuls ces fous de '' romanos '' avaient les capacités d' inventer et de manger ces plats....Erreur !

     

     Récemment j'ai eu le loisir et le plaisir de faire la connaissance d'un faiseur de repas à bases de recettes de cuisine antique Grecque et Romaine..un puriste, disciple de Pline l'Ancien.

     

     Le père Pline avait eu cette phrase célèbre : «  aucun livre n'est si mauvais qu'on en puisse en tirer quelques profits ». il devait parler de mon livre j'en reste persuadé !

     J'ai donc recherché dans un recueil de recettes anciennes, les correspondances de préparations avec les recettes des Gens du Voyage exposées dans mon ouvrage

    Surprise de taille, vous allez pouvoir en juger.

     A table !

     

    Cote de bœuf grillée aux anchois et pas folle la guêpe ( recette de Dédé dit la Guêpe )

    De la viande grillée au feu de bois, accompagnée d'une sauce faite d'anchois au sel et de gousses d'ail pilées .

     

     Tétine de vache au vert jus et Tétine de vache ( recette de Michel père d' Isabelle la Gitane )

    La tétine une fois cuite est coupée en morceaux puis placée dans un chaudron avec du beurre et accompagnée de persil, de cébettes et de champignons.

    Un bouillon fait de moitié d'eau salée et de vin blanc est porté à ébullition.

    Les morceaux de tétines sont jetées dans cette préparation qui recevra en fin de réduction du jus de raisins vert.

     

     Canard à la broche et la danse des canards ( cuisson à la schilpz )

    Les canards sauvages ou domestiques sont enduits d'une sauce à base de miel, qui servira à les arroser durant la cuisson. Ils sont présentés «  debout » devant un brasier.

     

     Frites de panisses et Kalentica

    A l 'époque romaine pas de patates  Triste époque !!

    Les frites étaient faites avec de la farine de pois chiche, trempées dans l'huile bouillante et salées.

     

     Polenta de châtaignes et pulenta corse ou la polenta des gros bras

    Les châtaignes ont souvent remplacé le pain, elles étaient aussi servies sous forme de bouillie'' qui tenait au corps ''.Cette polenta était accompagnée de saucisses grillées ou de truites au feu de bois.

     

     Je ne ferais qu'un brève passage et donc un arrêt minute sur les poules et poulets.

    Je crois que de tous les temps ces gallinacés ont été préparés à toutes les sauces. Qu' elles étaient été rôties, bouillies, fourrées ou grillées ces pauvres bêtes ont été présentes sur nos tables accompagnant nos repas au travers des siècles écoulés.

    J'ai découvert une pratique qui avait encore son mot à dire de nos jours dans la famille de mon épouse.

    L' Ancien, bien qu’il ne soit pas un Pline, se régalait de petits moineaux qu' il cuisinait dans une grosse pomme de terre ou sur une tranche de pain grillée.

    J'ai retrouvé cette recette, sans la patate encore inconnue à cette époque.

     

    Brochettes de Becfigues ou de Mauviettes :

    On les mange en automne et durant l'hiver, saisons ou ces oiseaux sont les plus gras. Passez ces oiseaux à la broche sans être vidés, simplement plumés et flambés.

    Enlevez le gésier, puis posez des tranches de pain sur le lèchefrites pour recueillir le jus de la cuisson et enfin servir sur les tranches de pain.

     

    Omelette d'asperge ou de pissenlits – recette des TINKERS d'Irlande

    Les asperges ou fleurs de pissenlit étaient ébouillantées pour ôter l'amertume, puis incorporées dans des œufs battus

    La galette était cuite sur les deux faces pour obtenir une omelette sèche.

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    6 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique