• " je te mets à la porte de mon cœur"

    Quelle signification donneriez-vous à cette déclaration ?

    • Congédier l’élu de son cœur et interdire que l’huis donnant accès au bonheur reste définitivement clos….
    • Offrir un espoir au prétendant en lui offrant une place privilégiée dans la file d’attente.

    On est pourtant loin des us et coutumes mis en œuvre par la mâle génération avide de conclure « vite fait bien fait sur le gaz ». La cuisine serait-elle un lieu de prédilection pour que s’accomplissent les recettes d’un Cupidon aux fourneaux ?.....j’aime voir tes mains dans la farine chantait l’incomparable Claude NOUGARO.

    Pour revenir sur l’art et la manière dont se déroule « la chose d’Amour » c’est de nos jours la méthode HIC & NUNC c’est la version  « binge Fucking » parodie de la « cuite rapide à tous prix » inventée, parait-il, par nos voisins britanniques (sa mère !).

    Mais force et nostalgie sont de constater que la galanterie n’est plus de mise….ni de mourir aux Marquises…(J.BREL).

    Marquise avez-vous entendu et lu ?....

    Marquise n’est pas un titre de noblesse mais le nom d’une fort jolie jeune fille qui faisait tourner bien des têtes dans la troupe de Molière dans les années 1660 (mademoiselle DU PARC).

    Un des frères CORNEILLE âgé de 50 ans, que la jeune donzelle affolait,  se plaignait de voir cette enfant bouder ses stances. Seuls les charmes de l’esprit  dont il faisait état, auraient du faire pencher la balance de son coté.

    Mais on connait tous que dans le jeu de l’Amour et du Hasard, l’équilibre est un fléau ! (je n’ai  pu résister à faire ce jeu de mots à la con…balance et fléau…allez-y cherchez !)

    Deux cent ans plus tard, Tristan BERNARD ajoute une réponse malicieuse et irrévérencieuse qui tombe à pic :

    Peut-être que je serai vieille
    Répond Marquise, cependant
    J’ai vingt-six ans mon vieux Corneille
    Et je t’emmerde en attendant…..merveilleuse chanson reprise et adaptée par notre Georges BRASSENS national.

    Vous ai-je racontée l’histoire de cette Marquise ?

    Non pas la Marquise des anges ni la marquise de l’ébéniste, ni celle du cuisinier…mais celle de la cour des Miracles que de temps en temps je fréquentais.

    Autrefois dans une ville de province, elle avait « géré » une bande de loubards plus « pieds nickelés » que «  gang des Lyonnais ».

    De larcins en  petites magouilles, ils ramenaient la comptée en fin de journée en échange la Marquise laissait à ces âmes perdues un pourcentage et leurs assurait un hébergement dans une friche industrielle qui appartenait à son défunt mari.

    Cette « cour des miracles » servait donc de repaires à ces brigands la Marquise se prenait pour le «  grand Coësre ou la reine des Thunes ».(voir Victor Hugo).

    De passage en ces lieux, je rendais visite à ce « gibier de potence » et lorsque vous n’étiez plus dans ses petits papiers elle déclarait lors d’un simulacre de tribunal de rue «  je te mets à la porte de mon cœur » signifiant votre renvoi de sa vie .

    Qu’est elle devenue ? la friche est devenue elle un centre commercial.

    Commercial le mot est lâché et bien léché !

    Que sont devenus les Amours courtois, où sont passés les fins stratèges qui bâtissaient de véritables plans d’attaque pour conquérir une belle en manque d’assaillants et d’assauts ?

    L’approche d’une belle à séduire me semble devenu bien triste et ce manque cruel de panache prive le conquérant de la montée d’adrénaline qui sied à une veille d’une bataille.

    Oui mais la faute à qui ? A vaincre sans périls, triompherions nous sans gloire ?

    Les échanges rapides pour conclure prestement un acte sexuel  effectué tambour battant en vue d’une séparation « sans plus attendre » semblent avoir de beaux lendemains…ce qui est un comble.

    Il faut de la quantité au dépend de la qualité des rapports humains avec ou sans coït….c’est une image folle d’un échange de deux maîtres des échecs qui me fait penser à ce que pourraient être cet échange de coups !

    Après chaque coup (de ce que vous voulez dans le Kamasutra) le donneur-receveur quitte la couche pour appuyer sur le compteur et tchac !....

