• Chaque homme est une histoire chaque femme porte en elle une épopée.

    C'est libre que l'on va rôder du côté de l'aventure humaine, nous devenons alors une histoire et je suis devenu mon histoire.

     

    L'homme se doit d'être moderne et urbain.     Pour ma part, je suis primitif, malpoli et franc!                

                                                                                                     

                         

    Je pressens les désordres de la tempête là où les autres savent la certitude de l'abri légitime, représenté à ce qu'ils croient, par leur famille, leur petit intérieur et leur petite mort future.


    Cela me convient, je ne peux me réduire à la simple condition d'être humain, il me faut toujours plus, une goutte de sang de loup, de sève ou de mer. Le doux cliquetis des armes au beau milieu de la mêlée, m'apaise.

    Notre société moderne, égoïste, ignorante de son passé, écrit tous les jours, au travers des publicités, d'émissions de télé réalité, de tendances et de modes, que les vieux en savent trop long sur la vie,qu'ils ne savent plus à quel saint se vouer....vu sous cet angle la solution serait de tous les éliminer.

    Lorsque la société exige un trop lourd sacrifice aux instincts de l'homme, alors ce dernier redevient totalement animal. C'est un cycle inévitable car Il y va de la survie de l'espèce. L'homme alors agit suivant ses instincts que nous croyons les plus bas, nous nous situons de par nos agissements, dans un niveau plus élevé et je dirais prés d'un stade final.

    Nous pensons savoir tout sur tout, nous sommes devenus les « number one » de la masturbation cérébrale, nous sommes devenus « enfin » intelligents, la Lune et le Monde nous appartiennent .La modernité devenue un projet de domination de l'Homme sur la nature en est de même sur les êtres humains.

    L'heure est venue de se poser la question : quelle est notre position dans ce cycle ?                                                                     

    En cet instant je considère mes origines et ma tanière comme une base de reconquête, une manœuvre de repli, pas comme un point de chute finale.

     

    Je cite ce qui jadis aurait pu me faire hurler de joie en traitant mes aînés de ringards, de « has been » :
    « 
    Le mousquet a anéanti le chevalier, l'hélice a détruit la navigation à voile, la science a saboté l'art et le Coca-Cola, la communion et le partage des repas.»

     

    Jolies images d'un temps autre que je commencerais presque à regretter.

     

    Me viennent et reviennent d'autres appels à se souvenir de ce que j'aurais aimé vivre, mais en fin de compte ne les ai-je pas traversées ces aventures ?

    Les mots employés ne sont pas les mêmes il appartient à chacun d’entre nous de mettre des couleurs sur nos émotions.

    Je cite : TERRA IGNOTA – par Paul-Louis in EFFRACTION SAUVAGE-

    « Il me souvient que nous aimions l'effraction et la sauvagerie, que nos illusions de brumes nous portaient aux veillées dans quelques camps de Brennus ou de Pictes, que les amitiés fortes restaient suspendues au hasard de la guerre, que nous avions soif d'ultime. ».



    Au gré de nos parutions intimes que nous étalons sur la place publique, de nos blogs, de nos commentaires entretenant la controverse ou un servile partage...pour ne pas blesser.... la révolte ainsi nommée par les « déjà morts » est promptement baptisée de noms obscurs : anarchistes de droite, chouans, hussards ou uhlans et Tudieu pourquoi pas amis des Loups ?

     

    A SUIVRE

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  • "Elle bois son café en riant et me regarde à peine....Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent... »

     

    Ces temps présents sont un tantinet tristounets...manque de vitamine D, humidité et rareté de l'astre solaire feront le reste.

    Ce jour, je fais appel à votre sympathie et à votre compassion.

    L'amitié est désormais bannie de mon vocabulaire grâce à certains d’entre vous qui m'ont fait comprendre qu'il ne fallait pas confondre.

     

    Ce matin, ma Belle-fille m'attendait à son domicile, ne sachant pas pour quelles raisons elle m'avait convié, j'étais curieux de la rencontrer.

    Elle qui est tant réservée dans ses agissements de « femme du voyage » a la double punition d'être Gitane et belle fille d'un Beau-père de mon acabit.

    A sa façon de se comporter, j'ai bien senti qu'un événement important pour ne pas dire grave, avait eu lieu.

    En pénétrant dans la cuisine, j'ai découvert du premier coup d’œil, le motif de ce malaise ambiant.

    Dans nos familles, les attitudes trahissent nos émotions et sont plus fortes que les paroles.