     Si vous êtes prudes et amateurs de jeux à connotations moins coquines,  je fais référence au Mambo du décalco de Richard GOTAINER :

    … Laissez tremper dans l'eau et comptez jusqu'à trois,  sur un support bien lisse ça devient un réflexe On maintient de l'index et du pouce on coulisse  et un Davy Crockett  à l'avant du frigo et une tête d'indien sur la tranche du vélo……

    Autres temps…autres mœurs….peut être me dit Marquise mais en attendant j’ai 25 ans mon vieux Loupzen et je m’ennuie en t’attendant.

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  •  
     
    chanson paillarde (pas de quoi rougir ! )
     
     
    Ah que nos pères étaient heureux (bis)
    Quant ils étaient à table.
    Le vin coulait à côté d’eux (bis)
    Ça leur était fort agréable.

    Refrain
    Et ils buvaient à pleins tonneaux,
    Comme des trous, comme des trous, morbleu !
    Bien autrement que nous, morbleu !
    Bien autrement que nous !

    Ils n’avaient ni riches buffets (bis)
    Ni verres de Venise.
    Mais ils avaient des gobelets (bis)
    Aussi grands que leurs barbes grises.
     


    Ils ne savaient ni le latin (bis)
    Ni la théologie.
    Mais ils avaient le goût du vin (bis)
    C’était là leur philosophie.

    Quand ils avaient quelques chagrins (bis)
    Ou quelques maladies.
    Ils plantaient là le médecin (bis)
    Apothicaire et pharmacie.

    Celui qui planta le Provins (bis)
    Au doux pays de France
    Dans l’éclat du rubis divin (bis)
    Il a planté notre espérance.


     

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  • A TABLE !

    C’est un ordre venu du commandement suprême : 


    -                             Il émane d’un chef de guerre qui a mis en place un stratagème pour que des belligérants plus souvent soudards et mercenaires, se comportent en « soldats de la paix » autour de la table des négociations….le poulet rôti remplacé par la Colombe de la Paix ?

    C’est un souhait, une prière


                                  Le repas préparé par la « déesse » des lieux est une communion, un partage,

    une « cène » ou tous les initiés conviés à cette grande messe participeront aux différents sacrifices qui ont pour but de les amener au septième ciel.


    C’est un départ, une levée de camp :


                                    C’est une réunion d’anciens qui « se souviennent »qu’il y avait eu une précédente assemblée ….une place est inoccupée….crânement, ils se disent qu’une fois prochaine ils seront là, debout, faisant face à leurs obligations…traînant les pieds, ralentissant à la fin de ripaille sachant que toute chose, y compris les meilleurs ont une « faim ».

     

    Ces moments de partage, d’élévation de l’esprit passent par nos instincts bassement matérialistes qui nous permettent de bichonner nos entrailles avant que de s’occuper d’élévation spirituelle, sont régis justement par des rituels.


    Je parle, mais vous l’aviez senti, de réunions exceptionnelles, de type fin de semaine et repas de moments de partage avec les amis, la famille et toutes ces occasions qui font que c’est bon quand c’est bon !
    …oublions donc le remplissage de l’estomac par obligation et concentrons nos pensées sur ces fêtes païennes, religieuses ou dédiées à la découverte de nouvelles sensations gustatives.


    Il s’agit bien de cela, les banquets offerts aux Dieux par mes ancêtres du Nord, aux saisons par nos ancêtres du Nouveau Continent, à la traversée d’un styx par un Tantale assoiffé…..de grandes occasions en somme.

     
    Ces rituels sacrificiels nous emportent vers nos origines bestiales ou Monsieur Guy De Grenne ne sévissait pas encore dans notre imaginaire.
    Je mange dans de la vaisselle en bois d’olivier...copié sur le Seigneur des Anneaux je bois dans une coupe en argent (si...si...il y a un poinçon représentant une Minerve) richement décorée avec de fausses pierres précieuses (le décorum…en somme)…à la fin de sages libations, j’entraine mes invités à entonner « Ah que nos pères étaient heureux quand ils étaient à table »…je n’oublie jamais de poser sur la table dressée une assiette supplémentaire comme le faisaient les « gens d’autrefois » pour le vagabond de passage, puis je me plante debout en portant un dernier toast au ciel à des Dieux en signe de remerciements pour cette manne providentielle.


    Les âmes réchauffées par nos pantagruéliques agapes se sentent toutes revigorées et ravigotées.
    Il en résulte un déblocage de leur système de sécurité semblablement identique à celui de la ceinture de nos pantalons. Les émotions coulent à flot, la barrière de la langue est ouverte pour que surgissent dans un rugissement de fauves les plus triviales expressions de nos pensées …


    Les uns considèrent que le repas pris dans de telles conditions les mènera droit en enfer…Bigre !