    Les femmes en voient de toutes les couleurs, elles ont des caractères bien trempés, leurs vies sont celles de femmes guerrières, secondant le chef de famille, amortissant tous les coups du sort et de la vie.....J'ai beaucoup de respect pour elles.

     

    Le canard était mort.



    Devant moi, il était là....dans un plat, baignant dans son jus.

    Il devait être de noble lignée car la tête avait été coupée comme le furent celles des victimes de la Terreur.

    Sa mort avait été violente à en juger la l'énorme orifice causé dans son arrière train pour qu'un bloc de foie gras y soit placé....pauvre animal...sacrifié sur l'autel de nos passions.

    Je détournais mon regard de ce spectacle, non pas par pudeur mais par respect pour la personne qui l'avait occis, rien que pour me faire plaisir.

    La voix de son bourreau me tira brusquement de mes pensées.

    « Beau-père...j'ai préparé le canard comme tu l'aime »....Émotions !

    Aux sourires qui illuminaient le visage des mes petits enfants, je compris rapidement d'où viendrait l'aide en cas de défaillance de ma part..

    .Ah ! Les braves enfants...quelle bonne éducation ils ont reçue.

     

    Larmes dans le coin-coin de l'oeil

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  • Vitamine..et vois ta mine

     

    Une certaine morosité ambiante englue nos blogs

    A quoi peut on attribuer cet effet dévastateur qui plombe nos sourires et offre à ceux qui osent encore lire dans nos cœurs une image de  triste sir ?

    A un manque cruel de vitamine D (véridique d’après le toubib ).

    Pourtant au fil des ans, je n'avais rien remarqué de semblable et cet effet de tristesse et de morosité semble s’aggraver...comment faisions nous avant ?

    Nous ne nous regardions pas dans notre miroir ........mon beau miroir,

    on se foutait pas mal de nos émois et moi,

    nous n'avions pas le temps de voir passer le temps....

    La communication à ceci de bon c'est qu'elle rapproche les hommes et les femmes....pour pouvoir mieux les éloigner à la vitesse grand V.

    A otra vez (comme le disent les ibériques), il suffisait de se faire la gueule sur la place du marché pour qu'une relation épistolaire soit au point mort

    ..seules les intéressées et leurs best friend (comme le disent les anglicistes) étaient au parfum de ce scandale et le vent en emportait les raisons....

    Maintenant question de vent, le moindre pet de travers parfume nos échanges de blogueurs (comme disent les français) et empoisonne de façon nauséabonde nos relations « virtuellement sympathiques » puisque l'amitié n’existe pas aux derniers sondages (comme le disent les sympathisants de mon blog ..qu'ils soient du sud ou du nord moi je les honore comme je le dirais moi).

    Alors warum? porque, why ? Perché ?....ben because !

    Et la cause dans tout ce fatras de cata ?...ben on ne sait pas ! On en est là à se demander pourquoi.

    Et nous revoilà, comme des cons et connes, virtuellement outrés, agressés, blessés (je n’emploie que le masculin ..) émasculés (toujours le masculin ) alors que l'autre, la salope (tiens... c 'est du féminin!) parade avec les bigoudis et cheveux en bataille telle une furie sur un champ de bataille.

    Une véritable harpie, voilà ce qu'elle est et les bonnes copines trop contentes de trouver de quoi se dégourdir le chignon vont à leur tout prêter main forte à cette échauffourée....Plus on est de folles plus on crie !...

    Pour moi qui ne participe pas à la curée c’est deux au tapis.

    Alors heureuses ?

    j'ai souvenir d'un épitaphe " elle est morte écrasée par un camion en traversant dans un passage pour piéton..elle est morte alors qu'elle avait la priorité"...alors ceux qui restent..Heureux ?

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  •  L’Amitié déploie sa bannière pour un galop, un bout de guerre, une bataille perdue ou un coup de sang. Les amis forment une république libre. Ni prince, ni prolétaire, ni pauvre, ni nanti, l’ami ne se conçoit pas sans une forte dose d’égoïsme, d’orgueil, de dureté et de ruse.

    (Louis-Marie in TERRA IGNOTA )



    Ce début d'année 2018 marque les prémices d'un profond changement chez le Loup que je suis.

    Nouvelle vie qui s'est traduit suite à un changement de région, d'occupations, de fréquentations, d'environnement. Forcément ces petits riens influent sur mon comportement.

    Dans cette période de souhaits, de vœux, de prises de décisions, les oreilles rabattues par toutes vos bonnes résolutions, il est un mot qui revient en ritournelle : l'Amitié.

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