    Les autres avoueront que dans cette débauche de plaisirs, le péché ne peut être que mortel…re bigre ! Le résultat me parait être le même et le condamné n’y va pas du dos de la cuillère !


    Les plus audacieux amèneront l’eau à la bouche en comparant de façon lubrique leur façon de déguster ces mets comme on« dévore » une femme !


    Faudrait-il associer plaisirs de la bouche et de la pensée à ceux que nous offrent nos femmes en toute légitimité ?
    Si les plaisirs sont partagés en toute liberté alors pourquoi faire état d’une telle pudeur et ne pas chanter de paillardes romances qui font peur aux nonnettes (J .BREL)
    Devenons les cannibales de nos âmes

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  • Référence : http://hurlements-de-loup.eklablog.com/la-femme-sauvage-celle-qui-court-avec-les-loups-a119179884

     

    Plus à l’aise à perforer les fonds de culotte des fâcheux qui obscurcissent ma ligne de vision, je me trouve  pris au dépourvu quant la bise fut venue….et c’est un parfum de La Fontaine  qui en ces termes me rajeunit  l’âme …de là à vous embarquer le pas et ensemble nous sautons dans une La Fontaine De Jouvence.

    Drôle d’idée que cette matinale bise qui me fait rajeunir et transforme la couperose en bouffées de moiteur juvénile.

    Bise : caresse indolente  abandonnée comme par  erreur sur ma joue tannée alors que le poil de sanglier qui la tapisse au moindre frisson du vent  se hérisse

    Vous en conviendrez (et certains en repartiront !) il existe différentes bises, suivant l’état d’excitation de l’épiderme et de l’épicentre de ce trouble cognitif.

    Pour les puristes que vous êtes, je déboule à toute berzingue dans la description alarmante qui suit :

    Trouble cognitif léger : représente un état cognitif intermédiaire entre la perte naturelle de facultés liée au vieillissement et les altérations fortes des maladies neurodégéneratives

    Distinction entre trouble cognitif léger, vieillissement et démence. Je cite :

    «  Avec l’âge ( çà c’est moi ) un individu perd peu à peu quelques-unes de ses facultés intellectuelles (J’en avais donc !)... notamment en ce qui concerne la mémoire (ou est passée ma bohème)  . Cela fait partie du processus normal du vieillissement (bon…ben si c’est normal...Alors !) Cependant,( où est l’autre pendant ?) il arrive que cette perte des capacités mentales soit plus importante que la situation classique, on parle alors de trouble cognitif léger…çà y est, j’ai mis les pieds dans le plat !

    Traitement du trouble cognitif léger : je re-cite mais ne récite pas…

    « Il n’existe aucun traitement précis pour soigner les troubles cognitifs légers, mais on préconise une hygiène de vie saine pour la prévenir, car des troubles métaboliques comme : hypercholestérolémie, diabèteobésité, physiologiques(hypertension ou autres tabagisme sont possiblement responsables du déclin des performances intellectuelles »

    …Où en étais-je ? Perdu dans ce scénario catastrophe qui ne laisse que peu de chance à une happy-end j’en oublierais presque le bonheur de cette bise légère et tonifiante que je viens de recevoir «  in my face » de Loup.

    Ah oui….si vous  feuilletez (au jambon) ou au petit déjeuner, les titres de la presse inter et nationale pour ne pas dire locale ( loco = fou…de la à en déduire que ce qui se passe prés de chez nous est complètement fou) vous percevrez que le malaise est planétaire.

    Politiquement, humainement, artistiquement… ETC…les pays se distinguent par des coups de grisou ou de canon, tous plus graves les uns que les autres.

    Cette mondialisation aurait-elle pour but de nous faire oublier nos propres identités et personnalités. ? Qu’en pensez-vous ?

    Et soudainement, je reçois cette bise morale d’une lectrice, Anne, bise sous  forme  d’Alyzée azuréen, peut  être pas localement et géographiquement parlant, mais qui me fait oublier la dernière info : « nous vous rappelons que la pharmacie – MEDOC – est de permanence cette nuit dans la banlieue de Mexico ».

    J’en fais trop…. certes…Mais je me tape le coquillard de savoir ce qui c’est passé dans tel ou tel-Aviv pays, loin de chez moi (pas assez loin…mon fils !). Halte à la mondialisation qui écrase  nos personnalités et fait taire ce que des concitoyens lambda, ont à nous dire….dans un rayon de ……kilomètres.

    Qui est-elle et d’ou vient elle…La fille aux bas nylons…C’est CLERC comme dirait Julien…j’hypothétise. Et vous délivre de l’angoissante question qui vous taraude la vie : mais de quoi est-ce qu’il parle le Loup brailleur ? : Je cite

    -                   « Philosophiques que tes écrits profonds ainsi que les commentaires... Pardon pour ma curiosité... LA FEMME a toujours été un sujet qui suscite le meilleur et le  pire. Est-ce son sexe qui fomente cette peur ancestrale... Eve prie vie de la côte d'Adam...

    Cette bise matinale m’emportant au firmament de la contemplation de mon nombril….mais finit par détourner mes yeux en me rappelant qu’un de mes ancêtres a forniqué avec sa côte….

                      « -Et  s’ensuivit un malentendu qui perdure encore aujourd'hui même si les choses ont légèrement bougées. Alors la liberté... Quel combat ! » 

    Même pas mal…être une victime depuis des siècles, n’avoir aucune rancune à l’encontre du « tribunal  Hormonale des Mâles » qui statue sur le sort des femmes, condamnées à subir ou à être pendues hautes et courtes...au cou d’un con-joint »….malentendu….il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre !

                    « On pourrait dire que c'est un état d'esprit, et je pense que ma mère elle la vécue de cette façon... Moi je me suis battue, mal parce que je pensais que je n'étais que celle qui devait se marier, faire des enfants et... se taire... »

    L’exemple ou le contre emploi…je serais maman puisque Ma maman ne l’était pas….mais par contre je choisirais mon camp….

                    « Mais voilà après avoir été l'enfant-femme, la femme-enfant je me suis mis à regarder autour de moi, à ruer dans les brancards comme on dit. Pas simple d'être femme, on y laisse  des espoirs, on tombe parfois, mais quel renaissance lorsque enfin on peut respirer profondément, à son rythme et pas seulement par l'assentiment des autres! »

    La vie c’est la lutte….qui continue.

    Le Savoir donne le  Pouvoir. Il  se gagnera à la force du poignet et nous n’en sortirons qu’à la force des baïonnettes ! Formule choc mais non exagérées vu les circonstances .Quitter cet état de « grâce »qu’aurait dû être l’enfance-insouciance et revendiquer sa propre place au milieu de la mêlée…beaucoup de gens l’ont imaginé…D' autres l’ont fait comme Anne…Et vous ?

     

                « Les autres peut-être qu'ils sont comme nous... Après tout mais avec Le schéma de la société, miroir déformant, on s'y perd! »

                « Oui le prix à payer est énorme, il faut des sacrifices afin d'émerger sa véritable nature, dans les miasmes des  fausses certitudes que l'on nous a inculqué.. »

     

    A qui profite le crime ? Qui a intérêt à ce que l’enfant femme reste la femme enfant, empêtrée dans de fausses certitudes «  ton chemin est  tout tracé…ne sort pas des sentiers battus et rabattus par tes pères mon enfant… reste docile…taillable et corvéable à souhait …tu es MA chose…pas de remous ! »

    Quant au prix….la récompense  est en fonction de l’effort fourni…Everest…K2…Annapurna…Mont-Blanc...Ou…Taupinière du jardin ?

     A chacun son combat et sa récompense. L’important pou le reste de votre vie, et de pouvoir fixer les yeux d’une autre ou d’un autre et de dire :

    « MOI je l’ai fait …et TOI ? » « Qu’as-tu fais pour TOI et pour les AUTRES ».

                  « Quant à moi, je pense que la liberté est en soi, qu'il suffit d'avoir le courage de dire "je «tout en étant en harmonie avec" l'Autre" Et puis pour l'avoir vécu, je pense qu'il n'y a pas plus dure combat que celui que l'on mène contre soi.... On naît femme mais il faut du temps et de la persévérance pour ressembler à celle qui court avec les loups... Si on y parvient ! »

    Amitiés, Anne.

     Rien à ajouter n i à retrancher….Merci.

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    J’étais assis à la terrasse de ma terrasse juste en face de ma face qui se reflétait dans une glace sans tain….la porte largement ouverte de ma tanière donnait sur un ciel sans nuages, ni visages….rien ne me rattachait à ces jours passés à penser à l’autre  ou aux autres….roue libre…champ libre…l’horizon de mes pensées à perte de vue …sans mirages, ni barrages rien qu’une envie de voyage…voyage aller simplement .

    Sans penser au retour…revenir…pour faire quoi…revenir c’est avoir un avenir à venir….c’est  donc prendre un nouveau départ….ce départ vers un avenir est le début  d’une nouvelle fin…d’une page qui se tourne, d’une partie de vie qui finit …l’avenir est-il derrière moi ou devant ?...cette fin nouvelle d’une partie de vie ancienne est un nouveau commencement ou un nouveau renoncement…ne  pas poursuivre c’est bien le signe d’un renoncement à un avenir même restreint et c’est une aventure qui recommence.

    Comment ne pas être de bonne humeur devant ce déballage d’espoir ?

    Il est dit que l’espoir fait vivre…oui mais fait vivre qui ? Celui qui vient de vous balancer ce dicton bateau où le désespéré qui attend que la corde qu’il a autour du cou, casse lui redonnant espoir ?

    L’espoir ne fait pas partie de ma vie. Celui qui espère dépend forcément de quelqu’un.

    Il sera très facile à ce « prophète »de promettre monts et merveilles à celui qui « espère »et qui dans les périodes de doute, fera tinter la petite clochette pour dire « s’il vous plait…t’as pas vu que je viens d’astiquer ta lampe ? »…alors quoi ? Qu’est ce que tu fabrique…j’ai besoin de tes services …Oh Génie  de pacotille !

    Dés que l’habitude est prise et si par malheur le demandeur a bénéficié de la chance du débutant…vite…faut que je l’appel et le cirque infernale est ouvert….Qui n’en veut des places au paradis ?.....Seul,  pas facile et si nous montions un groupe à plusieurs nous aurions plus de poids….

    Il nous faut un délégué du travail « pour réunir les demandes » et poster les désidératas….c’est   la création  d poste ou d’emploi de  chef de parti ou d’un iman-prêtre-pasteur en crédulité qui rapporte.

    Non…. moi j’ai la foi.

    Ce sont des certitudes qui m’ont épaulé tout au long de ma vie…ces certitudes aux quelles je fais référence sont rangées sur l’étagère de la foi.

    Je ne suis pas capable de vous citer mes sources, pas capable de vous dire qui est le généreux donateur qui régulièrement  s’occupe de l’approvisionnement …mais chez moi il n’y a pas de rupture de stock.

    Ce  qui étonne le carré de fidèles avec qui je parcours la Route , c’est cette nonchalance et  insouciance avec  la quelle je traite les pépins de la vie….Je vous rassure ce sont les mêmes  « doigts coincés » dans les portes que nous avons en commun.

    Ce qui fait la différence c’est la philosophie du savoir…je ne doute pas….quoique parfois….mais je sais et suis certain de la suite des événements.

    Le savoir n’est pas inné…crénom de nom ! il a bien était nécessaire à un  « enseignant » d’enseigner ce que je sais….mais qui est le premier….l’œuf ou la poule ?...qui a été le professeur qui a enseigné à un élève pour qu’à son tour il devienne enseignant ?

    La rencontre de ces deux « savoirs »…l’un sait qu’il sait et l’autre sait ce qu’il voudrait bien apprendre….Tout pourrait se résumer ainsi : apprends moi ce que je ne sais pas...

    Absurde direz-vous…Comment connaitre ce que l’on ignore ? …DEVOS sors de ce corps ! Et vite !

    Ce qui rend la tache plus ardue encore est le fat du mimétisme. Nous « ressemblons » plus ou moins volontairement ou pas à nos enseignants. Nos faits et gestes sont calqués sur « je mets mes pas dans les pas de mon père »….Ce grade étant général  quant à la qualité du professeur nous montrant ce que nous devrions accomplir dans la vie : élève – Maître.

    Pourtant je suis doté d’une personnalité et vous aussi….j’apprends beaucoup à votre contact..Lisez donc vos commentaires….J’évolue dans un sens certain e t ne m’en trouve pas plus mal…mais je ne vous ai jamais rencontrés….si ce n’es au travers de L’AZERTY qui nous sert de relais…..Qui nous a guidé les uns vers les autres ?

    Le hasard faisant bien les choses ou ma foi résidant dans le fait que de toutes les façons le meilleur est arrivé pour moi en vous rencontrant « NET…ment parlant » ?

    J’aime croire en cette dernière  hypothèse.

    En vous disant grand merci pour votre présence en ces instants.

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